[nouveau venu]

Lorsque j’ouvre un œil, il me faudra plusieurs minutes pour comprendre où je me trouve. La lumière au-dessus de mon visage m’aveugle et il y a une horrible odeur qui vient m’agresser le nez. J’essaie d’ignorer cette impression d’avoir un éléphant assis sur ma tête et me redresse le plus doucement possible. Malheureusement, lorsque je constate que je me trouve dans une cellule de poste de police, je me laisse mollement retomber sur le matelas de fortune. Eh merde… C’était pas encore arrivé depuis mon arrivée à Phoenix. A Londres j’avais souvent fini dans le poste de police de mon père à dégueuler mes tripes mais l’Amérique m’avait un peu calmé. Mais juste pour quatre années apparemment. Je décide de rester allongé quelques minutes histoire de remettre les étapes de la soirée dans le bon ordre. J’ai fini de bosser au « Boston » vers une heure du matin. Je suis allé chez Azèl mais il n’était pas là alors j’ai vadrouillé dans les rues en espérant le croiser. Et là… Je ne me rappelle plus de rien. Je crois bien que mon herbe était coupée avec autre chose pour que je finisse dans cet état. Je lâche un juron et finit par me lever du matelas de fortune pour m’avancer vers les barreaux. A Londres c’était facile, j’attendais que mon père arrive dans son bel uniforme et je pouvais partir, mais ici à part Nathéan et Azèl… Je ne connais personne qui serait d’accord de me sortir de ce mauvais pas. Ma colocataire m’enverrait directement chier, c’est clair. Je suis dans une merde profonde. « Hey ? Y a quelqu’un ? Jusqu’à preuve du contraire j’ai le droit de passer un coup de fil ! » J’ai vu ça dans un film américain et j’ai toujours rêvé de le dire. Putain, je dois encore être défoncé… Un flic finit par s’avancer vers moi et m’ouvrir les barreaux. « Alors c’est vrai ? J’ai vraiment le droit ? Classe ! » Sauf qu’il y a vraiment rien de classe à ça… Le policier en uniforme m’attrape le bras et me traine vers le téléphone le plus proche. La prochaine étape va être de trouver une pièce de monnaie. Je fouille au fond de mes poches, sous le regard accusateur de l’officier. « Ouais, je me dépêche, ça va ! » Finalement, je mets la main sur le pécu. Je compose le numéro de Nathéan et attends patiemment qu’il réponde. Je suis trop défoncé pour savoir que je vais m’en prendre plein la gueule. Du coup, quand il répond, je baragouine quelques mots. « Faut venir payer ma caution, steuplé. Oui au poste de police. Allez, tschüss ! » Et je raccroche, affichant un sourire plutôt fier sur ma gueule d’ange. Le policier m’empoigne à nouveau et je l’entends soupirer dans mon dos. « Au moins mon père mon laissait une bouteille de flotte ! Non ? Ah bon… Tant pis alors. » Je me laisse de nouveau tomber sur le matelas de la cellule et j’attends patiemment qu’on vienne me chercher. Je ferme les yeux quelques minutes histoire d’essayer de retrouver mes esprits.

[vos points]

Lorsque j’ouvre un œil, il me faudra plusieurs minutes pour comprendre où je me trouve. La lumière au-dessus de mon visage m’aveugle et il y a une horrible odeur qui vient m’agresser le nez. J’essaie d’ignorer cette impression d’avoir un éléphant assis sur ma tête et me redresse le plus doucement possible. Malheureusement, lorsque je constate que je me trouve dans une cellule de poste de police, je me laisse mollement retomber sur le matelas de fortune. Eh merde… C’était pas encore arrivé depuis mon arrivée à Phoenix. A Londres j’avais souvent fini dans le poste de police de mon père à dégueuler mes tripes mais l’Amérique m’avait un peu calmé. Mais juste pour quatre années apparemment. Je décide de rester allongé quelques minutes histoire de remettre les étapes de la soirée dans le bon ordre. J’ai fini de bosser au « Boston » vers une heure du matin. Je suis allé chez Azèl mais il n’était pas là alors j’ai vadrouillé dans les rues en espérant le croiser. Et là… Je ne me rappelle plus de rien. Je crois bien que mon herbe était coupée avec autre chose pour que je finisse dans cet état. Je lâche un juron et finit par me lever du matelas de fortune pour m’avancer vers les barreaux. A Londres c’était facile, j’attendais que mon père arrive dans son bel uniforme et je pouvais partir, mais ici à part Nathéan et Azèl… Je ne connais personne qui serait d’accord de me sortir de ce mauvais pas. Ma colocataire m’enverrait directement chier, c’est clair. Je suis dans une merde profonde. « Hey ? Y a quelqu’un ? Jusqu’à preuve du contraire j’ai le droit de passer un coup de fil ! » J’ai vu ça dans un film américain et j’ai toujours rêvé de le dire. Putain, je dois encore être défoncé… Un flic finit par s’avancer vers moi et m’ouvrir les barreaux. « Alors c’est vrai ? J’ai vraiment le droit ? Classe ! » Sauf qu’il y a vraiment rien de classe à ça… Le policier en uniforme m’attrape le bras et me traine vers le téléphone le plus proche. La prochaine étape va être de trouver une pièce de monnaie. Je fouille au fond de mes poches, sous le regard accusateur de l’officier. « Ouais, je me dépêche, ça va ! » Finalement, je mets la main sur le pécu. Je compose le numéro de Nathéan et attends patiemment qu’il réponde. Je suis trop défoncé pour savoir que je vais m’en prendre plein la gueule. Du coup, quand il répond, je baragouine quelques mots. « Faut venir payer ma caution, steuplé. Oui au poste de police. Allez, tschüss ! » Et je raccroche, affichant un sourire plutôt fier sur ma gueule d’ange. Le policier m’empoigne à nouveau et je l’entends soupirer dans mon dos. « Au moins mon père mon laissait une bouteille de flotte ! Non ? Ah bon… Tant pis alors. » Je me laisse de nouveau tomber sur le matelas de la cellule et j’attends patiemment qu’on vienne me chercher. Je ferme les yeux quelques minutes histoire d’essayer de retrouver mes esprits.

[Messages]

Lorsque j’ouvre un œil, il me faudra plusieurs minutes pour comprendre où je me trouve. La lumière au-dessus de mon visage m’aveugle et il y a une horrible odeur qui vient m’agresser le nez. J’essaie d’ignorer cette impression d’avoir un éléphant assis sur ma tête et me redresse le plus doucement possible. Malheureusement, lorsque je constate que je me trouve dans une cellule de poste de police, je me laisse mollement retomber sur le matelas de fortune. Eh merde… C’était pas encore arrivé depuis mon arrivée à Phoenix. A Londres j’avais souvent fini dans le poste de police de mon père à dégueuler mes tripes mais l’Amérique m’avait un peu calmé. Mais juste pour quatre années apparemment. Je décide de rester allongé quelques minutes histoire de remettre les étapes de la soirée dans le bon ordre. J’ai fini de bosser au « Boston » vers une heure du matin. Je suis allé chez Azèl mais il n’était pas là alors j’ai vadrouillé dans les rues en espérant le croiser. Et là… Je ne me rappelle plus de rien. Je crois bien que mon herbe était coupée avec autre chose pour que je finisse dans cet état. Je lâche un juron et finit par me lever du matelas de fortune pour m’avancer vers les barreaux. A Londres c’était facile, j’attendais que mon père arrive dans son bel uniforme et je pouvais partir, mais ici à part Nathéan et Azèl… Je ne connais personne qui serait d’accord de me sortir de ce mauvais pas. Ma colocataire m’enverrait directement chier, c’est clair. Je suis dans une merde profonde. « Hey ? Y a quelqu’un ? Jusqu’à preuve du contraire j’ai le droit de passer un coup de fil ! » J’ai vu ça dans un film américain et j’ai toujours rêvé de le dire. Putain, je dois encore être défoncé… Un flic finit par s’avancer vers moi et m’ouvrir les barreaux. « Alors c’est vrai ? J’ai vraiment le droit ? Classe ! » Sauf qu’il y a vraiment rien de classe à ça… Le policier en uniforme m’attrape le bras et me traine vers le téléphone le plus proche. La prochaine étape va être de trouver une pièce de monnaie. Je fouille au fond de mes poches, sous le regard accusateur de l’officier. « Ouais, je me dépêche, ça va ! » Finalement, je mets la main sur le pécu. Je compose le numéro de Nathéan et attends patiemment qu’il réponde. Je suis trop défoncé pour savoir que je vais m’en prendre plein la gueule. Du coup, quand il répond, je baragouine quelques mots. « Faut venir payer ma caution, steuplé. Oui au poste de police. Allez, tschüss ! » Et je raccroche, affichant un sourire plutôt fier sur ma gueule d’ange. Le policier m’empoigne à nouveau et je l’entends soupirer dans mon dos. « Au moins mon père mon laissait une bouteille de flotte ! Non ? Ah bon… Tant pis alors. » Je me laisse de nouveau tomber sur le matelas de la cellule et j’attends patiemment qu’on vienne me chercher. Je ferme les yeux quelques minutes histoire d’essayer de retrouver mes esprits.

[Date d'inscription]

Lorsque j’ouvre un œil, il me faudra plusieurs minutes pour comprendre où je me trouve. La lumière au-dessus de mon visage m’aveugle et il y a une horrible odeur qui vient m’agresser le nez. J’essaie d’ignorer cette impression d’avoir un éléphant assis sur ma tête et me redresse le plus doucement possible. Malheureusement, lorsque je constate que je me trouve dans une cellule de poste de police, je me laisse mollement retomber sur le matelas de fortune. Eh merde… C’était pas encore arrivé depuis mon arrivée à Phoenix. A Londres j’avais souvent fini dans le poste de police de mon père à dégueuler mes tripes mais l’Amérique m’avait un peu calmé. Mais juste pour quatre années apparemment. Je décide de rester allongé quelques minutes histoire de remettre les étapes de la soirée dans le bon ordre. J’ai fini de bosser au « Boston » vers une heure du matin. Je suis allé chez Azèl mais il n’était pas là alors j’ai vadrouillé dans les rues en espérant le croiser. Et là… Je ne me rappelle plus de rien. Je crois bien que mon herbe était coupée avec autre chose pour que je finisse dans cet état. Je lâche un juron et finit par me lever du matelas de fortune pour m’avancer vers les barreaux. A Londres c’était facile, j’attendais que mon père arrive dans son bel uniforme et je pouvais partir, mais ici à part Nathéan et Azèl… Je ne connais personne qui serait d’accord de me sortir de ce mauvais pas. Ma colocataire m’enverrait directement chier, c’est clair. Je suis dans une merde profonde. « Hey ? Y a quelqu’un ? Jusqu’à preuve du contraire j’ai le droit de passer un coup de fil ! » J’ai vu ça dans un film américain et j’ai toujours rêvé de le dire. Putain, je dois encore être défoncé… Un flic finit par s’avancer vers moi et m’ouvrir les barreaux. « Alors c’est vrai ? J’ai vraiment le droit ? Classe ! » Sauf qu’il y a vraiment rien de classe à ça… Le policier en uniforme m’attrape le bras et me traine vers le téléphone le plus proche. La prochaine étape va être de trouver une pièce de monnaie. Je fouille au fond de mes poches, sous le regard accusateur de l’officier. « Ouais, je me dépêche, ça va ! » Finalement, je mets la main sur le pécu. Je compose le numéro de Nathéan et attends patiemment qu’il réponde. Je suis trop défoncé pour savoir que je vais m’en prendre plein la gueule. Du coup, quand il répond, je baragouine quelques mots. « Faut venir payer ma caution, steuplé. Oui au poste de police. Allez, tschüss ! » Et je raccroche, affichant un sourire plutôt fier sur ma gueule d’ange. Le policier m’empoigne à nouveau et je l’entends soupirer dans mon dos. « Au moins mon père mon laissait une bouteille de flotte ! Non ? Ah bon… Tant pis alors. » Je me laisse de nouveau tomber sur le matelas de la cellule et j’attends patiemment qu’on vienne me chercher. Je ferme les yeux quelques minutes histoire d’essayer de retrouver mes esprits.

[nouveau venu]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Que dieu bénisse l’homme qui a inventer la couette et le matelas. Je suis tellement bien dans mon lit ce matin que je n’ai pas du tout envie d’en bouger. Pourtant je dois aller voir Andréa et sa fille, puis je dois aussi faire quelques courses pour le bar. Autrement dit je ne devrais pas traîner au lit et pourtant je ne bouge pas d’un pouce. Jusqu’à ce que le téléphone sonne. Une fois et puis deux. Je râle, mais finis par sortir le bras de ma couette pour attraper mon cellulaire. Je ne regarde même pas le numéro et décroche. Il ne me faudra que quelques secondes pour reconnaître la voix de Demyan de l’autre côté du fil. Il à l’air… Défoncé. On dirait qu’il voit des papillons et des licornes et tel un gamin il m’apprend qu’il est au commissariat et qu’il a besoin de moi pour payer sa caution. Je n’y crois pas. Il est en tôle. Qu’est-ce qu’il a bien pu faire comme connerie pour en arriver là ? Vu le son de sa voix et ce « Tchüss » débile qu’il me lance à la fin de la conversation, je comprends rapidement qu’il a dû abuser d’un joint ou deux hier soir. Je soupire et pose mon téléphone. « Bah t’attendra mon vieux. Ca te fera les pieds. » Je me retourne et enfonce mon visage dans mon oreiller. Une demi-heure plus tard je finis tout de même par me lever pour aller prendre une douche. Demyan ne m’as pas rappelé et de tout façon, je me dis qu’attendre encore un peu ne pourra pas lui faire de mal après tout. Cela lui remettra les idées en place à cet idiot. Comme toujours je chantonne sous la douche, je prends le temps de me raser et je prends encore tout mon temps pour choisir mes vêtements. Oui je suis chiant, mais je le vis plutôt bien pour le moment. Enfin. Je suis enfin prêt à sortir et finis par tomber nez à nez avec Andrea et son petit bout. « Salut vous deux. » Je dépose un baiser sur la joue de la jeune femme et fait un petit signe au bébé qui me rends un sourire. Je discute un peu avec Andréa et finis par annuler nos plans pour ce début de journée. Je lui monte un mensonge. Je ne veux pas qu’elle sache que je vais chercher Demyan au poste. Il n’y a rien de bien honteux pour moi là-dedans et pourtant je préfère ne pas lui dire. On prévoit un autre rendez-vous et je finis par quitter l’immeuble. Je prends ma voiture direction le commissariat. Au final j’arrive près de deux heures après le coup de téléphone de mon meilleur ami. Je pense qu’il va me faire comprendre que je l’énerve, mais je m’en fiche. C’est surtout lui qui va en prendre pour son grade. « Bonjour je viens chercher Demyan Caldwell. » L’officier semble plus heureux que jamais d’entendre cela. Qu’est-ce que Demyan a bien pu faire encore ? Je soupire et retiens un fou rire quand l’officier finis par me dire. « Sa caution a été fixé à 300 dollars. » « J’ai une tête à être riche ? » Visiblement ma petite blague ne lui plaît pas du tout. Je lève les yeux au ciel et finis par lui demander si je peux au moins voir mon avis avant de payer. Il trouve cela bizarre, mais accepte et m’entraîne devant la petite cellule de Demyan. Cet idiot dort comme un bien heureux et cette fois c’est trop. Je tends le bras et touche sa joue du doigt avant de gueuler : « DEBOUT PRINCESSE ! » Il sursaute et un léger sourire ironique s’affiche sur mon visage. « Tu m’explique et après j’envisage de te faire sortir… Ou pas. »

[vos points]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Que dieu bénisse l’homme qui a inventer la couette et le matelas. Je suis tellement bien dans mon lit ce matin que je n’ai pas du tout envie d’en bouger. Pourtant je dois aller voir Andréa et sa fille, puis je dois aussi faire quelques courses pour le bar. Autrement dit je ne devrais pas traîner au lit et pourtant je ne bouge pas d’un pouce. Jusqu’à ce que le téléphone sonne. Une fois et puis deux. Je râle, mais finis par sortir le bras de ma couette pour attraper mon cellulaire. Je ne regarde même pas le numéro et décroche. Il ne me faudra que quelques secondes pour reconnaître la voix de Demyan de l’autre côté du fil. Il à l’air… Défoncé. On dirait qu’il voit des papillons et des licornes et tel un gamin il m’apprend qu’il est au commissariat et qu’il a besoin de moi pour payer sa caution. Je n’y crois pas. Il est en tôle. Qu’est-ce qu’il a bien pu faire comme connerie pour en arriver là ? Vu le son de sa voix et ce « Tchüss » débile qu’il me lance à la fin de la conversation, je comprends rapidement qu’il a dû abuser d’un joint ou deux hier soir. Je soupire et pose mon téléphone. « Bah t’attendra mon vieux. Ca te fera les pieds. » Je me retourne et enfonce mon visage dans mon oreiller. Une demi-heure plus tard je finis tout de même par me lever pour aller prendre une douche. Demyan ne m’as pas rappelé et de tout façon, je me dis qu’attendre encore un peu ne pourra pas lui faire de mal après tout. Cela lui remettra les idées en place à cet idiot. Comme toujours je chantonne sous la douche, je prends le temps de me raser et je prends encore tout mon temps pour choisir mes vêtements. Oui je suis chiant, mais je le vis plutôt bien pour le moment. Enfin. Je suis enfin prêt à sortir et finis par tomber nez à nez avec Andrea et son petit bout. « Salut vous deux. » Je dépose un baiser sur la joue de la jeune femme et fait un petit signe au bébé qui me rends un sourire. Je discute un peu avec Andréa et finis par annuler nos plans pour ce début de journée. Je lui monte un mensonge. Je ne veux pas qu’elle sache que je vais chercher Demyan au poste. Il n’y a rien de bien honteux pour moi là-dedans et pourtant je préfère ne pas lui dire. On prévoit un autre rendez-vous et je finis par quitter l’immeuble. Je prends ma voiture direction le commissariat. Au final j’arrive près de deux heures après le coup de téléphone de mon meilleur ami. Je pense qu’il va me faire comprendre que je l’énerve, mais je m’en fiche. C’est surtout lui qui va en prendre pour son grade. « Bonjour je viens chercher Demyan Caldwell. » L’officier semble plus heureux que jamais d’entendre cela. Qu’est-ce que Demyan a bien pu faire encore ? Je soupire et retiens un fou rire quand l’officier finis par me dire. « Sa caution a été fixé à 300 dollars. » « J’ai une tête à être riche ? » Visiblement ma petite blague ne lui plaît pas du tout. Je lève les yeux au ciel et finis par lui demander si je peux au moins voir mon avis avant de payer. Il trouve cela bizarre, mais accepte et m’entraîne devant la petite cellule de Demyan. Cet idiot dort comme un bien heureux et cette fois c’est trop. Je tends le bras et touche sa joue du doigt avant de gueuler : « DEBOUT PRINCESSE ! » Il sursaute et un léger sourire ironique s’affiche sur mon visage. « Tu m’explique et après j’envisage de te faire sortir… Ou pas. »

[Messages]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Que dieu bénisse l’homme qui a inventer la couette et le matelas. Je suis tellement bien dans mon lit ce matin que je n’ai pas du tout envie d’en bouger. Pourtant je dois aller voir Andréa et sa fille, puis je dois aussi faire quelques courses pour le bar. Autrement dit je ne devrais pas traîner au lit et pourtant je ne bouge pas d’un pouce. Jusqu’à ce que le téléphone sonne. Une fois et puis deux. Je râle, mais finis par sortir le bras de ma couette pour attraper mon cellulaire. Je ne regarde même pas le numéro et décroche. Il ne me faudra que quelques secondes pour reconnaître la voix de Demyan de l’autre côté du fil. Il à l’air… Défoncé. On dirait qu’il voit des papillons et des licornes et tel un gamin il m’apprend qu’il est au commissariat et qu’il a besoin de moi pour payer sa caution. Je n’y crois pas. Il est en tôle. Qu’est-ce qu’il a bien pu faire comme connerie pour en arriver là ? Vu le son de sa voix et ce « Tchüss » débile qu’il me lance à la fin de la conversation, je comprends rapidement qu’il a dû abuser d’un joint ou deux hier soir. Je soupire et pose mon téléphone. « Bah t’attendra mon vieux. Ca te fera les pieds. » Je me retourne et enfonce mon visage dans mon oreiller. Une demi-heure plus tard je finis tout de même par me lever pour aller prendre une douche. Demyan ne m’as pas rappelé et de tout façon, je me dis qu’attendre encore un peu ne pourra pas lui faire de mal après tout. Cela lui remettra les idées en place à cet idiot. Comme toujours je chantonne sous la douche, je prends le temps de me raser et je prends encore tout mon temps pour choisir mes vêtements. Oui je suis chiant, mais je le vis plutôt bien pour le moment. Enfin. Je suis enfin prêt à sortir et finis par tomber nez à nez avec Andrea et son petit bout. « Salut vous deux. » Je dépose un baiser sur la joue de la jeune femme et fait un petit signe au bébé qui me rends un sourire. Je discute un peu avec Andréa et finis par annuler nos plans pour ce début de journée. Je lui monte un mensonge. Je ne veux pas qu’elle sache que je vais chercher Demyan au poste. Il n’y a rien de bien honteux pour moi là-dedans et pourtant je préfère ne pas lui dire. On prévoit un autre rendez-vous et je finis par quitter l’immeuble. Je prends ma voiture direction le commissariat. Au final j’arrive près de deux heures après le coup de téléphone de mon meilleur ami. Je pense qu’il va me faire comprendre que je l’énerve, mais je m’en fiche. C’est surtout lui qui va en prendre pour son grade. « Bonjour je viens chercher Demyan Caldwell. » L’officier semble plus heureux que jamais d’entendre cela. Qu’est-ce que Demyan a bien pu faire encore ? Je soupire et retiens un fou rire quand l’officier finis par me dire. « Sa caution a été fixé à 300 dollars. » « J’ai une tête à être riche ? » Visiblement ma petite blague ne lui plaît pas du tout. Je lève les yeux au ciel et finis par lui demander si je peux au moins voir mon avis avant de payer. Il trouve cela bizarre, mais accepte et m’entraîne devant la petite cellule de Demyan. Cet idiot dort comme un bien heureux et cette fois c’est trop. Je tends le bras et touche sa joue du doigt avant de gueuler : « DEBOUT PRINCESSE ! » Il sursaute et un léger sourire ironique s’affiche sur mon visage. « Tu m’explique et après j’envisage de te faire sortir… Ou pas. »

[Date d'inscription]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Que dieu bénisse l’homme qui a inventer la couette et le matelas. Je suis tellement bien dans mon lit ce matin que je n’ai pas du tout envie d’en bouger. Pourtant je dois aller voir Andréa et sa fille, puis je dois aussi faire quelques courses pour le bar. Autrement dit je ne devrais pas traîner au lit et pourtant je ne bouge pas d’un pouce. Jusqu’à ce que le téléphone sonne. Une fois et puis deux. Je râle, mais finis par sortir le bras de ma couette pour attraper mon cellulaire. Je ne regarde même pas le numéro et décroche. Il ne me faudra que quelques secondes pour reconnaître la voix de Demyan de l’autre côté du fil. Il à l’air… Défoncé. On dirait qu’il voit des papillons et des licornes et tel un gamin il m’apprend qu’il est au commissariat et qu’il a besoin de moi pour payer sa caution. Je n’y crois pas. Il est en tôle. Qu’est-ce qu’il a bien pu faire comme connerie pour en arriver là ? Vu le son de sa voix et ce « Tchüss » débile qu’il me lance à la fin de la conversation, je comprends rapidement qu’il a dû abuser d’un joint ou deux hier soir. Je soupire et pose mon téléphone. « Bah t’attendra mon vieux. Ca te fera les pieds. » Je me retourne et enfonce mon visage dans mon oreiller. Une demi-heure plus tard je finis tout de même par me lever pour aller prendre une douche. Demyan ne m’as pas rappelé et de tout façon, je me dis qu’attendre encore un peu ne pourra pas lui faire de mal après tout. Cela lui remettra les idées en place à cet idiot. Comme toujours je chantonne sous la douche, je prends le temps de me raser et je prends encore tout mon temps pour choisir mes vêtements. Oui je suis chiant, mais je le vis plutôt bien pour le moment. Enfin. Je suis enfin prêt à sortir et finis par tomber nez à nez avec Andrea et son petit bout. « Salut vous deux. » Je dépose un baiser sur la joue de la jeune femme et fait un petit signe au bébé qui me rends un sourire. Je discute un peu avec Andréa et finis par annuler nos plans pour ce début de journée. Je lui monte un mensonge. Je ne veux pas qu’elle sache que je vais chercher Demyan au poste. Il n’y a rien de bien honteux pour moi là-dedans et pourtant je préfère ne pas lui dire. On prévoit un autre rendez-vous et je finis par quitter l’immeuble. Je prends ma voiture direction le commissariat. Au final j’arrive près de deux heures après le coup de téléphone de mon meilleur ami. Je pense qu’il va me faire comprendre que je l’énerve, mais je m’en fiche. C’est surtout lui qui va en prendre pour son grade. « Bonjour je viens chercher Demyan Caldwell. » L’officier semble plus heureux que jamais d’entendre cela. Qu’est-ce que Demyan a bien pu faire encore ? Je soupire et retiens un fou rire quand l’officier finis par me dire. « Sa caution a été fixé à 300 dollars. » « J’ai une tête à être riche ? » Visiblement ma petite blague ne lui plaît pas du tout. Je lève les yeux au ciel et finis par lui demander si je peux au moins voir mon avis avant de payer. Il trouve cela bizarre, mais accepte et m’entraîne devant la petite cellule de Demyan. Cet idiot dort comme un bien heureux et cette fois c’est trop. Je tends le bras et touche sa joue du doigt avant de gueuler : « DEBOUT PRINCESSE ! » Il sursaute et un léger sourire ironique s’affiche sur mon visage. « Tu m’explique et après j’envisage de te faire sortir… Ou pas. »

[nouveau venu]

Il me faudra plusieurs minutes pour trouver le sommeil. Les flics ne cessent de faire du bruit autour de ma cellule et je ne me gêne pas pour leur faire comprendre mon mécontentement. Déjà que je ne me rappelle plus comment je suis arrivé ici, sans parler du fait que ça chlingue dans ma cellule alors que ça ne vient pas de moi, il faut en plus de ça que les policiers fassent tout pour m’empêcher de me reposer. Enfin, c’est pas l’hôtel mais au prix où ma caution va coûter autant que je puisse dormir et avoir un peu d’eau non ? Mais apparemment pas. Le policier près de ma cellule finit par partir. Je pense que je l’ai énervé mais je m’en fiche. Au moins à Londres ils ne sont pas si faciles. Là-bas ils sont carrément increvables mais ici, il suffit de quelques plaisanteries – plutôt mal placées je l’avoue – pour qu’ils abandonnent leur poste. Pitoyable. Quoi qu’il en soit, je vais enfin pouvoir pioncer un peu. Nathéan ne devrait pas tarder tout de manière.

Enfin… On a pas la même signification apparemment. Ca fait deux heures que je dors paisiblement lorsque tout d’un coup on me tripote la joue et qu’on se met à crier pour me réveiller. Je roule sur le côté, me retrouvant contre le sol en me protégeant les oreilles avec mes mains. « Putain… C’est quoi ce bor… » Je relève la tête et découvre mon meilleur ami accroché aux barreaux de ma cellule. Malgré mes petits yeux, un large sourire étire mes lèvres. « Rho ! J’ai jamais été aussi content de te voir ! » Je me mets difficilement à quatre pattes et rampe jusqu’aux barreaux, m’y accrochant pour m’aider à me lever face à Nathéan. Je lui tape sur l’épaule, essayant de paraître le plus naturel possible. Je fronce les sourcils en me rendant compte grâce à la pendule en face de moi que ça fait deux heures que j’ai appelé mon meilleur ami pour qu’il vienne payer ma caution. Je le regarde. « Putain, il t’a fallu deux heures ? C’était sûrement une couche bien sale pour que ça t’aie pris autant de temps ! » En voyant le regard que Nate me lance, je lui frotte encore un peu l’épaule. « Rho ! J’rigole ! Allez, va demander les cléclés au gentil policier QUI M’A LAISSE ME DESHYDRATER ! » dis-je en regardant le concerné avant de sourire bêtement à mon ami en faisant une petite moue. « Steuplé ! Steuplé ! Je veux rentrer chez moi et dormiiir. Je te jure que c’est pas de ma faute en plus. J’ai fumé la même chose que d’habitude mais je l’ai pas pris chez Azèl alors peut-être que c’était coupé et c’est pour ça que je me rappelle pas comment je suis arrivé ici. C’était contre mon insu… »

[vos points]

Il me faudra plusieurs minutes pour trouver le sommeil. Les flics ne cessent de faire du bruit autour de ma cellule et je ne me gêne pas pour leur faire comprendre mon mécontentement. Déjà que je ne me rappelle plus comment je suis arrivé ici, sans parler du fait que ça chlingue dans ma cellule alors que ça ne vient pas de moi, il faut en plus de ça que les policiers fassent tout pour m’empêcher de me reposer. Enfin, c’est pas l’hôtel mais au prix où ma caution va coûter autant que je puisse dormir et avoir un peu d’eau non ? Mais apparemment pas. Le policier près de ma cellule finit par partir. Je pense que je l’ai énervé mais je m’en fiche. Au moins à Londres ils ne sont pas si faciles. Là-bas ils sont carrément increvables mais ici, il suffit de quelques plaisanteries – plutôt mal placées je l’avoue – pour qu’ils abandonnent leur poste. Pitoyable. Quoi qu’il en soit, je vais enfin pouvoir pioncer un peu. Nathéan ne devrait pas tarder tout de manière.

Enfin… On a pas la même signification apparemment. Ca fait deux heures que je dors paisiblement lorsque tout d’un coup on me tripote la joue et qu’on se met à crier pour me réveiller. Je roule sur le côté, me retrouvant contre le sol en me protégeant les oreilles avec mes mains. « Putain… C’est quoi ce bor… » Je relève la tête et découvre mon meilleur ami accroché aux barreaux de ma cellule. Malgré mes petits yeux, un large sourire étire mes lèvres. « Rho ! J’ai jamais été aussi content de te voir ! » Je me mets difficilement à quatre pattes et rampe jusqu’aux barreaux, m’y accrochant pour m’aider à me lever face à Nathéan. Je lui tape sur l’épaule, essayant de paraître le plus naturel possible. Je fronce les sourcils en me rendant compte grâce à la pendule en face de moi que ça fait deux heures que j’ai appelé mon meilleur ami pour qu’il vienne payer ma caution. Je le regarde. « Putain, il t’a fallu deux heures ? C’était sûrement une couche bien sale pour que ça t’aie pris autant de temps ! » En voyant le regard que Nate me lance, je lui frotte encore un peu l’épaule. « Rho ! J’rigole ! Allez, va demander les cléclés au gentil policier QUI M’A LAISSE ME DESHYDRATER ! » dis-je en regardant le concerné avant de sourire bêtement à mon ami en faisant une petite moue. « Steuplé ! Steuplé ! Je veux rentrer chez moi et dormiiir. Je te jure que c’est pas de ma faute en plus. J’ai fumé la même chose que d’habitude mais je l’ai pas pris chez Azèl alors peut-être que c’était coupé et c’est pour ça que je me rappelle pas comment je suis arrivé ici. C’était contre mon insu… »

[Messages]

Il me faudra plusieurs minutes pour trouver le sommeil. Les flics ne cessent de faire du bruit autour de ma cellule et je ne me gêne pas pour leur faire comprendre mon mécontentement. Déjà que je ne me rappelle plus comment je suis arrivé ici, sans parler du fait que ça chlingue dans ma cellule alors que ça ne vient pas de moi, il faut en plus de ça que les policiers fassent tout pour m’empêcher de me reposer. Enfin, c’est pas l’hôtel mais au prix où ma caution va coûter autant que je puisse dormir et avoir un peu d’eau non ? Mais apparemment pas. Le policier près de ma cellule finit par partir. Je pense que je l’ai énervé mais je m’en fiche. Au moins à Londres ils ne sont pas si faciles. Là-bas ils sont carrément increvables mais ici, il suffit de quelques plaisanteries – plutôt mal placées je l’avoue – pour qu’ils abandonnent leur poste. Pitoyable. Quoi qu’il en soit, je vais enfin pouvoir pioncer un peu. Nathéan ne devrait pas tarder tout de manière.

Enfin… On a pas la même signification apparemment. Ca fait deux heures que je dors paisiblement lorsque tout d’un coup on me tripote la joue et qu’on se met à crier pour me réveiller. Je roule sur le côté, me retrouvant contre le sol en me protégeant les oreilles avec mes mains. « Putain… C’est quoi ce bor… » Je relève la tête et découvre mon meilleur ami accroché aux barreaux de ma cellule. Malgré mes petits yeux, un large sourire étire mes lèvres. « Rho ! J’ai jamais été aussi content de te voir ! » Je me mets difficilement à quatre pattes et rampe jusqu’aux barreaux, m’y accrochant pour m’aider à me lever face à Nathéan. Je lui tape sur l’épaule, essayant de paraître le plus naturel possible. Je fronce les sourcils en me rendant compte grâce à la pendule en face de moi que ça fait deux heures que j’ai appelé mon meilleur ami pour qu’il vienne payer ma caution. Je le regarde. « Putain, il t’a fallu deux heures ? C’était sûrement une couche bien sale pour que ça t’aie pris autant de temps ! » En voyant le regard que Nate me lance, je lui frotte encore un peu l’épaule. « Rho ! J’rigole ! Allez, va demander les cléclés au gentil policier QUI M’A LAISSE ME DESHYDRATER ! » dis-je en regardant le concerné avant de sourire bêtement à mon ami en faisant une petite moue. « Steuplé ! Steuplé ! Je veux rentrer chez moi et dormiiir. Je te jure que c’est pas de ma faute en plus. J’ai fumé la même chose que d’habitude mais je l’ai pas pris chez Azèl alors peut-être que c’était coupé et c’est pour ça que je me rappelle pas comment je suis arrivé ici. C’était contre mon insu… »

[Date d'inscription]

Il me faudra plusieurs minutes pour trouver le sommeil. Les flics ne cessent de faire du bruit autour de ma cellule et je ne me gêne pas pour leur faire comprendre mon mécontentement. Déjà que je ne me rappelle plus comment je suis arrivé ici, sans parler du fait que ça chlingue dans ma cellule alors que ça ne vient pas de moi, il faut en plus de ça que les policiers fassent tout pour m’empêcher de me reposer. Enfin, c’est pas l’hôtel mais au prix où ma caution va coûter autant que je puisse dormir et avoir un peu d’eau non ? Mais apparemment pas. Le policier près de ma cellule finit par partir. Je pense que je l’ai énervé mais je m’en fiche. Au moins à Londres ils ne sont pas si faciles. Là-bas ils sont carrément increvables mais ici, il suffit de quelques plaisanteries – plutôt mal placées je l’avoue – pour qu’ils abandonnent leur poste. Pitoyable. Quoi qu’il en soit, je vais enfin pouvoir pioncer un peu. Nathéan ne devrait pas tarder tout de manière.

Enfin… On a pas la même signification apparemment. Ca fait deux heures que je dors paisiblement lorsque tout d’un coup on me tripote la joue et qu’on se met à crier pour me réveiller. Je roule sur le côté, me retrouvant contre le sol en me protégeant les oreilles avec mes mains. « Putain… C’est quoi ce bor… » Je relève la tête et découvre mon meilleur ami accroché aux barreaux de ma cellule. Malgré mes petits yeux, un large sourire étire mes lèvres. « Rho ! J’ai jamais été aussi content de te voir ! » Je me mets difficilement à quatre pattes et rampe jusqu’aux barreaux, m’y accrochant pour m’aider à me lever face à Nathéan. Je lui tape sur l’épaule, essayant de paraître le plus naturel possible. Je fronce les sourcils en me rendant compte grâce à la pendule en face de moi que ça fait deux heures que j’ai appelé mon meilleur ami pour qu’il vienne payer ma caution. Je le regarde. « Putain, il t’a fallu deux heures ? C’était sûrement une couche bien sale pour que ça t’aie pris autant de temps ! » En voyant le regard que Nate me lance, je lui frotte encore un peu l’épaule. « Rho ! J’rigole ! Allez, va demander les cléclés au gentil policier QUI M’A LAISSE ME DESHYDRATER ! » dis-je en regardant le concerné avant de sourire bêtement à mon ami en faisant une petite moue. « Steuplé ! Steuplé ! Je veux rentrer chez moi et dormiiir. Je te jure que c’est pas de ma faute en plus. J’ai fumé la même chose que d’habitude mais je l’ai pas pris chez Azèl alors peut-être que c’était coupé et c’est pour ça que je me rappelle pas comment je suis arrivé ici. C’était contre mon insu… »

[nouveau venu]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Demyan c’est moi il y a quelques années de cela. Sauf que lui on ne l’as jamais condamné et j’aimerais que cela reste comme cela. Il a déjà eu assez de merde dans sa vie comme cela, il n’as pas besoin d’aller faire un tour en prison. Vraiment pas. Parce que je le connais, il doit faire le malin dans sa petite cellule au commissariat, mais la prison ce n’est pas le même monde. Pas du tout même. Je sais que je suis un peu trop protecteur avec lui, mais c’est uniquement pour son bien. Je ne fais pas cela uniquement pour l’embêter. Loin de là. Pourtant je le laisse un peu poireauter dans sa cellule. Bêtement je me dis que cela va lui permettre de réfléchir un peu sur sa condamnation et sur sa situation. Je me mettais le doigt dans l’œil. Et profond. Lorsque le jeune policier m’autorise à voir mon meilleur ami, je le retrouve endormi sur sa couchette. Il c’est cru dans un palace lui ou quoi ? Mon dieu. J’ai juste envie de lui en mettre une. Pourtant je me retiens. Je le secoue juste un peu avant d’hurler. Je suis sûr qu’il a mal à la tête et je me fais donc un plaisir d’hausser la voix ? Dur ? Absolument pas ! Ca va lui remettre les idées en place. Ou tout du moins c’est ce que je croyais. Voilà qu’il nous fait un rouler bouler maintenant. On aura tout vu. J’ai déjà vu Demyan défoncé et bourré, mais j’ai toujours du mal à me faire à cette image. Cela ne colle pas du tout avec son physique il faut l’avouer quand même. Enfin. Pas le temps de penser bien plus longtemps, il finit par se relever avec quelques difficultés et finis par me parler. Je crois que j’aurais préféré qu’il se taise pour être franc. Il me demande de le faire sortir de là et je fronce les sourcils. Oh non. Il ne va pas s’en sortir aussi facilement. Je vais lui en faire baver un peu. Ca c’est sûr. Quand il me fait une remarque sur mon retard mais surtout sur la fille d’Andrea j’ai envie d’exploser. « Ta gueule Demyan ! » Il continue pourtant et c’est de pire en pire pour être franc. On dirait un gamin de cinq ans. Bordel mais il a fumé quoi ? Ah bah… Voilà les explications. Azel. Forcément il fallait qu’il apparaisse dans la conversation lui. Je ne l’aime vraiment ce garçon pour être franc et je n’aime pas que Demyan passe tout son temps avec lui. Il continue et j’en ai marre d’un coup. Je passe ma main à travers les barreaux et l’attrape par la nuque. « Regarde-moi ? » Je plonge mon regard dans le sien et comprends tout de suite qu’il est encore complètement défoncé. J’exerce une légère pression sur sa nuque et sa tête viens heurter – pas trop violemment non plus sinon la princesse va pleurer – le barreau. Je le lâche et le regarde à nouveau. « Tu te sens mieux là ? » Le flic dans le coin de la pièce me regarde, mais ne dis rien. De toute façon ce n’est pas comme si je voulais le tuer. Enfin si j’en ai envie, mais je ne le ferais jamais. Je l’aime bien trop malgré ses conneries. « Tu va peut être resté là pour la journée en fait. Et celle de demain aussi. T’aura le temps de réfléchir comme ça. » Ca lui ferait vraiment du bien et je suis tenter de passer un deal avec les policiers pour qu’il le laisse là. Juste un peu.

[vos points]

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Demyan c’est moi il y a quelques années de cela. Sauf que lui on ne l’as jamais condamné et j’aimerais que cela reste comme cela. Il a déjà eu assez de merde dans sa vie comme cela, il n’as pas besoin d’aller faire un tour en prison. Vraiment pas. Parce que je le connais, il doit faire le malin dans sa petite cellule au commissariat, mais la prison ce n’est pas le même monde. Pas du tout même. Je sais que je suis un peu trop protecteur avec lui, mais c’est uniquement pour son bien. Je ne fais pas cela uniquement pour l’embêter. Loin de là. Pourtant je le laisse un peu poireauter dans sa cellule. Bêtement je me dis que cela va lui permettre de réfléchir un peu sur sa condamnation et sur sa situation. Je me mettais le doigt dans l’œil. Et profond. Lorsque le jeune policier m’autorise à voir mon meilleur ami, je le retrouve endormi sur sa couchette. Il c’est cru dans un palace lui ou quoi ? Mon dieu. J’ai juste envie de lui en mettre une. Pourtant je me retiens. Je le secoue juste un peu avant d’hurler. Je suis sûr qu’il a mal à la tête et je me fais donc un plaisir d’hausser la voix ? Dur ? Absolument pas ! Ca va lui remettre les idées en place. Ou tout du moins c’est ce que je croyais. Voilà qu’il nous fait un rouler bouler maintenant. On aura tout vu. J’ai déjà vu Demyan défoncé et bourré, mais j’ai toujours du mal à me faire à cette image. Cela ne colle pas du tout avec son physique il faut l’avouer quand même. Enfin. Pas le temps de penser bien plus longtemps, il finit par se relever avec quelques difficultés et finis par me parler. Je crois que j’aurais préféré qu’il se taise pour être franc. Il me demande de le faire sortir de là et je fronce les sourcils. Oh non. Il ne va pas s’en sortir aussi facilement. Je vais lui en faire baver un peu. Ca c’est sûr. Quand il me fait une remarque sur mon retard mais surtout sur la fille d’Andrea j’ai envie d’exploser. « Ta gueule Demyan ! » Il continue pourtant et c’est de pire en pire pour être franc. On dirait un gamin de cinq ans. Bordel mais il a fumé quoi ? Ah bah… Voilà les explications. Azel. Forcément il fallait qu’il apparaisse dans la conversation lui. Je ne l’aime vraiment ce garçon pour être franc et je n’aime pas que Demyan passe tout son temps avec lui. Il continue et j’en ai marre d’un coup. Je passe ma main à travers les barreaux et l’attrape par la nuque. « Regarde-moi ? » Je plonge mon regard dans le sien et comprends tout de suite qu’il est encore complètement défoncé. J’exerce une légère pression sur sa nuque et sa tête viens heurter – pas trop violemment non plus sinon la princesse va pleurer – le barreau. Je le lâche et le regarde à nouveau. « Tu te sens mieux là ? » Le flic dans le coin de la pièce me regarde, mais ne dis rien. De toute façon ce n’est pas comme si je voulais le tuer. Enfin si j’en ai envie, mais je ne le ferais jamais. Je l’aime bien trop malgré ses conneries. « Tu va peut être resté là pour la journée en fait. Et celle de demain aussi. T’aura le temps de réfléchir comme ça. » Ca lui ferait vraiment du bien et je suis tenter de passer un deal avec les policiers pour qu’il le laisse là. Juste un peu.

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Demyan c’est moi il y a quelques années de cela. Sauf que lui on ne l’as jamais condamné et j’aimerais que cela reste comme cela. Il a déjà eu assez de merde dans sa vie comme cela, il n’as pas besoin d’aller faire un tour en prison. Vraiment pas. Parce que je le connais, il doit faire le malin dans sa petite cellule au commissariat, mais la prison ce n’est pas le même monde. Pas du tout même. Je sais que je suis un peu trop protecteur avec lui, mais c’est uniquement pour son bien. Je ne fais pas cela uniquement pour l’embêter. Loin de là. Pourtant je le laisse un peu poireauter dans sa cellule. Bêtement je me dis que cela va lui permettre de réfléchir un peu sur sa condamnation et sur sa situation. Je me mettais le doigt dans l’œil. Et profond. Lorsque le jeune policier m’autorise à voir mon meilleur ami, je le retrouve endormi sur sa couchette. Il c’est cru dans un palace lui ou quoi ? Mon dieu. J’ai juste envie de lui en mettre une. Pourtant je me retiens. Je le secoue juste un peu avant d’hurler. Je suis sûr qu’il a mal à la tête et je me fais donc un plaisir d’hausser la voix ? Dur ? Absolument pas ! Ca va lui remettre les idées en place. Ou tout du moins c’est ce que je croyais. Voilà qu’il nous fait un rouler bouler maintenant. On aura tout vu. J’ai déjà vu Demyan défoncé et bourré, mais j’ai toujours du mal à me faire à cette image. Cela ne colle pas du tout avec son physique il faut l’avouer quand même. Enfin. Pas le temps de penser bien plus longtemps, il finit par se relever avec quelques difficultés et finis par me parler. Je crois que j’aurais préféré qu’il se taise pour être franc. Il me demande de le faire sortir de là et je fronce les sourcils. Oh non. Il ne va pas s’en sortir aussi facilement. Je vais lui en faire baver un peu. Ca c’est sûr. Quand il me fait une remarque sur mon retard mais surtout sur la fille d’Andrea j’ai envie d’exploser. « Ta gueule Demyan ! » Il continue pourtant et c’est de pire en pire pour être franc. On dirait un gamin de cinq ans. Bordel mais il a fumé quoi ? Ah bah… Voilà les explications. Azel. Forcément il fallait qu’il apparaisse dans la conversation lui. Je ne l’aime vraiment ce garçon pour être franc et je n’aime pas que Demyan passe tout son temps avec lui. Il continue et j’en ai marre d’un coup. Je passe ma main à travers les barreaux et l’attrape par la nuque. « Regarde-moi ? » Je plonge mon regard dans le sien et comprends tout de suite qu’il est encore complètement défoncé. J’exerce une légère pression sur sa nuque et sa tête viens heurter – pas trop violemment non plus sinon la princesse va pleurer – le barreau. Je le lâche et le regarde à nouveau. « Tu te sens mieux là ? » Le flic dans le coin de la pièce me regarde, mais ne dis rien. De toute façon ce n’est pas comme si je voulais le tuer. Enfin si j’en ai envie, mais je ne le ferais jamais. Je l’aime bien trop malgré ses conneries. « Tu va peut être resté là pour la journée en fait. Et celle de demain aussi. T’aura le temps de réfléchir comme ça. » Ca lui ferait vraiment du bien et je suis tenter de passer un deal avec les policiers pour qu’il le laisse là. Juste un peu.

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Demyan c’est moi il y a quelques années de cela. Sauf que lui on ne l’as jamais condamné et j’aimerais que cela reste comme cela. Il a déjà eu assez de merde dans sa vie comme cela, il n’as pas besoin d’aller faire un tour en prison. Vraiment pas. Parce que je le connais, il doit faire le malin dans sa petite cellule au commissariat, mais la prison ce n’est pas le même monde. Pas du tout même. Je sais que je suis un peu trop protecteur avec lui, mais c’est uniquement pour son bien. Je ne fais pas cela uniquement pour l’embêter. Loin de là. Pourtant je le laisse un peu poireauter dans sa cellule. Bêtement je me dis que cela va lui permettre de réfléchir un peu sur sa condamnation et sur sa situation. Je me mettais le doigt dans l’œil. Et profond. Lorsque le jeune policier m’autorise à voir mon meilleur ami, je le retrouve endormi sur sa couchette. Il c’est cru dans un palace lui ou quoi ? Mon dieu. J’ai juste envie de lui en mettre une. Pourtant je me retiens. Je le secoue juste un peu avant d’hurler. Je suis sûr qu’il a mal à la tête et je me fais donc un plaisir d’hausser la voix ? Dur ? Absolument pas ! Ca va lui remettre les idées en place. Ou tout du moins c’est ce que je croyais. Voilà qu’il nous fait un rouler bouler maintenant. On aura tout vu. J’ai déjà vu Demyan défoncé et bourré, mais j’ai toujours du mal à me faire à cette image. Cela ne colle pas du tout avec son physique il faut l’avouer quand même. Enfin. Pas le temps de penser bien plus longtemps, il finit par se relever avec quelques difficultés et finis par me parler. Je crois que j’aurais préféré qu’il se taise pour être franc. Il me demande de le faire sortir de là et je fronce les sourcils. Oh non. Il ne va pas s’en sortir aussi facilement. Je vais lui en faire baver un peu. Ca c’est sûr. Quand il me fait une remarque sur mon retard mais surtout sur la fille d’Andrea j’ai envie d’exploser. « Ta gueule Demyan ! » Il continue pourtant et c’est de pire en pire pour être franc. On dirait un gamin de cinq ans. Bordel mais il a fumé quoi ? Ah bah… Voilà les explications. Azel. Forcément il fallait qu’il apparaisse dans la conversation lui. Je ne l’aime vraiment ce garçon pour être franc et je n’aime pas que Demyan passe tout son temps avec lui. Il continue et j’en ai marre d’un coup. Je passe ma main à travers les barreaux et l’attrape par la nuque. « Regarde-moi ? » Je plonge mon regard dans le sien et comprends tout de suite qu’il est encore complètement défoncé. J’exerce une légère pression sur sa nuque et sa tête viens heurter – pas trop violemment non plus sinon la princesse va pleurer – le barreau. Je le lâche et le regarde à nouveau. « Tu te sens mieux là ? » Le flic dans le coin de la pièce me regarde, mais ne dis rien. De toute façon ce n’est pas comme si je voulais le tuer. Enfin si j’en ai envie, mais je ne le ferais jamais. Je l’aime bien trop malgré ses conneries. « Tu va peut être resté là pour la journée en fait. Et celle de demain aussi. T’aura le temps de réfléchir comme ça. » Ca lui ferait vraiment du bien et je suis tenter de passer un deal avec les policiers pour qu’il le laisse là. Juste un peu.

[nouveau venu]

Je n’ai jamais été un garçon modèle. Mes parents ont en bien pleuré, surtout ma maman. Elle qui espérait un fils qui serait bon à l’école, qui rentrerait après les cours, qui jouerait au volleyball ou je ne sais quelle autre connerie. Papa voulait d’un fils qui choisirait un métier comme la police ou quelque chose qui se termine de toute manière avec un diplôme… Raté. Et le problème c’est que je suis leur seul fils. Dès l’âge de seize ans, je n’ai jamais su me contrôler. J’ai tout de suite eu de mauvaises fréquentations et j’ai très vite mal tourné. J’ai jamais voulu suivre le chemin tout tracé que mes parents avaient pour moi. J’ai tout fait à ma manière et même si elle est pas toujours bonne, c’est celle que j’ai choisi et je l’aime comme elle est.

Enfin, là, maintenant, tout de suite je suis loin d’avoir fière mine et de faire le malin de manière générale. On s’est souvent pris la tête avec Nathéan, ça arrive même tous les jours. C’est quand on ne s’engueule pas qu’il faut s’inquiéter, mais jamais je n’ai vu une telle déception et rage dans son regard. Et croyez-moi, j’ai eu tout le loisir de bien me plonger dans ses yeux lorsqu’il m’a collé contre les barreaux de ma cellule. Je gémis de douleur en sentant mes cervicales craquer sous l’emprise de mon meilleur ami. Il m’oblige à le regarder et je crois que je décuve et deviens clean en une fraction de seconde. Il me demande si je me sens mieux et même si c’est sarcastique comme question, je me contente de cligner des yeux, n’arrivant pas à parler ni même à bouger la tête. Il me lâche et je titube un peu en arrière, me passant nerveusement une main dans les cheveux.

Je sais que Nathéan veut m’éviter les ennuis qu’il a pu avoir lorsqu’il avait mon âge, je sais que j’agis pas toujours très intelligemment mais comme j’ai dis, je ne me rappelle pas comment j’ai terminé la soirée. Après avoir quitté le « Boston » je me suis juste fumé un joint en essayant de retrouver Azèl. J’avais envie de passer la nuit avec lui, c’est tout… Et après, plus rien. Je pense sérieusement que je ne devrais plus acheter d’herbe chez quelqu’un d’autre que le métis parce que si ça se trouve c’est ça qui m’a drogué et qui m’a amené au poste de police. Une violente nausée m’envahit lorsque je comprends que j’ai peut-être fait les pires conneries cette nuit. Je me penche au-dessus du pauvre lavabo présent dans la cellule et vomit tout ce que contient mon estomac avant de m’essuyer la bouche et d’attraper mon blouson qui était posé sur le matelas. Je me rapproche de Nathéan et soupire. « Ramène moi chez moi. Ou chez toi. Je crois que je ne supporterai pas d’entendre la voix de Candace… J’ai compris la leçon, c’est bon. » Je jette un œil à l’officier qui est toujours posté un peu plus loin. « Et tu n’auras qu’à retenir ma caution sur ma prochaine paie. Je veux juste me barrer d’ici, s’il te plaît. »

[vos points]

Je n’ai jamais été un garçon modèle. Mes parents ont en bien pleuré, surtout ma maman. Elle qui espérait un fils qui serait bon à l’école, qui rentrerait après les cours, qui jouerait au volleyball ou je ne sais quelle autre connerie. Papa voulait d’un fils qui choisirait un métier comme la police ou quelque chose qui se termine de toute manière avec un diplôme… Raté. Et le problème c’est que je suis leur seul fils. Dès l’âge de seize ans, je n’ai jamais su me contrôler. J’ai tout de suite eu de mauvaises fréquentations et j’ai très vite mal tourné. J’ai jamais voulu suivre le chemin tout tracé que mes parents avaient pour moi. J’ai tout fait à ma manière et même si elle est pas toujours bonne, c’est celle que j’ai choisi et je l’aime comme elle est.

Enfin, là, maintenant, tout de suite je suis loin d’avoir fière mine et de faire le malin de manière générale. On s’est souvent pris la tête avec Nathéan, ça arrive même tous les jours. C’est quand on ne s’engueule pas qu’il faut s’inquiéter, mais jamais je n’ai vu une telle déception et rage dans son regard. Et croyez-moi, j’ai eu tout le loisir de bien me plonger dans ses yeux lorsqu’il m’a collé contre les barreaux de ma cellule. Je gémis de douleur en sentant mes cervicales craquer sous l’emprise de mon meilleur ami. Il m’oblige à le regarder et je crois que je décuve et deviens clean en une fraction de seconde. Il me demande si je me sens mieux et même si c’est sarcastique comme question, je me contente de cligner des yeux, n’arrivant pas à parler ni même à bouger la tête. Il me lâche et je titube un peu en arrière, me passant nerveusement une main dans les cheveux.

Je sais que Nathéan veut m’éviter les ennuis qu’il a pu avoir lorsqu’il avait mon âge, je sais que j’agis pas toujours très intelligemment mais comme j’ai dis, je ne me rappelle pas comment j’ai terminé la soirée. Après avoir quitté le « Boston » je me suis juste fumé un joint en essayant de retrouver Azèl. J’avais envie de passer la nuit avec lui, c’est tout… Et après, plus rien. Je pense sérieusement que je ne devrais plus acheter d’herbe chez quelqu’un d’autre que le métis parce que si ça se trouve c’est ça qui m’a drogué et qui m’a amené au poste de police. Une violente nausée m’envahit lorsque je comprends que j’ai peut-être fait les pires conneries cette nuit. Je me penche au-dessus du pauvre lavabo présent dans la cellule et vomit tout ce que contient mon estomac avant de m’essuyer la bouche et d’attraper mon blouson qui était posé sur le matelas. Je me rapproche de Nathéan et soupire. « Ramène moi chez moi. Ou chez toi. Je crois que je ne supporterai pas d’entendre la voix de Candace… J’ai compris la leçon, c’est bon. » Je jette un œil à l’officier qui est toujours posté un peu plus loin. « Et tu n’auras qu’à retenir ma caution sur ma prochaine paie. Je veux juste me barrer d’ici, s’il te plaît. »

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Je n’ai jamais été un garçon modèle. Mes parents ont en bien pleuré, surtout ma maman. Elle qui espérait un fils qui serait bon à l’école, qui rentrerait après les cours, qui jouerait au volleyball ou je ne sais quelle autre connerie. Papa voulait d’un fils qui choisirait un métier comme la police ou quelque chose qui se termine de toute manière avec un diplôme… Raté. Et le problème c’est que je suis leur seul fils. Dès l’âge de seize ans, je n’ai jamais su me contrôler. J’ai tout de suite eu de mauvaises fréquentations et j’ai très vite mal tourné. J’ai jamais voulu suivre le chemin tout tracé que mes parents avaient pour moi. J’ai tout fait à ma manière et même si elle est pas toujours bonne, c’est celle que j’ai choisi et je l’aime comme elle est.

Enfin, là, maintenant, tout de suite je suis loin d’avoir fière mine et de faire le malin de manière générale. On s’est souvent pris la tête avec Nathéan, ça arrive même tous les jours. C’est quand on ne s’engueule pas qu’il faut s’inquiéter, mais jamais je n’ai vu une telle déception et rage dans son regard. Et croyez-moi, j’ai eu tout le loisir de bien me plonger dans ses yeux lorsqu’il m’a collé contre les barreaux de ma cellule. Je gémis de douleur en sentant mes cervicales craquer sous l’emprise de mon meilleur ami. Il m’oblige à le regarder et je crois que je décuve et deviens clean en une fraction de seconde. Il me demande si je me sens mieux et même si c’est sarcastique comme question, je me contente de cligner des yeux, n’arrivant pas à parler ni même à bouger la tête. Il me lâche et je titube un peu en arrière, me passant nerveusement une main dans les cheveux.

Je sais que Nathéan veut m’éviter les ennuis qu’il a pu avoir lorsqu’il avait mon âge, je sais que j’agis pas toujours très intelligemment mais comme j’ai dis, je ne me rappelle pas comment j’ai terminé la soirée. Après avoir quitté le « Boston » je me suis juste fumé un joint en essayant de retrouver Azèl. J’avais envie de passer la nuit avec lui, c’est tout… Et après, plus rien. Je pense sérieusement que je ne devrais plus acheter d’herbe chez quelqu’un d’autre que le métis parce que si ça se trouve c’est ça qui m’a drogué et qui m’a amené au poste de police. Une violente nausée m’envahit lorsque je comprends que j’ai peut-être fait les pires conneries cette nuit. Je me penche au-dessus du pauvre lavabo présent dans la cellule et vomit tout ce que contient mon estomac avant de m’essuyer la bouche et d’attraper mon blouson qui était posé sur le matelas. Je me rapproche de Nathéan et soupire. « Ramène moi chez moi. Ou chez toi. Je crois que je ne supporterai pas d’entendre la voix de Candace… J’ai compris la leçon, c’est bon. » Je jette un œil à l’officier qui est toujours posté un peu plus loin. « Et tu n’auras qu’à retenir ma caution sur ma prochaine paie. Je veux juste me barrer d’ici, s’il te plaît. »

[Date d'inscription]

Je n’ai jamais été un garçon modèle. Mes parents ont en bien pleuré, surtout ma maman. Elle qui espérait un fils qui serait bon à l’école, qui rentrerait après les cours, qui jouerait au volleyball ou je ne sais quelle autre connerie. Papa voulait d’un fils qui choisirait un métier comme la police ou quelque chose qui se termine de toute manière avec un diplôme… Raté. Et le problème c’est que je suis leur seul fils. Dès l’âge de seize ans, je n’ai jamais su me contrôler. J’ai tout de suite eu de mauvaises fréquentations et j’ai très vite mal tourné. J’ai jamais voulu suivre le chemin tout tracé que mes parents avaient pour moi. J’ai tout fait à ma manière et même si elle est pas toujours bonne, c’est celle que j’ai choisi et je l’aime comme elle est.

Enfin, là, maintenant, tout de suite je suis loin d’avoir fière mine et de faire le malin de manière générale. On s’est souvent pris la tête avec Nathéan, ça arrive même tous les jours. C’est quand on ne s’engueule pas qu’il faut s’inquiéter, mais jamais je n’ai vu une telle déception et rage dans son regard. Et croyez-moi, j’ai eu tout le loisir de bien me plonger dans ses yeux lorsqu’il m’a collé contre les barreaux de ma cellule. Je gémis de douleur en sentant mes cervicales craquer sous l’emprise de mon meilleur ami. Il m’oblige à le regarder et je crois que je décuve et deviens clean en une fraction de seconde. Il me demande si je me sens mieux et même si c’est sarcastique comme question, je me contente de cligner des yeux, n’arrivant pas à parler ni même à bouger la tête. Il me lâche et je titube un peu en arrière, me passant nerveusement une main dans les cheveux.

Je sais que Nathéan veut m’éviter les ennuis qu’il a pu avoir lorsqu’il avait mon âge, je sais que j’agis pas toujours très intelligemment mais comme j’ai dis, je ne me rappelle pas comment j’ai terminé la soirée. Après avoir quitté le « Boston » je me suis juste fumé un joint en essayant de retrouver Azèl. J’avais envie de passer la nuit avec lui, c’est tout… Et après, plus rien. Je pense sérieusement que je ne devrais plus acheter d’herbe chez quelqu’un d’autre que le métis parce que si ça se trouve c’est ça qui m’a drogué et qui m’a amené au poste de police. Une violente nausée m’envahit lorsque je comprends que j’ai peut-être fait les pires conneries cette nuit. Je me penche au-dessus du pauvre lavabo présent dans la cellule et vomit tout ce que contient mon estomac avant de m’essuyer la bouche et d’attraper mon blouson qui était posé sur le matelas. Je me rapproche de Nathéan et soupire. « Ramène moi chez moi. Ou chez toi. Je crois que je ne supporterai pas d’entendre la voix de Candace… J’ai compris la leçon, c’est bon. » Je jette un œil à l’officier qui est toujours posté un peu plus loin. « Et tu n’auras qu’à retenir ma caution sur ma prochaine paie. Je veux juste me barrer d’ici, s’il te plaît. »

[nouveau venu]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Parfois j’ai l’impression d’être la baby-sitter d’un gamin de cinq ans avec Demyan. Des conneries il en a fait, mais c’est tout de même la première fois que je viens le chercher au poste de police. Cela fait un bon moment que je n’avais pas mit les pieds dans un tel endroit. Si vous voulez mon avis je me serais bien abstenu d’y entrer, mais bon… Je ne vais pas non plus le laisser tout seul dans cette galère. Parce qu’il est clairement en galère. Il n’a pas encore totalement évacué le ou les joints qu’il a bien pu fumer hier soir et je sais d’avance que je ne vais pas le laisser rentrer chez lui tout de suite. Je préfère qu’il se moque de moi avec ma voisine, mais de pouvoir avoir un œil sur lui. Enfin. Pour le faire décuver avant d’envisager de le faire sortir, je lui lance un regard bien noir et finis même par le frapper un peu. Rien de bien méchant. Juste histoire de lui remettre les idées en place. Je sais que l’on va finir par s’engueuler quand il aura totalement retrouvé ses esprits, mais pour le moment, je m’en fiche totalement. Je sais qu’il veut sortir et moi aussi je veux le sortir de là, mais je n’ai pas du tout l’argent que les flics demandent pour sa petite tête. Alors j’essaye de gagner du temps, histoire de pouvoir réfléchir un peu. En attendant, Demyan s’éloigne. Je fronce les sourcils et me tourne juste au moment où il se baisse pour vomir dans le pauvre évier qui traînait dans un coin. Eurk. Au moins, il va peut être enfin allé un peu mieux. Je l’ai tout de même rarement vu dans cet état et je me demande bien ce qu’il a pu faire hier soir. Si je recroise ce fameux Azèl je crois qu’il va entendre parler de moi. Je ne suis pas du genre à interdire à Demyan de fréquenter qui il veut, mais il ne faut pas trop abuser non plus. Il va falloir que je tire cette histoire au clair tout de même.

Mon meilleur ami finis par me supplier de le sortir de là et surtout de le ramener chez moi. Il a presque l’air tout fragile d’un seul coup et je n’aime pas cela. Pourtant l’argent ne tombe pas du ciel et c’est bien cela le problème. « Sauf que j’ai pas 300 dollars Demyan… Je vous ai payé la semaine dernière, j’ai plus rien pour le moment. » J’ai largement de quoi vivre une vie aisée avec le bar, mais il y a toujours une ou deux semaines ou je me retrouve avec rien sur mon compte car j’ai payé mes employés et mes livraisons. Habituellement je m’en sors très bien puisque cela fait quelques années que je fonctionne de cette manière, mais là… Je dois avoir 150 dollars sur mon compte. Pas plus. Est-ce que l’on peut négocier avec la police ? Je tourne la tête et croise le regard de l’officier qui n’a pas quitté le bout du couloir. Comment je vais faire ? « Fait un beau sourire et tes yeux de cockers là… » dis-je a Demyan tout en partant en direction de l’officier. Je me dirige vers lui et finis par lui offrir mon plus beau sourire. « Excusez moi, mais… Si vous le garder une ou deux heures de plus sa caution sera moins élevé ? » Prions pour que ce flic soit assez sympa pour laisser Demyan partir ou pour avoir pitié de moi. Je ne sais pas.

[vos points]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Parfois j’ai l’impression d’être la baby-sitter d’un gamin de cinq ans avec Demyan. Des conneries il en a fait, mais c’est tout de même la première fois que je viens le chercher au poste de police. Cela fait un bon moment que je n’avais pas mit les pieds dans un tel endroit. Si vous voulez mon avis je me serais bien abstenu d’y entrer, mais bon… Je ne vais pas non plus le laisser tout seul dans cette galère. Parce qu’il est clairement en galère. Il n’a pas encore totalement évacué le ou les joints qu’il a bien pu fumer hier soir et je sais d’avance que je ne vais pas le laisser rentrer chez lui tout de suite. Je préfère qu’il se moque de moi avec ma voisine, mais de pouvoir avoir un œil sur lui. Enfin. Pour le faire décuver avant d’envisager de le faire sortir, je lui lance un regard bien noir et finis même par le frapper un peu. Rien de bien méchant. Juste histoire de lui remettre les idées en place. Je sais que l’on va finir par s’engueuler quand il aura totalement retrouvé ses esprits, mais pour le moment, je m’en fiche totalement. Je sais qu’il veut sortir et moi aussi je veux le sortir de là, mais je n’ai pas du tout l’argent que les flics demandent pour sa petite tête. Alors j’essaye de gagner du temps, histoire de pouvoir réfléchir un peu. En attendant, Demyan s’éloigne. Je fronce les sourcils et me tourne juste au moment où il se baisse pour vomir dans le pauvre évier qui traînait dans un coin. Eurk. Au moins, il va peut être enfin allé un peu mieux. Je l’ai tout de même rarement vu dans cet état et je me demande bien ce qu’il a pu faire hier soir. Si je recroise ce fameux Azèl je crois qu’il va entendre parler de moi. Je ne suis pas du genre à interdire à Demyan de fréquenter qui il veut, mais il ne faut pas trop abuser non plus. Il va falloir que je tire cette histoire au clair tout de même.

Mon meilleur ami finis par me supplier de le sortir de là et surtout de le ramener chez moi. Il a presque l’air tout fragile d’un seul coup et je n’aime pas cela. Pourtant l’argent ne tombe pas du ciel et c’est bien cela le problème. « Sauf que j’ai pas 300 dollars Demyan… Je vous ai payé la semaine dernière, j’ai plus rien pour le moment. » J’ai largement de quoi vivre une vie aisée avec le bar, mais il y a toujours une ou deux semaines ou je me retrouve avec rien sur mon compte car j’ai payé mes employés et mes livraisons. Habituellement je m’en sors très bien puisque cela fait quelques années que je fonctionne de cette manière, mais là… Je dois avoir 150 dollars sur mon compte. Pas plus. Est-ce que l’on peut négocier avec la police ? Je tourne la tête et croise le regard de l’officier qui n’a pas quitté le bout du couloir. Comment je vais faire ? « Fait un beau sourire et tes yeux de cockers là… » dis-je a Demyan tout en partant en direction de l’officier. Je me dirige vers lui et finis par lui offrir mon plus beau sourire. « Excusez moi, mais… Si vous le garder une ou deux heures de plus sa caution sera moins élevé ? » Prions pour que ce flic soit assez sympa pour laisser Demyan partir ou pour avoir pitié de moi. Je ne sais pas.

[Messages]

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Parfois j’ai l’impression d’être la baby-sitter d’un gamin de cinq ans avec Demyan. Des conneries il en a fait, mais c’est tout de même la première fois que je viens le chercher au poste de police. Cela fait un bon moment que je n’avais pas mit les pieds dans un tel endroit. Si vous voulez mon avis je me serais bien abstenu d’y entrer, mais bon… Je ne vais pas non plus le laisser tout seul dans cette galère. Parce qu’il est clairement en galère. Il n’a pas encore totalement évacué le ou les joints qu’il a bien pu fumer hier soir et je sais d’avance que je ne vais pas le laisser rentrer chez lui tout de suite. Je préfère qu’il se moque de moi avec ma voisine, mais de pouvoir avoir un œil sur lui. Enfin. Pour le faire décuver avant d’envisager de le faire sortir, je lui lance un regard bien noir et finis même par le frapper un peu. Rien de bien méchant. Juste histoire de lui remettre les idées en place. Je sais que l’on va finir par s’engueuler quand il aura totalement retrouvé ses esprits, mais pour le moment, je m’en fiche totalement. Je sais qu’il veut sortir et moi aussi je veux le sortir de là, mais je n’ai pas du tout l’argent que les flics demandent pour sa petite tête. Alors j’essaye de gagner du temps, histoire de pouvoir réfléchir un peu. En attendant, Demyan s’éloigne. Je fronce les sourcils et me tourne juste au moment où il se baisse pour vomir dans le pauvre évier qui traînait dans un coin. Eurk. Au moins, il va peut être enfin allé un peu mieux. Je l’ai tout de même rarement vu dans cet état et je me demande bien ce qu’il a pu faire hier soir. Si je recroise ce fameux Azèl je crois qu’il va entendre parler de moi. Je ne suis pas du genre à interdire à Demyan de fréquenter qui il veut, mais il ne faut pas trop abuser non plus. Il va falloir que je tire cette histoire au clair tout de même.

Mon meilleur ami finis par me supplier de le sortir de là et surtout de le ramener chez moi. Il a presque l’air tout fragile d’un seul coup et je n’aime pas cela. Pourtant l’argent ne tombe pas du ciel et c’est bien cela le problème. « Sauf que j’ai pas 300 dollars Demyan… Je vous ai payé la semaine dernière, j’ai plus rien pour le moment. » J’ai largement de quoi vivre une vie aisée avec le bar, mais il y a toujours une ou deux semaines ou je me retrouve avec rien sur mon compte car j’ai payé mes employés et mes livraisons. Habituellement je m’en sors très bien puisque cela fait quelques années que je fonctionne de cette manière, mais là… Je dois avoir 150 dollars sur mon compte. Pas plus. Est-ce que l’on peut négocier avec la police ? Je tourne la tête et croise le regard de l’officier qui n’a pas quitté le bout du couloir. Comment je vais faire ? « Fait un beau sourire et tes yeux de cockers là… » dis-je a Demyan tout en partant en direction de l’officier. Je me dirige vers lui et finis par lui offrir mon plus beau sourire. « Excusez moi, mais… Si vous le garder une ou deux heures de plus sa caution sera moins élevé ? » Prions pour que ce flic soit assez sympa pour laisser Demyan partir ou pour avoir pitié de moi. Je ne sais pas.

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You've been a really bad bad boy
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Parfois j’ai l’impression d’être la baby-sitter d’un gamin de cinq ans avec Demyan. Des conneries il en a fait, mais c’est tout de même la première fois que je viens le chercher au poste de police. Cela fait un bon moment que je n’avais pas mit les pieds dans un tel endroit. Si vous voulez mon avis je me serais bien abstenu d’y entrer, mais bon… Je ne vais pas non plus le laisser tout seul dans cette galère. Parce qu’il est clairement en galère. Il n’a pas encore totalement évacué le ou les joints qu’il a bien pu fumer hier soir et je sais d’avance que je ne vais pas le laisser rentrer chez lui tout de suite. Je préfère qu’il se moque de moi avec ma voisine, mais de pouvoir avoir un œil sur lui. Enfin. Pour le faire décuver avant d’envisager de le faire sortir, je lui lance un regard bien noir et finis même par le frapper un peu. Rien de bien méchant. Juste histoire de lui remettre les idées en place. Je sais que l’on va finir par s’engueuler quand il aura totalement retrouvé ses esprits, mais pour le moment, je m’en fiche totalement. Je sais qu’il veut sortir et moi aussi je veux le sortir de là, mais je n’ai pas du tout l’argent que les flics demandent pour sa petite tête. Alors j’essaye de gagner du temps, histoire de pouvoir réfléchir un peu. En attendant, Demyan s’éloigne. Je fronce les sourcils et me tourne juste au moment où il se baisse pour vomir dans le pauvre évier qui traînait dans un coin. Eurk. Au moins, il va peut être enfin allé un peu mieux. Je l’ai tout de même rarement vu dans cet état et je me demande bien ce qu’il a pu faire hier soir. Si je recroise ce fameux Azèl je crois qu’il va entendre parler de moi. Je ne suis pas du genre à interdire à Demyan de fréquenter qui il veut, mais il ne faut pas trop abuser non plus. Il va falloir que je tire cette histoire au clair tout de même.

Mon meilleur ami finis par me supplier de le sortir de là et surtout de le ramener chez moi. Il a presque l’air tout fragile d’un seul coup et je n’aime pas cela. Pourtant l’argent ne tombe pas du ciel et c’est bien cela le problème. « Sauf que j’ai pas 300 dollars Demyan… Je vous ai payé la semaine dernière, j’ai plus rien pour le moment. » J’ai largement de quoi vivre une vie aisée avec le bar, mais il y a toujours une ou deux semaines ou je me retrouve avec rien sur mon compte car j’ai payé mes employés et mes livraisons. Habituellement je m’en sors très bien puisque cela fait quelques années que je fonctionne de cette manière, mais là… Je dois avoir 150 dollars sur mon compte. Pas plus. Est-ce que l’on peut négocier avec la police ? Je tourne la tête et croise le regard de l’officier qui n’a pas quitté le bout du couloir. Comment je vais faire ? « Fait un beau sourire et tes yeux de cockers là… » dis-je a Demyan tout en partant en direction de l’officier. Je me dirige vers lui et finis par lui offrir mon plus beau sourire. « Excusez moi, mais… Si vous le garder une ou deux heures de plus sa caution sera moins élevé ? » Prions pour que ce flic soit assez sympa pour laisser Demyan partir ou pour avoir pitié de moi. Je ne sais pas.

[nouveau venu]

Il ne me faudra que deux minutes pour décuver et retomber sur terre. Même si Nathéan me fatigue très souvent à faire son moralisateur et son vieux, il n'y a que lui pour me ramener à la réalité. Je pense que s'il ne m'avait pas engueulé un bon coup en m'empoignant contre les barreaux de la cellule, je serais toujours en train de me foutre de lui. Une vraie douche froide. Malgré que j'aie vidé le contenu de mon estomac dans l'évier, je sens encore ma tête me tourner la moindre, mais je l'ignore. Ca m'arrive de finir complètement ivre mort mais je n'ai jamais mal à la tête ni même de nausées le lendemain. D'ailleurs, je sens que je vais le payer toute la journée. Ô joie... Je n'ai qu'une envie; me barrer d'ici, ne plus voir ce matelas pleins de mites et de retrouver mon appartement. Ou plutôt celui d'Azèl, mais ça c'est impossible. Je n'ai pas le droit. C'est dans les règles. Foutues règles.

Quoi qu'il en soit, je veux partir d'ici et je propose même à mon meilleur ami de retenir la caution sur ma paie, du moment qu'il me sort d'ici. Je le vois réfléchir et surtout, grimacer. Ca pue et je ne parle pas de l'odeur qu'il y a dans ma cellule... C'est là que Nathéan me fait comprendre qu'il n'a pas de quoi payer ma caution. Putain je crois que je vais me mettre à chialer. Il n'a pas besoin de se justifier, je me rends compte que c'est une sacrée somme et qu'il nous a payé la semaine passée... Mais j'avais personne d'autre à appeler. Azèl n'aurait peut-être même pas fait le déplacement... Je prends ma tête entre les mains, essayant d'ignorer cette acide remontée de bile dans ma gorge. Putain dans quelle merde je me suis fichu cette fois... Je m'appuie à nouveau sur les barreaux et suis le regard de mon meilleur ami vers le policier. « Ecoute, il doit y avoir cent dollars dans mon porte feuille mais c'est eux qui l'ont... » Je ne peux pas m'empêcher de le regarder de manière exaspérée lorsqu'il me demande de faire ma bouille de cocker. Il est sérieux? C'est pas ça qui va me faire sortir d'ici... Nathéan se met à négocier avec le policier et je secoue frénétiquement la tête, réveillant cette bonne vieille douleur de lendemain de fête. « Arrête non je veux pas rester ici encore d... » « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Je suis sur le cul. Je jette un regard à Nathéan avant de m'écarter des barreaux en levant les bras en signe de victoire. « Yes! Vive les Etats-Unis d'Amérique! » Le policier soupire et s'avance avec son trousseau de clés. Il m'ouvre et me laisse sortir. J'enfile mon blouson en cuir et suit mon meilleur ami vers l'accueil où l'on me rend mon porte-feuilles, mes clés, mon téléphone. « Il manque un truc. » « Tu peux toujours courir pour qu'on te rende ça. » J'aurais essayé au moins. Et puis, ça me fera une bonne excuse pour aller chez Azèl ce soir et lui racheter du cannabis. Je tends un billet de cent dollars et fourre mes effets dans mes poches avant de finalement me tourner vers Nathéan. « Go. Promis je gerbe pas dans ta vieille caisse. »

[vos points]

Il ne me faudra que deux minutes pour décuver et retomber sur terre. Même si Nathéan me fatigue très souvent à faire son moralisateur et son vieux, il n'y a que lui pour me ramener à la réalité. Je pense que s'il ne m'avait pas engueulé un bon coup en m'empoignant contre les barreaux de la cellule, je serais toujours en train de me foutre de lui. Une vraie douche froide. Malgré que j'aie vidé le contenu de mon estomac dans l'évier, je sens encore ma tête me tourner la moindre, mais je l'ignore. Ca m'arrive de finir complètement ivre mort mais je n'ai jamais mal à la tête ni même de nausées le lendemain. D'ailleurs, je sens que je vais le payer toute la journée. Ô joie... Je n'ai qu'une envie; me barrer d'ici, ne plus voir ce matelas pleins de mites et de retrouver mon appartement. Ou plutôt celui d'Azèl, mais ça c'est impossible. Je n'ai pas le droit. C'est dans les règles. Foutues règles.

Quoi qu'il en soit, je veux partir d'ici et je propose même à mon meilleur ami de retenir la caution sur ma paie, du moment qu'il me sort d'ici. Je le vois réfléchir et surtout, grimacer. Ca pue et je ne parle pas de l'odeur qu'il y a dans ma cellule... C'est là que Nathéan me fait comprendre qu'il n'a pas de quoi payer ma caution. Putain je crois que je vais me mettre à chialer. Il n'a pas besoin de se justifier, je me rends compte que c'est une sacrée somme et qu'il nous a payé la semaine passée... Mais j'avais personne d'autre à appeler. Azèl n'aurait peut-être même pas fait le déplacement... Je prends ma tête entre les mains, essayant d'ignorer cette acide remontée de bile dans ma gorge. Putain dans quelle merde je me suis fichu cette fois... Je m'appuie à nouveau sur les barreaux et suis le regard de mon meilleur ami vers le policier. « Ecoute, il doit y avoir cent dollars dans mon porte feuille mais c'est eux qui l'ont... » Je ne peux pas m'empêcher de le regarder de manière exaspérée lorsqu'il me demande de faire ma bouille de cocker. Il est sérieux? C'est pas ça qui va me faire sortir d'ici... Nathéan se met à négocier avec le policier et je secoue frénétiquement la tête, réveillant cette bonne vieille douleur de lendemain de fête. « Arrête non je veux pas rester ici encore d... » « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Je suis sur le cul. Je jette un regard à Nathéan avant de m'écarter des barreaux en levant les bras en signe de victoire. « Yes! Vive les Etats-Unis d'Amérique! » Le policier soupire et s'avance avec son trousseau de clés. Il m'ouvre et me laisse sortir. J'enfile mon blouson en cuir et suit mon meilleur ami vers l'accueil où l'on me rend mon porte-feuilles, mes clés, mon téléphone. « Il manque un truc. » « Tu peux toujours courir pour qu'on te rende ça. » J'aurais essayé au moins. Et puis, ça me fera une bonne excuse pour aller chez Azèl ce soir et lui racheter du cannabis. Je tends un billet de cent dollars et fourre mes effets dans mes poches avant de finalement me tourner vers Nathéan. « Go. Promis je gerbe pas dans ta vieille caisse. »

[Messages]

Il ne me faudra que deux minutes pour décuver et retomber sur terre. Même si Nathéan me fatigue très souvent à faire son moralisateur et son vieux, il n'y a que lui pour me ramener à la réalité. Je pense que s'il ne m'avait pas engueulé un bon coup en m'empoignant contre les barreaux de la cellule, je serais toujours en train de me foutre de lui. Une vraie douche froide. Malgré que j'aie vidé le contenu de mon estomac dans l'évier, je sens encore ma tête me tourner la moindre, mais je l'ignore. Ca m'arrive de finir complètement ivre mort mais je n'ai jamais mal à la tête ni même de nausées le lendemain. D'ailleurs, je sens que je vais le payer toute la journée. Ô joie... Je n'ai qu'une envie; me barrer d'ici, ne plus voir ce matelas pleins de mites et de retrouver mon appartement. Ou plutôt celui d'Azèl, mais ça c'est impossible. Je n'ai pas le droit. C'est dans les règles. Foutues règles.

Quoi qu'il en soit, je veux partir d'ici et je propose même à mon meilleur ami de retenir la caution sur ma paie, du moment qu'il me sort d'ici. Je le vois réfléchir et surtout, grimacer. Ca pue et je ne parle pas de l'odeur qu'il y a dans ma cellule... C'est là que Nathéan me fait comprendre qu'il n'a pas de quoi payer ma caution. Putain je crois que je vais me mettre à chialer. Il n'a pas besoin de se justifier, je me rends compte que c'est une sacrée somme et qu'il nous a payé la semaine passée... Mais j'avais personne d'autre à appeler. Azèl n'aurait peut-être même pas fait le déplacement... Je prends ma tête entre les mains, essayant d'ignorer cette acide remontée de bile dans ma gorge. Putain dans quelle merde je me suis fichu cette fois... Je m'appuie à nouveau sur les barreaux et suis le regard de mon meilleur ami vers le policier. « Ecoute, il doit y avoir cent dollars dans mon porte feuille mais c'est eux qui l'ont... » Je ne peux pas m'empêcher de le regarder de manière exaspérée lorsqu'il me demande de faire ma bouille de cocker. Il est sérieux? C'est pas ça qui va me faire sortir d'ici... Nathéan se met à négocier avec le policier et je secoue frénétiquement la tête, réveillant cette bonne vieille douleur de lendemain de fête. « Arrête non je veux pas rester ici encore d... » « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Je suis sur le cul. Je jette un regard à Nathéan avant de m'écarter des barreaux en levant les bras en signe de victoire. « Yes! Vive les Etats-Unis d'Amérique! » Le policier soupire et s'avance avec son trousseau de clés. Il m'ouvre et me laisse sortir. J'enfile mon blouson en cuir et suit mon meilleur ami vers l'accueil où l'on me rend mon porte-feuilles, mes clés, mon téléphone. « Il manque un truc. » « Tu peux toujours courir pour qu'on te rende ça. » J'aurais essayé au moins. Et puis, ça me fera une bonne excuse pour aller chez Azèl ce soir et lui racheter du cannabis. Je tends un billet de cent dollars et fourre mes effets dans mes poches avant de finalement me tourner vers Nathéan. « Go. Promis je gerbe pas dans ta vieille caisse. »

[Date d'inscription]

Il ne me faudra que deux minutes pour décuver et retomber sur terre. Même si Nathéan me fatigue très souvent à faire son moralisateur et son vieux, il n'y a que lui pour me ramener à la réalité. Je pense que s'il ne m'avait pas engueulé un bon coup en m'empoignant contre les barreaux de la cellule, je serais toujours en train de me foutre de lui. Une vraie douche froide. Malgré que j'aie vidé le contenu de mon estomac dans l'évier, je sens encore ma tête me tourner la moindre, mais je l'ignore. Ca m'arrive de finir complètement ivre mort mais je n'ai jamais mal à la tête ni même de nausées le lendemain. D'ailleurs, je sens que je vais le payer toute la journée. Ô joie... Je n'ai qu'une envie; me barrer d'ici, ne plus voir ce matelas pleins de mites et de retrouver mon appartement. Ou plutôt celui d'Azèl, mais ça c'est impossible. Je n'ai pas le droit. C'est dans les règles. Foutues règles.

Quoi qu'il en soit, je veux partir d'ici et je propose même à mon meilleur ami de retenir la caution sur ma paie, du moment qu'il me sort d'ici. Je le vois réfléchir et surtout, grimacer. Ca pue et je ne parle pas de l'odeur qu'il y a dans ma cellule... C'est là que Nathéan me fait comprendre qu'il n'a pas de quoi payer ma caution. Putain je crois que je vais me mettre à chialer. Il n'a pas besoin de se justifier, je me rends compte que c'est une sacrée somme et qu'il nous a payé la semaine passée... Mais j'avais personne d'autre à appeler. Azèl n'aurait peut-être même pas fait le déplacement... Je prends ma tête entre les mains, essayant d'ignorer cette acide remontée de bile dans ma gorge. Putain dans quelle merde je me suis fichu cette fois... Je m'appuie à nouveau sur les barreaux et suis le regard de mon meilleur ami vers le policier. « Ecoute, il doit y avoir cent dollars dans mon porte feuille mais c'est eux qui l'ont... » Je ne peux pas m'empêcher de le regarder de manière exaspérée lorsqu'il me demande de faire ma bouille de cocker. Il est sérieux? C'est pas ça qui va me faire sortir d'ici... Nathéan se met à négocier avec le policier et je secoue frénétiquement la tête, réveillant cette bonne vieille douleur de lendemain de fête. « Arrête non je veux pas rester ici encore d... » « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Je suis sur le cul. Je jette un regard à Nathéan avant de m'écarter des barreaux en levant les bras en signe de victoire. « Yes! Vive les Etats-Unis d'Amérique! » Le policier soupire et s'avance avec son trousseau de clés. Il m'ouvre et me laisse sortir. J'enfile mon blouson en cuir et suit mon meilleur ami vers l'accueil où l'on me rend mon porte-feuilles, mes clés, mon téléphone. « Il manque un truc. » « Tu peux toujours courir pour qu'on te rende ça. » J'aurais essayé au moins. Et puis, ça me fera une bonne excuse pour aller chez Azèl ce soir et lui racheter du cannabis. Je tends un billet de cent dollars et fourre mes effets dans mes poches avant de finalement me tourner vers Nathéan. « Go. Promis je gerbe pas dans ta vieille caisse. »

[nouveau venu]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Je n’aime pas voir Demyan comme cela. Il m’énerve et je sais que je l’énerve aussi à être un peu trop protecteur avec lui, mais on finit toujours par trouver un terrain d’entente tous les deux. Enfin. Je me sens mal de le voir aussi mal. Je voudrais le sortir de là, vraiment, mais je n’ai pas l’argent que la police réclame pour le faire sortir. Ils sont marrant eux. Ils pensent vraiment que j’ai 300 dollars à leurs donner avec le sourire ? Je ne sais même pas combien de temps ils vont garder Demyan si je ne peux pas leurs offrir ce qu’ils me demandent. Je ne pourrais pas le laisser là toute la nuit, je finirais par m’en vouloir et par ne pas en dormir. Il faut que je trouve un moyen et plutôt vite parce que je n’ai pas envie de passer la journée ici pour être franc. Aller réfléchis Nathéan, réfléchis ! Il ne reste qu’une seule solution. Faire de la lèche à l’officier qui nous surveille du coin de l’œil depuis tout à l’heure. Parce que Demyan est bien mignon avec ses cents dollars, mais sans son porte feuille ça va tout de même être plutôt compliqué. Bref. Je demande donc à mon ami de faire les yeux doux et me diriger vers le jeune flic. Il doit avoir à peu près le même âge que moi. Je peux le convaincre après tout non ? J’ai convaincu plus d’une fois un inspecteur du travail que Demyan avait l’âge requis. Je peux bien embrouiller quelqu’un encore une fois. Je tente d’être le plus convaincant possible mais avec Demyan qui râle derrière moi ce n’est pas vraiment très facile. Il m’énerve. Il ne pourrait pas faire ce que je lui demande pour une fois ? Juste une fois ! Finalement le flic relève les yeux vers moi et me dis : « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Oh. Alors je ne suis pas le seul à le trouver pénible parfois ? J’ai envie de rire face à la remarque de l’officier mais le cri de joie de Demyan me retient de faire quoique ce soit. Je me tourne et le retrouve bras en l’air un sourire victorieux sur les lèvres. Non mais… Aidez le ce pauvre garçon. « Aller bouge ton cul ! » Je lui fais signe de se bouger tandis qu’il récupère ses affaires.

On passe au bureau afin de payer sa caution et cet idiot à encore le cran de réclamer l’herbe qu’on lui a confisquée. Non mais il est con ou il le fait exprès ? Je lui lance un regard noir et finis par l’entraîner à l’extérieur. « La prochaine fois tu te débrouille ! » dis-je en soupirant. Je m’installe derrière le volant et soupire à nouveau en l’entendant me dire qu’il ne va pas vomir dans ma voiture. J’espère bien ! Il manquerait plus que cela. Je conduis en silence et finis par me garer devant le bar. Oui Demyan voulait rentrer, mais moi j’en ai décidé autrement. J’ouvre la porte et allume la lumière tandis que Demyan me suis en râlant. « Tiens ! T’as 100 dollars à te faire ! » dis-je tout en lui tendant la serpillière. En voyant la tête qu’il tire, j’ajoute : « Ca t’apprendra à faire l’idiot. Un peu de ménage, ça ne te fera pas de mal. »

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Ft. Demyan & Nathéan

Je n’aime pas voir Demyan comme cela. Il m’énerve et je sais que je l’énerve aussi à être un peu trop protecteur avec lui, mais on finit toujours par trouver un terrain d’entente tous les deux. Enfin. Je me sens mal de le voir aussi mal. Je voudrais le sortir de là, vraiment, mais je n’ai pas l’argent que la police réclame pour le faire sortir. Ils sont marrant eux. Ils pensent vraiment que j’ai 300 dollars à leurs donner avec le sourire ? Je ne sais même pas combien de temps ils vont garder Demyan si je ne peux pas leurs offrir ce qu’ils me demandent. Je ne pourrais pas le laisser là toute la nuit, je finirais par m’en vouloir et par ne pas en dormir. Il faut que je trouve un moyen et plutôt vite parce que je n’ai pas envie de passer la journée ici pour être franc. Aller réfléchis Nathéan, réfléchis ! Il ne reste qu’une seule solution. Faire de la lèche à l’officier qui nous surveille du coin de l’œil depuis tout à l’heure. Parce que Demyan est bien mignon avec ses cents dollars, mais sans son porte feuille ça va tout de même être plutôt compliqué. Bref. Je demande donc à mon ami de faire les yeux doux et me diriger vers le jeune flic. Il doit avoir à peu près le même âge que moi. Je peux le convaincre après tout non ? J’ai convaincu plus d’une fois un inspecteur du travail que Demyan avait l’âge requis. Je peux bien embrouiller quelqu’un encore une fois. Je tente d’être le plus convaincant possible mais avec Demyan qui râle derrière moi ce n’est pas vraiment très facile. Il m’énerve. Il ne pourrait pas faire ce que je lui demande pour une fois ? Juste une fois ! Finalement le flic relève les yeux vers moi et me dis : « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Oh. Alors je ne suis pas le seul à le trouver pénible parfois ? J’ai envie de rire face à la remarque de l’officier mais le cri de joie de Demyan me retient de faire quoique ce soit. Je me tourne et le retrouve bras en l’air un sourire victorieux sur les lèvres. Non mais… Aidez le ce pauvre garçon. « Aller bouge ton cul ! » Je lui fais signe de se bouger tandis qu’il récupère ses affaires.

On passe au bureau afin de payer sa caution et cet idiot à encore le cran de réclamer l’herbe qu’on lui a confisquée. Non mais il est con ou il le fait exprès ? Je lui lance un regard noir et finis par l’entraîner à l’extérieur. « La prochaine fois tu te débrouille ! » dis-je en soupirant. Je m’installe derrière le volant et soupire à nouveau en l’entendant me dire qu’il ne va pas vomir dans ma voiture. J’espère bien ! Il manquerait plus que cela. Je conduis en silence et finis par me garer devant le bar. Oui Demyan voulait rentrer, mais moi j’en ai décidé autrement. J’ouvre la porte et allume la lumière tandis que Demyan me suis en râlant. « Tiens ! T’as 100 dollars à te faire ! » dis-je tout en lui tendant la serpillière. En voyant la tête qu’il tire, j’ajoute : « Ca t’apprendra à faire l’idiot. Un peu de ménage, ça ne te fera pas de mal. »

[Messages]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Je n’aime pas voir Demyan comme cela. Il m’énerve et je sais que je l’énerve aussi à être un peu trop protecteur avec lui, mais on finit toujours par trouver un terrain d’entente tous les deux. Enfin. Je me sens mal de le voir aussi mal. Je voudrais le sortir de là, vraiment, mais je n’ai pas l’argent que la police réclame pour le faire sortir. Ils sont marrant eux. Ils pensent vraiment que j’ai 300 dollars à leurs donner avec le sourire ? Je ne sais même pas combien de temps ils vont garder Demyan si je ne peux pas leurs offrir ce qu’ils me demandent. Je ne pourrais pas le laisser là toute la nuit, je finirais par m’en vouloir et par ne pas en dormir. Il faut que je trouve un moyen et plutôt vite parce que je n’ai pas envie de passer la journée ici pour être franc. Aller réfléchis Nathéan, réfléchis ! Il ne reste qu’une seule solution. Faire de la lèche à l’officier qui nous surveille du coin de l’œil depuis tout à l’heure. Parce que Demyan est bien mignon avec ses cents dollars, mais sans son porte feuille ça va tout de même être plutôt compliqué. Bref. Je demande donc à mon ami de faire les yeux doux et me diriger vers le jeune flic. Il doit avoir à peu près le même âge que moi. Je peux le convaincre après tout non ? J’ai convaincu plus d’une fois un inspecteur du travail que Demyan avait l’âge requis. Je peux bien embrouiller quelqu’un encore une fois. Je tente d’être le plus convaincant possible mais avec Demyan qui râle derrière moi ce n’est pas vraiment très facile. Il m’énerve. Il ne pourrait pas faire ce que je lui demande pour une fois ? Juste une fois ! Finalement le flic relève les yeux vers moi et me dis : « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Oh. Alors je ne suis pas le seul à le trouver pénible parfois ? J’ai envie de rire face à la remarque de l’officier mais le cri de joie de Demyan me retient de faire quoique ce soit. Je me tourne et le retrouve bras en l’air un sourire victorieux sur les lèvres. Non mais… Aidez le ce pauvre garçon. « Aller bouge ton cul ! » Je lui fais signe de se bouger tandis qu’il récupère ses affaires.

On passe au bureau afin de payer sa caution et cet idiot à encore le cran de réclamer l’herbe qu’on lui a confisquée. Non mais il est con ou il le fait exprès ? Je lui lance un regard noir et finis par l’entraîner à l’extérieur. « La prochaine fois tu te débrouille ! » dis-je en soupirant. Je m’installe derrière le volant et soupire à nouveau en l’entendant me dire qu’il ne va pas vomir dans ma voiture. J’espère bien ! Il manquerait plus que cela. Je conduis en silence et finis par me garer devant le bar. Oui Demyan voulait rentrer, mais moi j’en ai décidé autrement. J’ouvre la porte et allume la lumière tandis que Demyan me suis en râlant. « Tiens ! T’as 100 dollars à te faire ! » dis-je tout en lui tendant la serpillière. En voyant la tête qu’il tire, j’ajoute : « Ca t’apprendra à faire l’idiot. Un peu de ménage, ça ne te fera pas de mal. »

[Date d'inscription]

You've been a really bad bad boy
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Je n’aime pas voir Demyan comme cela. Il m’énerve et je sais que je l’énerve aussi à être un peu trop protecteur avec lui, mais on finit toujours par trouver un terrain d’entente tous les deux. Enfin. Je me sens mal de le voir aussi mal. Je voudrais le sortir de là, vraiment, mais je n’ai pas l’argent que la police réclame pour le faire sortir. Ils sont marrant eux. Ils pensent vraiment que j’ai 300 dollars à leurs donner avec le sourire ? Je ne sais même pas combien de temps ils vont garder Demyan si je ne peux pas leurs offrir ce qu’ils me demandent. Je ne pourrais pas le laisser là toute la nuit, je finirais par m’en vouloir et par ne pas en dormir. Il faut que je trouve un moyen et plutôt vite parce que je n’ai pas envie de passer la journée ici pour être franc. Aller réfléchis Nathéan, réfléchis ! Il ne reste qu’une seule solution. Faire de la lèche à l’officier qui nous surveille du coin de l’œil depuis tout à l’heure. Parce que Demyan est bien mignon avec ses cents dollars, mais sans son porte feuille ça va tout de même être plutôt compliqué. Bref. Je demande donc à mon ami de faire les yeux doux et me diriger vers le jeune flic. Il doit avoir à peu près le même âge que moi. Je peux le convaincre après tout non ? J’ai convaincu plus d’une fois un inspecteur du travail que Demyan avait l’âge requis. Je peux bien embrouiller quelqu’un encore une fois. Je tente d’être le plus convaincant possible mais avec Demyan qui râle derrière moi ce n’est pas vraiment très facile. Il m’énerve. Il ne pourrait pas faire ce que je lui demande pour une fois ? Juste une fois ! Finalement le flic relève les yeux vers moi et me dis : « C'est bon. Je vous le libère même pour cent dollars vu comme il est pénible. » Oh. Alors je ne suis pas le seul à le trouver pénible parfois ? J’ai envie de rire face à la remarque de l’officier mais le cri de joie de Demyan me retient de faire quoique ce soit. Je me tourne et le retrouve bras en l’air un sourire victorieux sur les lèvres. Non mais… Aidez le ce pauvre garçon. « Aller bouge ton cul ! » Je lui fais signe de se bouger tandis qu’il récupère ses affaires.

On passe au bureau afin de payer sa caution et cet idiot à encore le cran de réclamer l’herbe qu’on lui a confisquée. Non mais il est con ou il le fait exprès ? Je lui lance un regard noir et finis par l’entraîner à l’extérieur. « La prochaine fois tu te débrouille ! » dis-je en soupirant. Je m’installe derrière le volant et soupire à nouveau en l’entendant me dire qu’il ne va pas vomir dans ma voiture. J’espère bien ! Il manquerait plus que cela. Je conduis en silence et finis par me garer devant le bar. Oui Demyan voulait rentrer, mais moi j’en ai décidé autrement. J’ouvre la porte et allume la lumière tandis que Demyan me suis en râlant. « Tiens ! T’as 100 dollars à te faire ! » dis-je tout en lui tendant la serpillière. En voyant la tête qu’il tire, j’ajoute : « Ca t’apprendra à faire l’idiot. Un peu de ménage, ça ne te fera pas de mal. »

[nouveau venu]

Victoire. Comme quoi parfois, ça a du bon d’être pénible. Je ne me retiens pas pour montrer ma joie et surtout ma fierté d’être assez chiant pour qu’on me laisse sortir de prison pour cent dollars. Un record je pense. J’aurais quelque chose à raconter à mes petits enfants en tout cas. Enfin si j’en ai un jour. Cependant, Nathéan n’a pas l’air de partager ma joie. Il me fait me grouiller de sortir du poste de police non sans me lancer un regard noir quant à ma petite remarque à l’officier. « Rho, t’as pas sucé de clown ce matin ou quoi ? » demandais-je sans retenir ma langue. Il faut dire que même si le petit plaquage que mon meilleur ami m’a fait tout à l’heure m’a remis les idées en place, j’ai quand même encore les effets de la drogue dans le sang et je sais que je vais amèrement regretter de lui faire autant chier. J’ai beau lui promettre que je ne serais pas malade dans sa voiture, Nathéan ne se déride pas et au lieu de m’emmener chez moi ou chez lui, on se retrouve devant le bar. Je lève les yeux avant de coller mon front sur la vitre fraiche. « Sérieux ? » Je sors de sa vieille caisse et me traine jusqu’à l’intérieur du bar. Il n’a pas besoin de me faire un dessin, je sais très bien que je vais payer mon comportement et il ne se fait pas attendre. Soit c’est la plonge, soit le récurage. Apparemment c’est la serpillère. Je le regarde exaspéré encore l’estomac dans tous les sens, sauf le bon. « Je l’ai fait hier soir en partant. » Mais je crois que je n’ai pas le droit de discuter. Je prends le manche qu’il me tend et soupire avant d’aller remplir un bidon d’eau chaude et de produit qui se cache dans l’arrière boutique. Je retourne devant et commence à monter toutes les chaises sur les tables. « Tiens moi compagnie au moins. Enfin… A moins que ça soit pour faire ton papa protecteur, pour ça tu peux repartir. » marmonnais-je dans ma barbe en prenant à nouveau ma serpillère et en commençant à nettoyer devant la porte d’entrée.

[vos points]

Victoire. Comme quoi parfois, ça a du bon d’être pénible. Je ne me retiens pas pour montrer ma joie et surtout ma fierté d’être assez chiant pour qu’on me laisse sortir de prison pour cent dollars. Un record je pense. J’aurais quelque chose à raconter à mes petits enfants en tout cas. Enfin si j’en ai un jour. Cependant, Nathéan n’a pas l’air de partager ma joie. Il me fait me grouiller de sortir du poste de police non sans me lancer un regard noir quant à ma petite remarque à l’officier. « Rho, t’as pas sucé de clown ce matin ou quoi ? » demandais-je sans retenir ma langue. Il faut dire que même si le petit plaquage que mon meilleur ami m’a fait tout à l’heure m’a remis les idées en place, j’ai quand même encore les effets de la drogue dans le sang et je sais que je vais amèrement regretter de lui faire autant chier. J’ai beau lui promettre que je ne serais pas malade dans sa voiture, Nathéan ne se déride pas et au lieu de m’emmener chez moi ou chez lui, on se retrouve devant le bar. Je lève les yeux avant de coller mon front sur la vitre fraiche. « Sérieux ? » Je sors de sa vieille caisse et me traine jusqu’à l’intérieur du bar. Il n’a pas besoin de me faire un dessin, je sais très bien que je vais payer mon comportement et il ne se fait pas attendre. Soit c’est la plonge, soit le récurage. Apparemment c’est la serpillère. Je le regarde exaspéré encore l’estomac dans tous les sens, sauf le bon. « Je l’ai fait hier soir en partant. » Mais je crois que je n’ai pas le droit de discuter. Je prends le manche qu’il me tend et soupire avant d’aller remplir un bidon d’eau chaude et de produit qui se cache dans l’arrière boutique. Je retourne devant et commence à monter toutes les chaises sur les tables. « Tiens moi compagnie au moins. Enfin… A moins que ça soit pour faire ton papa protecteur, pour ça tu peux repartir. » marmonnais-je dans ma barbe en prenant à nouveau ma serpillère et en commençant à nettoyer devant la porte d’entrée.

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Victoire. Comme quoi parfois, ça a du bon d’être pénible. Je ne me retiens pas pour montrer ma joie et surtout ma fierté d’être assez chiant pour qu’on me laisse sortir de prison pour cent dollars. Un record je pense. J’aurais quelque chose à raconter à mes petits enfants en tout cas. Enfin si j’en ai un jour. Cependant, Nathéan n’a pas l’air de partager ma joie. Il me fait me grouiller de sortir du poste de police non sans me lancer un regard noir quant à ma petite remarque à l’officier. « Rho, t’as pas sucé de clown ce matin ou quoi ? » demandais-je sans retenir ma langue. Il faut dire que même si le petit plaquage que mon meilleur ami m’a fait tout à l’heure m’a remis les idées en place, j’ai quand même encore les effets de la drogue dans le sang et je sais que je vais amèrement regretter de lui faire autant chier. J’ai beau lui promettre que je ne serais pas malade dans sa voiture, Nathéan ne se déride pas et au lieu de m’emmener chez moi ou chez lui, on se retrouve devant le bar. Je lève les yeux avant de coller mon front sur la vitre fraiche. « Sérieux ? » Je sors de sa vieille caisse et me traine jusqu’à l’intérieur du bar. Il n’a pas besoin de me faire un dessin, je sais très bien que je vais payer mon comportement et il ne se fait pas attendre. Soit c’est la plonge, soit le récurage. Apparemment c’est la serpillère. Je le regarde exaspéré encore l’estomac dans tous les sens, sauf le bon. « Je l’ai fait hier soir en partant. » Mais je crois que je n’ai pas le droit de discuter. Je prends le manche qu’il me tend et soupire avant d’aller remplir un bidon d’eau chaude et de produit qui se cache dans l’arrière boutique. Je retourne devant et commence à monter toutes les chaises sur les tables. « Tiens moi compagnie au moins. Enfin… A moins que ça soit pour faire ton papa protecteur, pour ça tu peux repartir. » marmonnais-je dans ma barbe en prenant à nouveau ma serpillère et en commençant à nettoyer devant la porte d’entrée.

[Date d'inscription]

Victoire. Comme quoi parfois, ça a du bon d’être pénible. Je ne me retiens pas pour montrer ma joie et surtout ma fierté d’être assez chiant pour qu’on me laisse sortir de prison pour cent dollars. Un record je pense. J’aurais quelque chose à raconter à mes petits enfants en tout cas. Enfin si j’en ai un jour. Cependant, Nathéan n’a pas l’air de partager ma joie. Il me fait me grouiller de sortir du poste de police non sans me lancer un regard noir quant à ma petite remarque à l’officier. « Rho, t’as pas sucé de clown ce matin ou quoi ? » demandais-je sans retenir ma langue. Il faut dire que même si le petit plaquage que mon meilleur ami m’a fait tout à l’heure m’a remis les idées en place, j’ai quand même encore les effets de la drogue dans le sang et je sais que je vais amèrement regretter de lui faire autant chier. J’ai beau lui promettre que je ne serais pas malade dans sa voiture, Nathéan ne se déride pas et au lieu de m’emmener chez moi ou chez lui, on se retrouve devant le bar. Je lève les yeux avant de coller mon front sur la vitre fraiche. « Sérieux ? » Je sors de sa vieille caisse et me traine jusqu’à l’intérieur du bar. Il n’a pas besoin de me faire un dessin, je sais très bien que je vais payer mon comportement et il ne se fait pas attendre. Soit c’est la plonge, soit le récurage. Apparemment c’est la serpillère. Je le regarde exaspéré encore l’estomac dans tous les sens, sauf le bon. « Je l’ai fait hier soir en partant. » Mais je crois que je n’ai pas le droit de discuter. Je prends le manche qu’il me tend et soupire avant d’aller remplir un bidon d’eau chaude et de produit qui se cache dans l’arrière boutique. Je retourne devant et commence à monter toutes les chaises sur les tables. « Tiens moi compagnie au moins. Enfin… A moins que ça soit pour faire ton papa protecteur, pour ça tu peux repartir. » marmonnais-je dans ma barbe en prenant à nouveau ma serpillère et en commençant à nettoyer devant la porte d’entrée.

[nouveau venu]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Il m’énerve. Je vous jure qu’il m’énerve. En quoi peut-on être fier de sortir de prison ? Bon. D’accord, il n’était pas vraiment en prison, mais c’est presque la même chose, non ? En plus ils l’ont jeté parce qu’il est pénible. Et lui il est fier. Les flics n’ont même pas pitié de moi. Il me le refile sans penser que c’est moi qui vais devoir le supporter maintenant. Connaissant Demyan il va se vanter de son petit exploit pendant des jours ou même des mois. Bref on est pas sorti de l’auberge. Au moins, on a réussir à sortir du commissariat sans trop de galérer. En plus ce n’est même pas moi qui est payé. Je dois dire que je m’en suis plutôt bien sorti. De toute façon, je n’avais pas l’argent alors il serait resté un bon moment. Bien entendu, Demyan est obligé de faire une petite remarque sur mon humeur matinale. « Bah j’ai pas eu le temps tu vois, tu m’as fait sortir de mon lit trop tôt ! » On se regarde un instant et je finis par lever les yeux au ciel avant de m’installer derrière le volant de ma voiture. Je sais que j’ai promis de le ramener chez moi, mais finalement j’ai changé d’avis. Je n’ai pas envie qu’il s’en sorte aussi facilement et puis il viens de perdre cent dollars après tout non ? Autant qu’il les regagne tout de suite. Je sais qu’il va être hors service ce soir, alors autant le faire un peu bosser tant qu’il est en forme. Je vois tout de suite le sourire de Demyan disparaître quand je finis par me garer devant le bar. Il me demande si je suis sérieux et je préfère ne pas lui répondre. Il a compris qu’il fallait pas trop discuter quand je suis dans cet état d’humeur. Une fois entré, je lui tends la serpillière. Il essaye tant bien que mal de négocier, mais je ne lui laisse vraiment pas le choix. Il va nettoyer un peu et peut être qu’après je finirais par le ramener. Pendant qu’il va remplir le seau, je récupère la paperasse que j’avais laissée derrière le comptoir hier soir et m’installe à une table pour finir un peu mes comptes en le surveillant. La remarque de Demyan me tends. Il m’énerve à toujours faire des sous entendus sur ma voisine et plus particulièrement sur la fille d’Andréa. Il est jaloux ou quoi ? Sérieusement j’ai du mal à le comprendre quand il est comme ça. « C’est quoi ton souci avec Andréa franchement ? » Je vois bien qu’il continue à râler dans son coin et je lève les yeux au ciel. « Joy est pas ma fille. Je serais jamais son père ou ne serait-ce qu’un semblant de père pour elle. Je l’aime bien. C’est tout. Ca s’arrête là. » Je ne pourrais jamais avoir un vraie avenir avec Andréa. Je ne suis pas un homme pour elle, c’est tout. Et je ne veux pas parler de cela. Surtout pas avec Demyan. « Me cherche pas trop sinon je vais commencer à te questionner sur cet Azèl ! » Ah. On fait moins le malin là d’un seul coup. « Je ne veux pas savoir, mais encore une connerie et je vais plus être aussi gentil Dem’ »

[vos points]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Il m’énerve. Je vous jure qu’il m’énerve. En quoi peut-on être fier de sortir de prison ? Bon. D’accord, il n’était pas vraiment en prison, mais c’est presque la même chose, non ? En plus ils l’ont jeté parce qu’il est pénible. Et lui il est fier. Les flics n’ont même pas pitié de moi. Il me le refile sans penser que c’est moi qui vais devoir le supporter maintenant. Connaissant Demyan il va se vanter de son petit exploit pendant des jours ou même des mois. Bref on est pas sorti de l’auberge. Au moins, on a réussir à sortir du commissariat sans trop de galérer. En plus ce n’est même pas moi qui est payé. Je dois dire que je m’en suis plutôt bien sorti. De toute façon, je n’avais pas l’argent alors il serait resté un bon moment. Bien entendu, Demyan est obligé de faire une petite remarque sur mon humeur matinale. « Bah j’ai pas eu le temps tu vois, tu m’as fait sortir de mon lit trop tôt ! » On se regarde un instant et je finis par lever les yeux au ciel avant de m’installer derrière le volant de ma voiture. Je sais que j’ai promis de le ramener chez moi, mais finalement j’ai changé d’avis. Je n’ai pas envie qu’il s’en sorte aussi facilement et puis il viens de perdre cent dollars après tout non ? Autant qu’il les regagne tout de suite. Je sais qu’il va être hors service ce soir, alors autant le faire un peu bosser tant qu’il est en forme. Je vois tout de suite le sourire de Demyan disparaître quand je finis par me garer devant le bar. Il me demande si je suis sérieux et je préfère ne pas lui répondre. Il a compris qu’il fallait pas trop discuter quand je suis dans cet état d’humeur. Une fois entré, je lui tends la serpillière. Il essaye tant bien que mal de négocier, mais je ne lui laisse vraiment pas le choix. Il va nettoyer un peu et peut être qu’après je finirais par le ramener. Pendant qu’il va remplir le seau, je récupère la paperasse que j’avais laissée derrière le comptoir hier soir et m’installe à une table pour finir un peu mes comptes en le surveillant. La remarque de Demyan me tends. Il m’énerve à toujours faire des sous entendus sur ma voisine et plus particulièrement sur la fille d’Andréa. Il est jaloux ou quoi ? Sérieusement j’ai du mal à le comprendre quand il est comme ça. « C’est quoi ton souci avec Andréa franchement ? » Je vois bien qu’il continue à râler dans son coin et je lève les yeux au ciel. « Joy est pas ma fille. Je serais jamais son père ou ne serait-ce qu’un semblant de père pour elle. Je l’aime bien. C’est tout. Ca s’arrête là. » Je ne pourrais jamais avoir un vraie avenir avec Andréa. Je ne suis pas un homme pour elle, c’est tout. Et je ne veux pas parler de cela. Surtout pas avec Demyan. « Me cherche pas trop sinon je vais commencer à te questionner sur cet Azèl ! » Ah. On fait moins le malin là d’un seul coup. « Je ne veux pas savoir, mais encore une connerie et je vais plus être aussi gentil Dem’ »

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Ft. Demyan & Nathéan

Il m’énerve. Je vous jure qu’il m’énerve. En quoi peut-on être fier de sortir de prison ? Bon. D’accord, il n’était pas vraiment en prison, mais c’est presque la même chose, non ? En plus ils l’ont jeté parce qu’il est pénible. Et lui il est fier. Les flics n’ont même pas pitié de moi. Il me le refile sans penser que c’est moi qui vais devoir le supporter maintenant. Connaissant Demyan il va se vanter de son petit exploit pendant des jours ou même des mois. Bref on est pas sorti de l’auberge. Au moins, on a réussir à sortir du commissariat sans trop de galérer. En plus ce n’est même pas moi qui est payé. Je dois dire que je m’en suis plutôt bien sorti. De toute façon, je n’avais pas l’argent alors il serait resté un bon moment. Bien entendu, Demyan est obligé de faire une petite remarque sur mon humeur matinale. « Bah j’ai pas eu le temps tu vois, tu m’as fait sortir de mon lit trop tôt ! » On se regarde un instant et je finis par lever les yeux au ciel avant de m’installer derrière le volant de ma voiture. Je sais que j’ai promis de le ramener chez moi, mais finalement j’ai changé d’avis. Je n’ai pas envie qu’il s’en sorte aussi facilement et puis il viens de perdre cent dollars après tout non ? Autant qu’il les regagne tout de suite. Je sais qu’il va être hors service ce soir, alors autant le faire un peu bosser tant qu’il est en forme. Je vois tout de suite le sourire de Demyan disparaître quand je finis par me garer devant le bar. Il me demande si je suis sérieux et je préfère ne pas lui répondre. Il a compris qu’il fallait pas trop discuter quand je suis dans cet état d’humeur. Une fois entré, je lui tends la serpillière. Il essaye tant bien que mal de négocier, mais je ne lui laisse vraiment pas le choix. Il va nettoyer un peu et peut être qu’après je finirais par le ramener. Pendant qu’il va remplir le seau, je récupère la paperasse que j’avais laissée derrière le comptoir hier soir et m’installe à une table pour finir un peu mes comptes en le surveillant. La remarque de Demyan me tends. Il m’énerve à toujours faire des sous entendus sur ma voisine et plus particulièrement sur la fille d’Andréa. Il est jaloux ou quoi ? Sérieusement j’ai du mal à le comprendre quand il est comme ça. « C’est quoi ton souci avec Andréa franchement ? » Je vois bien qu’il continue à râler dans son coin et je lève les yeux au ciel. « Joy est pas ma fille. Je serais jamais son père ou ne serait-ce qu’un semblant de père pour elle. Je l’aime bien. C’est tout. Ca s’arrête là. » Je ne pourrais jamais avoir un vraie avenir avec Andréa. Je ne suis pas un homme pour elle, c’est tout. Et je ne veux pas parler de cela. Surtout pas avec Demyan. « Me cherche pas trop sinon je vais commencer à te questionner sur cet Azèl ! » Ah. On fait moins le malin là d’un seul coup. « Je ne veux pas savoir, mais encore une connerie et je vais plus être aussi gentil Dem’ »

[Date d'inscription]

You've been a really bad bad boy
Ft. Demyan & Nathéan

Il m’énerve. Je vous jure qu’il m’énerve. En quoi peut-on être fier de sortir de prison ? Bon. D’accord, il n’était pas vraiment en prison, mais c’est presque la même chose, non ? En plus ils l’ont jeté parce qu’il est pénible. Et lui il est fier. Les flics n’ont même pas pitié de moi. Il me le refile sans penser que c’est moi qui vais devoir le supporter maintenant. Connaissant Demyan il va se vanter de son petit exploit pendant des jours ou même des mois. Bref on est pas sorti de l’auberge. Au moins, on a réussir à sortir du commissariat sans trop de galérer. En plus ce n’est même pas moi qui est payé. Je dois dire que je m’en suis plutôt bien sorti. De toute façon, je n’avais pas l’argent alors il serait resté un bon moment. Bien entendu, Demyan est obligé de faire une petite remarque sur mon humeur matinale. « Bah j’ai pas eu le temps tu vois, tu m’as fait sortir de mon lit trop tôt ! » On se regarde un instant et je finis par lever les yeux au ciel avant de m’installer derrière le volant de ma voiture. Je sais que j’ai promis de le ramener chez moi, mais finalement j’ai changé d’avis. Je n’ai pas envie qu’il s’en sorte aussi facilement et puis il viens de perdre cent dollars après tout non ? Autant qu’il les regagne tout de suite. Je sais qu’il va être hors service ce soir, alors autant le faire un peu bosser tant qu’il est en forme. Je vois tout de suite le sourire de Demyan disparaître quand je finis par me garer devant le bar. Il me demande si je suis sérieux et je préfère ne pas lui répondre. Il a compris qu’il fallait pas trop discuter quand je suis dans cet état d’humeur. Une fois entré, je lui tends la serpillière. Il essaye tant bien que mal de négocier, mais je ne lui laisse vraiment pas le choix. Il va nettoyer un peu et peut être qu’après je finirais par le ramener. Pendant qu’il va remplir le seau, je récupère la paperasse que j’avais laissée derrière le comptoir hier soir et m’installe à une table pour finir un peu mes comptes en le surveillant. La remarque de Demyan me tends. Il m’énerve à toujours faire des sous entendus sur ma voisine et plus particulièrement sur la fille d’Andréa. Il est jaloux ou quoi ? Sérieusement j’ai du mal à le comprendre quand il est comme ça. « C’est quoi ton souci avec Andréa franchement ? » Je vois bien qu’il continue à râler dans son coin et je lève les yeux au ciel. « Joy est pas ma fille. Je serais jamais son père ou ne serait-ce qu’un semblant de père pour elle. Je l’aime bien. C’est tout. Ca s’arrête là. » Je ne pourrais jamais avoir un vraie avenir avec Andréa. Je ne suis pas un homme pour elle, c’est tout. Et je ne veux pas parler de cela. Surtout pas avec Demyan. « Me cherche pas trop sinon je vais commencer à te questionner sur cet Azèl ! » Ah. On fait moins le malin là d’un seul coup. « Je ne veux pas savoir, mais encore une connerie et je vais plus être aussi gentil Dem’ »