[nouveau venu]

Dimanche est mon jour préféré de la semaine. Je peux faire ce que je veux. Je peux trainer en legging avec mon sweat rhéto que j’adore. Je peux aussi cuisiner des pâtisseries. Je peux regarder des séries sur mon ordi en mangeant du Nutella. La seule chose qu’il faudrait, c’est que les magasins soient ouverts. Je pourrais alors m’adonner à mon activité préférée : le shopping. Je crois que j’achète trop souvent trop de vêtements. Je n’ai pratiquement plus de place dans mon armoire et pourtant je sépare entre vêtements d’été, d’automne/printemps et d’hivers. Ceux dont je n’ai pas besoin restent chez mes parents, dans mon ancienne chambre afin de ne pas trop encombrer mon petit appartement. Ma mère trouve que j’ai un problème avec les vêtements mais bon elle préfère ça aux drogues que j’ai prises pendant une mauvaise passe. Enfin tout ça pour dire que j’ai vraiment beaucoup de vêtements. Mais que malgré cela, je souffre de ce dont souffre toutes les femmes : l’éternel « Je ne sais pas quoi me mettre. »

Il était 16 heures. Et je restais immobile face à cette garde-robe, ayant essayé un million de tenue qui trainent maintenant un peu partout dans ma chambre.

Je m’étais levée vers midi comme tous les dimanches. J’avais un peu fait la fête la veille et puis il faut rattraper tout le sommeil que j’ai négligé durant la semaine. Le dimanche, c’est dur de se lever et c’est d’ailleurs pour cette raison que je ne prends jamais de rendez-vous le week-end même avec mes amis, même avec la famille. Donc bref je n’avais pas non plus de rendez-vous ce jour-là. Vous vous demandez surement pourquoi je cherchais absolument quelque chose à me mettre. Le lendemain, j’avais un rendez-vous hyper important avec la rédactrice d’un magasine mode hyper connu. Il me fallait LA tenue, je savais que ce serait sur cette tenue que j’allais être jugée. Quand on postule pour devenir comptable, ce n’est pas sur la tenue qu’on va vous embaucher mais bien sur vos capacités à « compter ». Il était donc normal que je sois jugée sur ce que j’allais mettre. J’ai pourtant l’habitude de savoir quoi mettre en toute occasion mais là, j’avais tellement le trac que je trouvais toutes mes tenues fades et sans réelle touche personnelle et remarquable. Je pris donc mon téléphone et j’appelai Alana. Elle saurait à coup sur ce qu’il me faudrait. Malheureusement je tombai sur son répondeur.

« Alana ? C’est Théo. C’est une urgence. Vient dès que tu peux chez moi. »

[vos points]

Dimanche est mon jour préféré de la semaine. Je peux faire ce que je veux. Je peux trainer en legging avec mon sweat rhéto que j’adore. Je peux aussi cuisiner des pâtisseries. Je peux regarder des séries sur mon ordi en mangeant du Nutella. La seule chose qu’il faudrait, c’est que les magasins soient ouverts. Je pourrais alors m’adonner à mon activité préférée : le shopping. Je crois que j’achète trop souvent trop de vêtements. Je n’ai pratiquement plus de place dans mon armoire et pourtant je sépare entre vêtements d’été, d’automne/printemps et d’hivers. Ceux dont je n’ai pas besoin restent chez mes parents, dans mon ancienne chambre afin de ne pas trop encombrer mon petit appartement. Ma mère trouve que j’ai un problème avec les vêtements mais bon elle préfère ça aux drogues que j’ai prises pendant une mauvaise passe. Enfin tout ça pour dire que j’ai vraiment beaucoup de vêtements. Mais que malgré cela, je souffre de ce dont souffre toutes les femmes : l’éternel « Je ne sais pas quoi me mettre. »

Il était 16 heures. Et je restais immobile face à cette garde-robe, ayant essayé un million de tenue qui trainent maintenant un peu partout dans ma chambre.

Je m’étais levée vers midi comme tous les dimanches. J’avais un peu fait la fête la veille et puis il faut rattraper tout le sommeil que j’ai négligé durant la semaine. Le dimanche, c’est dur de se lever et c’est d’ailleurs pour cette raison que je ne prends jamais de rendez-vous le week-end même avec mes amis, même avec la famille. Donc bref je n’avais pas non plus de rendez-vous ce jour-là. Vous vous demandez surement pourquoi je cherchais absolument quelque chose à me mettre. Le lendemain, j’avais un rendez-vous hyper important avec la rédactrice d’un magasine mode hyper connu. Il me fallait LA tenue, je savais que ce serait sur cette tenue que j’allais être jugée. Quand on postule pour devenir comptable, ce n’est pas sur la tenue qu’on va vous embaucher mais bien sur vos capacités à « compter ». Il était donc normal que je sois jugée sur ce que j’allais mettre. J’ai pourtant l’habitude de savoir quoi mettre en toute occasion mais là, j’avais tellement le trac que je trouvais toutes mes tenues fades et sans réelle touche personnelle et remarquable. Je pris donc mon téléphone et j’appelai Alana. Elle saurait à coup sur ce qu’il me faudrait. Malheureusement je tombai sur son répondeur.

« Alana ? C’est Théo. C’est une urgence. Vient dès que tu peux chez moi. »

[Messages]

Dimanche est mon jour préféré de la semaine. Je peux faire ce que je veux. Je peux trainer en legging avec mon sweat rhéto que j’adore. Je peux aussi cuisiner des pâtisseries. Je peux regarder des séries sur mon ordi en mangeant du Nutella. La seule chose qu’il faudrait, c’est que les magasins soient ouverts. Je pourrais alors m’adonner à mon activité préférée : le shopping. Je crois que j’achète trop souvent trop de vêtements. Je n’ai pratiquement plus de place dans mon armoire et pourtant je sépare entre vêtements d’été, d’automne/printemps et d’hivers. Ceux dont je n’ai pas besoin restent chez mes parents, dans mon ancienne chambre afin de ne pas trop encombrer mon petit appartement. Ma mère trouve que j’ai un problème avec les vêtements mais bon elle préfère ça aux drogues que j’ai prises pendant une mauvaise passe. Enfin tout ça pour dire que j’ai vraiment beaucoup de vêtements. Mais que malgré cela, je souffre de ce dont souffre toutes les femmes : l’éternel « Je ne sais pas quoi me mettre. »

Il était 16 heures. Et je restais immobile face à cette garde-robe, ayant essayé un million de tenue qui trainent maintenant un peu partout dans ma chambre.

Je m’étais levée vers midi comme tous les dimanches. J’avais un peu fait la fête la veille et puis il faut rattraper tout le sommeil que j’ai négligé durant la semaine. Le dimanche, c’est dur de se lever et c’est d’ailleurs pour cette raison que je ne prends jamais de rendez-vous le week-end même avec mes amis, même avec la famille. Donc bref je n’avais pas non plus de rendez-vous ce jour-là. Vous vous demandez surement pourquoi je cherchais absolument quelque chose à me mettre. Le lendemain, j’avais un rendez-vous hyper important avec la rédactrice d’un magasine mode hyper connu. Il me fallait LA tenue, je savais que ce serait sur cette tenue que j’allais être jugée. Quand on postule pour devenir comptable, ce n’est pas sur la tenue qu’on va vous embaucher mais bien sur vos capacités à « compter ». Il était donc normal que je sois jugée sur ce que j’allais mettre. J’ai pourtant l’habitude de savoir quoi mettre en toute occasion mais là, j’avais tellement le trac que je trouvais toutes mes tenues fades et sans réelle touche personnelle et remarquable. Je pris donc mon téléphone et j’appelai Alana. Elle saurait à coup sur ce qu’il me faudrait. Malheureusement je tombai sur son répondeur.

« Alana ? C’est Théo. C’est une urgence. Vient dès que tu peux chez moi. »

[Date d'inscription]

Dimanche est mon jour préféré de la semaine. Je peux faire ce que je veux. Je peux trainer en legging avec mon sweat rhéto que j’adore. Je peux aussi cuisiner des pâtisseries. Je peux regarder des séries sur mon ordi en mangeant du Nutella. La seule chose qu’il faudrait, c’est que les magasins soient ouverts. Je pourrais alors m’adonner à mon activité préférée : le shopping. Je crois que j’achète trop souvent trop de vêtements. Je n’ai pratiquement plus de place dans mon armoire et pourtant je sépare entre vêtements d’été, d’automne/printemps et d’hivers. Ceux dont je n’ai pas besoin restent chez mes parents, dans mon ancienne chambre afin de ne pas trop encombrer mon petit appartement. Ma mère trouve que j’ai un problème avec les vêtements mais bon elle préfère ça aux drogues que j’ai prises pendant une mauvaise passe. Enfin tout ça pour dire que j’ai vraiment beaucoup de vêtements. Mais que malgré cela, je souffre de ce dont souffre toutes les femmes : l’éternel « Je ne sais pas quoi me mettre. »

Il était 16 heures. Et je restais immobile face à cette garde-robe, ayant essayé un million de tenue qui trainent maintenant un peu partout dans ma chambre.

Je m’étais levée vers midi comme tous les dimanches. J’avais un peu fait la fête la veille et puis il faut rattraper tout le sommeil que j’ai négligé durant la semaine. Le dimanche, c’est dur de se lever et c’est d’ailleurs pour cette raison que je ne prends jamais de rendez-vous le week-end même avec mes amis, même avec la famille. Donc bref je n’avais pas non plus de rendez-vous ce jour-là. Vous vous demandez surement pourquoi je cherchais absolument quelque chose à me mettre. Le lendemain, j’avais un rendez-vous hyper important avec la rédactrice d’un magasine mode hyper connu. Il me fallait LA tenue, je savais que ce serait sur cette tenue que j’allais être jugée. Quand on postule pour devenir comptable, ce n’est pas sur la tenue qu’on va vous embaucher mais bien sur vos capacités à « compter ». Il était donc normal que je sois jugée sur ce que j’allais mettre. J’ai pourtant l’habitude de savoir quoi mettre en toute occasion mais là, j’avais tellement le trac que je trouvais toutes mes tenues fades et sans réelle touche personnelle et remarquable. Je pris donc mon téléphone et j’appelai Alana. Elle saurait à coup sur ce qu’il me faudrait. Malheureusement je tombai sur son répondeur.

« Alana ? C’est Théo. C’est une urgence. Vient dès que tu peux chez moi. »

[nouveau venu]

« Je suis là dans 5 minutes. » fut le message que je reçu quelques minutes plus tard mais même si elle habitait tout près de chez moi je savais que j’avais le temps de me faire un en-cas. Je pris une orange, une pomme, une poire et une banane et je mis tout sauf l’orange dans le mixeur après les avoir épluchés et épépinés. Pendant que ça mixait dur, je pris l’orange et je pressais. Vous avez bien compris, je me faisais un smoothie. Enfin j’en faisais plutôt deux. Alana ne dirait pas non. Justement, en parlant d’elle, l’interphone sonna. Je décrochai, le doigt déjà sur le bouton pour ouvrir. « C’est moi. » Je n’avais pas besoin de plus, j’ouvris. Il ne lui faudrait que quelques minutes avant qu’elle arrive et donc je décidai d’ouvrir la porte de l’appartement et de l’attendre, le sourire aux lèvres. Je me rendis compte que je portais un training et un vieux t-shirt de la fac de mon père que je lui avais subtilisé il y a de cela quelques années. Je n’étais pas non plus maquillé. Je ne me montrais pas à beaucoup de monde dans cette tenue mais Alana était quand même une de mes plus proches amies. Elle ne dira rien, enfin je l’espère. Elle arriva enfin ce qui me permit de me sortir de mes pensées un peu superficielles je dois l’admettre. Elle était radieuse comme je l’avais prévu. Je me sentais un peu idiot dans mon training. Je détestais ce sentiment. Il me rappelait bien trop l’ancienne moi. Je chassais d’un coup ce sentiment et je pris Alana dans mes bras.


« Je suis trop contente que tu sois venue. »

Je l’invitai à rentrer dans mon petit chez moi qu’elle connaissait déjà et me dirigeai vers la cuisine. Les deux verres que j’avais faits étaient sur la table. Une paille à l’intérieur de chaque.


« Tu veux un smoothie ? J’en ai fait deux. Après je te montrerai pourquoi j’ai tellement besoin de toi. »

[vos points]

« Je suis là dans 5 minutes. » fut le message que je reçu quelques minutes plus tard mais même si elle habitait tout près de chez moi je savais que j’avais le temps de me faire un en-cas. Je pris une orange, une pomme, une poire et une banane et je mis tout sauf l’orange dans le mixeur après les avoir épluchés et épépinés. Pendant que ça mixait dur, je pris l’orange et je pressais. Vous avez bien compris, je me faisais un smoothie. Enfin j’en faisais plutôt deux. Alana ne dirait pas non. Justement, en parlant d’elle, l’interphone sonna. Je décrochai, le doigt déjà sur le bouton pour ouvrir. « C’est moi. » Je n’avais pas besoin de plus, j’ouvris. Il ne lui faudrait que quelques minutes avant qu’elle arrive et donc je décidai d’ouvrir la porte de l’appartement et de l’attendre, le sourire aux lèvres. Je me rendis compte que je portais un training et un vieux t-shirt de la fac de mon père que je lui avais subtilisé il y a de cela quelques années. Je n’étais pas non plus maquillé. Je ne me montrais pas à beaucoup de monde dans cette tenue mais Alana était quand même une de mes plus proches amies. Elle ne dira rien, enfin je l’espère. Elle arriva enfin ce qui me permit de me sortir de mes pensées un peu superficielles je dois l’admettre. Elle était radieuse comme je l’avais prévu. Je me sentais un peu idiot dans mon training. Je détestais ce sentiment. Il me rappelait bien trop l’ancienne moi. Je chassais d’un coup ce sentiment et je pris Alana dans mes bras.


« Je suis trop contente que tu sois venue. »

Je l’invitai à rentrer dans mon petit chez moi qu’elle connaissait déjà et me dirigeai vers la cuisine. Les deux verres que j’avais faits étaient sur la table. Une paille à l’intérieur de chaque.


« Tu veux un smoothie ? J’en ai fait deux. Après je te montrerai pourquoi j’ai tellement besoin de toi. »

[Messages]

« Je suis là dans 5 minutes. » fut le message que je reçu quelques minutes plus tard mais même si elle habitait tout près de chez moi je savais que j’avais le temps de me faire un en-cas. Je pris une orange, une pomme, une poire et une banane et je mis tout sauf l’orange dans le mixeur après les avoir épluchés et épépinés. Pendant que ça mixait dur, je pris l’orange et je pressais. Vous avez bien compris, je me faisais un smoothie. Enfin j’en faisais plutôt deux. Alana ne dirait pas non. Justement, en parlant d’elle, l’interphone sonna. Je décrochai, le doigt déjà sur le bouton pour ouvrir. « C’est moi. » Je n’avais pas besoin de plus, j’ouvris. Il ne lui faudrait que quelques minutes avant qu’elle arrive et donc je décidai d’ouvrir la porte de l’appartement et de l’attendre, le sourire aux lèvres. Je me rendis compte que je portais un training et un vieux t-shirt de la fac de mon père que je lui avais subtilisé il y a de cela quelques années. Je n’étais pas non plus maquillé. Je ne me montrais pas à beaucoup de monde dans cette tenue mais Alana était quand même une de mes plus proches amies. Elle ne dira rien, enfin je l’espère. Elle arriva enfin ce qui me permit de me sortir de mes pensées un peu superficielles je dois l’admettre. Elle était radieuse comme je l’avais prévu. Je me sentais un peu idiot dans mon training. Je détestais ce sentiment. Il me rappelait bien trop l’ancienne moi. Je chassais d’un coup ce sentiment et je pris Alana dans mes bras.


« Je suis trop contente que tu sois venue. »

Je l’invitai à rentrer dans mon petit chez moi qu’elle connaissait déjà et me dirigeai vers la cuisine. Les deux verres que j’avais faits étaient sur la table. Une paille à l’intérieur de chaque.


« Tu veux un smoothie ? J’en ai fait deux. Après je te montrerai pourquoi j’ai tellement besoin de toi. »

[Date d'inscription]

« Je suis là dans 5 minutes. » fut le message que je reçu quelques minutes plus tard mais même si elle habitait tout près de chez moi je savais que j’avais le temps de me faire un en-cas. Je pris une orange, une pomme, une poire et une banane et je mis tout sauf l’orange dans le mixeur après les avoir épluchés et épépinés. Pendant que ça mixait dur, je pris l’orange et je pressais. Vous avez bien compris, je me faisais un smoothie. Enfin j’en faisais plutôt deux. Alana ne dirait pas non. Justement, en parlant d’elle, l’interphone sonna. Je décrochai, le doigt déjà sur le bouton pour ouvrir. « C’est moi. » Je n’avais pas besoin de plus, j’ouvris. Il ne lui faudrait que quelques minutes avant qu’elle arrive et donc je décidai d’ouvrir la porte de l’appartement et de l’attendre, le sourire aux lèvres. Je me rendis compte que je portais un training et un vieux t-shirt de la fac de mon père que je lui avais subtilisé il y a de cela quelques années. Je n’étais pas non plus maquillé. Je ne me montrais pas à beaucoup de monde dans cette tenue mais Alana était quand même une de mes plus proches amies. Elle ne dira rien, enfin je l’espère. Elle arriva enfin ce qui me permit de me sortir de mes pensées un peu superficielles je dois l’admettre. Elle était radieuse comme je l’avais prévu. Je me sentais un peu idiot dans mon training. Je détestais ce sentiment. Il me rappelait bien trop l’ancienne moi. Je chassais d’un coup ce sentiment et je pris Alana dans mes bras.


« Je suis trop contente que tu sois venue. »

Je l’invitai à rentrer dans mon petit chez moi qu’elle connaissait déjà et me dirigeai vers la cuisine. Les deux verres que j’avais faits étaient sur la table. Une paille à l’intérieur de chaque.


« Tu veux un smoothie ? J’en ai fait deux. Après je te montrerai pourquoi j’ai tellement besoin de toi. »