[nouveau venu]

Hela J. Sullivan & Freya W. Hasting

« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Los Angeles, ma ville natale. C’est étrange de la quitter aujourd’hui. Moi qui n’a jamais mis les pieds en dehors de la Cité des Anges mit à part pour quelques semaines, j’ai du mal à croire que je quitte cet endroit peut-être définitivement. En même temps, j’ai vraiment besoin de changer d’air. Je n’en peux plus de cet atmosphère toujours bruyante et sans aucun répit. Certes, je suis la fille la plus énergique qui soit au monde, mais quand même j’ai aussi besoin de me ressourcer une fois de temps en temps. J’ai choisit de poser mes baguages à Phoenix non seulement parce que mes quelques visites dans cette ville m’ont toujours extrêmement plus, mais aussi parce que je n’y serai pas entièrement dépaysée. Je ne serai pas seule là-bas. Hela y est aussi. MA Hela, ma meilleure amie qui me manque encore tant. Nos virées de folie du passé me donnent encore plus envie de courir la rejoindre. Je sais que les choses seront toujours pareilles entre nous. On est unies, à la vie à la mort. C’est avec cette pensée que je glisse mes baguages dans la valise de la voiture. Remontant mes lunettes de soleil sur ma tête, je jette un dernier coup d’œil à mon frère et à ma sœur qui se tiennent juste à côté de moi dans l’allée. Leurs petits airs tristes me donnent envie de fondre en larmes, mais je me retiens, leur promettant de revenir les voir le plus vite possible. Je salue ensuite Anna qui me regarde par la fenêtre du salon. Je sais qu’elle a comprit mon point de vue. Je ne peux plus rester ici sans rien faire. J’ai besoin de voyager et de trouver ma voie. Je saute dans la décapotable noire de mon père qui met le moteur en marche et on roule vers l’aéroport, discutant de tout et de rien pendant tout le long du trajet.

Mon embarquement est aussi un adieu déchirant. Je sais que je ne reverrai plus mon petit papa pendant des mois désormais. C’est la première fois qu’on serra séparés aussi longtemps depuis ma naissance. Ça me fait extrêmement peur. D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de fondre en larmes lorsqu’on annonce le départ immédiat de mon vol. Il me sert fortement dans ses bras, me soufflant à l’oreille qu’il m’aime et qu’il souhaite un téléphone dès mon arrivée à Phoenix. Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel suite à ces paroles. J’ai beau avoir 25 ans, je sais qu’il ne changera jamais. Je ne dis cependant mot là-dessus, me contentant de le serrer encore plus fort. « Je t’aime aussi papa. » À peine quelques instants plus tard, j’ai passée les douanes et je suis enfin prête pour ma nouvelle vie. Mon vol se passe de manière assez agréable, mais dès que je pose pied à Phoenix, je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde fatigue me gagner. Je défais d’ailleurs le chignon qui coiffe ma tête, espérant que ma migraine passe plus facilement de cette manière.

Je saute dans le premier taxi que je croise, lui donnant l’adresse d’Hela. À partir de là, plus aucune migraine ne compte. À vrai dire, plus rien ne compte mit à part ma meilleure amie. J’espère de tout cœur qu’elle ne sera pas déçue de me voir. Après tout, je ne l’ai pas du tout prévenue avant de sauter dans ce vol pour venir ici. J’ose espérer que je ne la dérangerai pas et qu’elle voudra bien m’héberger, au moins pour quelques jours. Autrement, je risque d’être à la rue le temps de rebondir. Le taxi finit par s’arrêter juste en avant de l’immeuble d’Hela et mon cœur fait instantanément un bond dans ma poitrine. Je suis suresxcitée, comme une petite fille à la veille de Noël. Remerciant mon chauffeur d’un grand sourire chaleureux, je le salue avant d’attraper mes baguages et de grimper les étages quatre à quatre. J’arrive finalement devant la porte de ma meilleure amie, une boule de joie au ventre. Je replace soigneusement ma veste de cuir sur moi avant d’attraper mon portable et d’envoyer un SMS à ma petite rousse favorite. Disons que j’adore la charrier un peu. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t’arrive de vérifier ta porte d’entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises… » Un sourire amusé aux lèvres, je replace mon portable dans mes poches, serrant doucement ma valise à roulette contre moi. Je me languie que cette porte s’ouvre enfin pour finalement reprendre le temps perdu. Elle m’a terriblement manquée et je compte bien reprendre ma place au centre de sa vie.

© Chieuze

[vos points]

Hela J. Sullivan & Freya W. Hasting

« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Los Angeles, ma ville natale. C’est étrange de la quitter aujourd’hui. Moi qui n’a jamais mis les pieds en dehors de la Cité des Anges mit à part pour quelques semaines, j’ai du mal à croire que je quitte cet endroit peut-être définitivement. En même temps, j’ai vraiment besoin de changer d’air. Je n’en peux plus de cet atmosphère toujours bruyante et sans aucun répit. Certes, je suis la fille la plus énergique qui soit au monde, mais quand même j’ai aussi besoin de me ressourcer une fois de temps en temps. J’ai choisit de poser mes baguages à Phoenix non seulement parce que mes quelques visites dans cette ville m’ont toujours extrêmement plus, mais aussi parce que je n’y serai pas entièrement dépaysée. Je ne serai pas seule là-bas. Hela y est aussi. MA Hela, ma meilleure amie qui me manque encore tant. Nos virées de folie du passé me donnent encore plus envie de courir la rejoindre. Je sais que les choses seront toujours pareilles entre nous. On est unies, à la vie à la mort. C’est avec cette pensée que je glisse mes baguages dans la valise de la voiture. Remontant mes lunettes de soleil sur ma tête, je jette un dernier coup d’œil à mon frère et à ma sœur qui se tiennent juste à côté de moi dans l’allée. Leurs petits airs tristes me donnent envie de fondre en larmes, mais je me retiens, leur promettant de revenir les voir le plus vite possible. Je salue ensuite Anna qui me regarde par la fenêtre du salon. Je sais qu’elle a comprit mon point de vue. Je ne peux plus rester ici sans rien faire. J’ai besoin de voyager et de trouver ma voie. Je saute dans la décapotable noire de mon père qui met le moteur en marche et on roule vers l’aéroport, discutant de tout et de rien pendant tout le long du trajet.

Mon embarquement est aussi un adieu déchirant. Je sais que je ne reverrai plus mon petit papa pendant des mois désormais. C’est la première fois qu’on serra séparés aussi longtemps depuis ma naissance. Ça me fait extrêmement peur. D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de fondre en larmes lorsqu’on annonce le départ immédiat de mon vol. Il me sert fortement dans ses bras, me soufflant à l’oreille qu’il m’aime et qu’il souhaite un téléphone dès mon arrivée à Phoenix. Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel suite à ces paroles. J’ai beau avoir 25 ans, je sais qu’il ne changera jamais. Je ne dis cependant mot là-dessus, me contentant de le serrer encore plus fort. « Je t’aime aussi papa. » À peine quelques instants plus tard, j’ai passée les douanes et je suis enfin prête pour ma nouvelle vie. Mon vol se passe de manière assez agréable, mais dès que je pose pied à Phoenix, je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde fatigue me gagner. Je défais d’ailleurs le chignon qui coiffe ma tête, espérant que ma migraine passe plus facilement de cette manière.

Je saute dans le premier taxi que je croise, lui donnant l’adresse d’Hela. À partir de là, plus aucune migraine ne compte. À vrai dire, plus rien ne compte mit à part ma meilleure amie. J’espère de tout cœur qu’elle ne sera pas déçue de me voir. Après tout, je ne l’ai pas du tout prévenue avant de sauter dans ce vol pour venir ici. J’ose espérer que je ne la dérangerai pas et qu’elle voudra bien m’héberger, au moins pour quelques jours. Autrement, je risque d’être à la rue le temps de rebondir. Le taxi finit par s’arrêter juste en avant de l’immeuble d’Hela et mon cœur fait instantanément un bond dans ma poitrine. Je suis suresxcitée, comme une petite fille à la veille de Noël. Remerciant mon chauffeur d’un grand sourire chaleureux, je le salue avant d’attraper mes baguages et de grimper les étages quatre à quatre. J’arrive finalement devant la porte de ma meilleure amie, une boule de joie au ventre. Je replace soigneusement ma veste de cuir sur moi avant d’attraper mon portable et d’envoyer un SMS à ma petite rousse favorite. Disons que j’adore la charrier un peu. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t’arrive de vérifier ta porte d’entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises… » Un sourire amusé aux lèvres, je replace mon portable dans mes poches, serrant doucement ma valise à roulette contre moi. Je me languie que cette porte s’ouvre enfin pour finalement reprendre le temps perdu. Elle m’a terriblement manquée et je compte bien reprendre ma place au centre de sa vie.

© Chieuze

[Messages]

Hela J. Sullivan & Freya W. Hasting

« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Los Angeles, ma ville natale. C’est étrange de la quitter aujourd’hui. Moi qui n’a jamais mis les pieds en dehors de la Cité des Anges mit à part pour quelques semaines, j’ai du mal à croire que je quitte cet endroit peut-être définitivement. En même temps, j’ai vraiment besoin de changer d’air. Je n’en peux plus de cet atmosphère toujours bruyante et sans aucun répit. Certes, je suis la fille la plus énergique qui soit au monde, mais quand même j’ai aussi besoin de me ressourcer une fois de temps en temps. J’ai choisit de poser mes baguages à Phoenix non seulement parce que mes quelques visites dans cette ville m’ont toujours extrêmement plus, mais aussi parce que je n’y serai pas entièrement dépaysée. Je ne serai pas seule là-bas. Hela y est aussi. MA Hela, ma meilleure amie qui me manque encore tant. Nos virées de folie du passé me donnent encore plus envie de courir la rejoindre. Je sais que les choses seront toujours pareilles entre nous. On est unies, à la vie à la mort. C’est avec cette pensée que je glisse mes baguages dans la valise de la voiture. Remontant mes lunettes de soleil sur ma tête, je jette un dernier coup d’œil à mon frère et à ma sœur qui se tiennent juste à côté de moi dans l’allée. Leurs petits airs tristes me donnent envie de fondre en larmes, mais je me retiens, leur promettant de revenir les voir le plus vite possible. Je salue ensuite Anna qui me regarde par la fenêtre du salon. Je sais qu’elle a comprit mon point de vue. Je ne peux plus rester ici sans rien faire. J’ai besoin de voyager et de trouver ma voie. Je saute dans la décapotable noire de mon père qui met le moteur en marche et on roule vers l’aéroport, discutant de tout et de rien pendant tout le long du trajet.

Mon embarquement est aussi un adieu déchirant. Je sais que je ne reverrai plus mon petit papa pendant des mois désormais. C’est la première fois qu’on serra séparés aussi longtemps depuis ma naissance. Ça me fait extrêmement peur. D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de fondre en larmes lorsqu’on annonce le départ immédiat de mon vol. Il me sert fortement dans ses bras, me soufflant à l’oreille qu’il m’aime et qu’il souhaite un téléphone dès mon arrivée à Phoenix. Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel suite à ces paroles. J’ai beau avoir 25 ans, je sais qu’il ne changera jamais. Je ne dis cependant mot là-dessus, me contentant de le serrer encore plus fort. « Je t’aime aussi papa. » À peine quelques instants plus tard, j’ai passée les douanes et je suis enfin prête pour ma nouvelle vie. Mon vol se passe de manière assez agréable, mais dès que je pose pied à Phoenix, je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde fatigue me gagner. Je défais d’ailleurs le chignon qui coiffe ma tête, espérant que ma migraine passe plus facilement de cette manière.

Je saute dans le premier taxi que je croise, lui donnant l’adresse d’Hela. À partir de là, plus aucune migraine ne compte. À vrai dire, plus rien ne compte mit à part ma meilleure amie. J’espère de tout cœur qu’elle ne sera pas déçue de me voir. Après tout, je ne l’ai pas du tout prévenue avant de sauter dans ce vol pour venir ici. J’ose espérer que je ne la dérangerai pas et qu’elle voudra bien m’héberger, au moins pour quelques jours. Autrement, je risque d’être à la rue le temps de rebondir. Le taxi finit par s’arrêter juste en avant de l’immeuble d’Hela et mon cœur fait instantanément un bond dans ma poitrine. Je suis suresxcitée, comme une petite fille à la veille de Noël. Remerciant mon chauffeur d’un grand sourire chaleureux, je le salue avant d’attraper mes baguages et de grimper les étages quatre à quatre. J’arrive finalement devant la porte de ma meilleure amie, une boule de joie au ventre. Je replace soigneusement ma veste de cuir sur moi avant d’attraper mon portable et d’envoyer un SMS à ma petite rousse favorite. Disons que j’adore la charrier un peu. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t’arrive de vérifier ta porte d’entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises… » Un sourire amusé aux lèvres, je replace mon portable dans mes poches, serrant doucement ma valise à roulette contre moi. Je me languie que cette porte s’ouvre enfin pour finalement reprendre le temps perdu. Elle m’a terriblement manquée et je compte bien reprendre ma place au centre de sa vie.

© Chieuze

[Date d'inscription]

Hela J. Sullivan & Freya W. Hasting

« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Los Angeles, ma ville natale. C’est étrange de la quitter aujourd’hui. Moi qui n’a jamais mis les pieds en dehors de la Cité des Anges mit à part pour quelques semaines, j’ai du mal à croire que je quitte cet endroit peut-être définitivement. En même temps, j’ai vraiment besoin de changer d’air. Je n’en peux plus de cet atmosphère toujours bruyante et sans aucun répit. Certes, je suis la fille la plus énergique qui soit au monde, mais quand même j’ai aussi besoin de me ressourcer une fois de temps en temps. J’ai choisit de poser mes baguages à Phoenix non seulement parce que mes quelques visites dans cette ville m’ont toujours extrêmement plus, mais aussi parce que je n’y serai pas entièrement dépaysée. Je ne serai pas seule là-bas. Hela y est aussi. MA Hela, ma meilleure amie qui me manque encore tant. Nos virées de folie du passé me donnent encore plus envie de courir la rejoindre. Je sais que les choses seront toujours pareilles entre nous. On est unies, à la vie à la mort. C’est avec cette pensée que je glisse mes baguages dans la valise de la voiture. Remontant mes lunettes de soleil sur ma tête, je jette un dernier coup d’œil à mon frère et à ma sœur qui se tiennent juste à côté de moi dans l’allée. Leurs petits airs tristes me donnent envie de fondre en larmes, mais je me retiens, leur promettant de revenir les voir le plus vite possible. Je salue ensuite Anna qui me regarde par la fenêtre du salon. Je sais qu’elle a comprit mon point de vue. Je ne peux plus rester ici sans rien faire. J’ai besoin de voyager et de trouver ma voie. Je saute dans la décapotable noire de mon père qui met le moteur en marche et on roule vers l’aéroport, discutant de tout et de rien pendant tout le long du trajet.

Mon embarquement est aussi un adieu déchirant. Je sais que je ne reverrai plus mon petit papa pendant des mois désormais. C’est la première fois qu’on serra séparés aussi longtemps depuis ma naissance. Ça me fait extrêmement peur. D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de fondre en larmes lorsqu’on annonce le départ immédiat de mon vol. Il me sert fortement dans ses bras, me soufflant à l’oreille qu’il m’aime et qu’il souhaite un téléphone dès mon arrivée à Phoenix. Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel suite à ces paroles. J’ai beau avoir 25 ans, je sais qu’il ne changera jamais. Je ne dis cependant mot là-dessus, me contentant de le serrer encore plus fort. « Je t’aime aussi papa. » À peine quelques instants plus tard, j’ai passée les douanes et je suis enfin prête pour ma nouvelle vie. Mon vol se passe de manière assez agréable, mais dès que je pose pied à Phoenix, je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde fatigue me gagner. Je défais d’ailleurs le chignon qui coiffe ma tête, espérant que ma migraine passe plus facilement de cette manière.

Je saute dans le premier taxi que je croise, lui donnant l’adresse d’Hela. À partir de là, plus aucune migraine ne compte. À vrai dire, plus rien ne compte mit à part ma meilleure amie. J’espère de tout cœur qu’elle ne sera pas déçue de me voir. Après tout, je ne l’ai pas du tout prévenue avant de sauter dans ce vol pour venir ici. J’ose espérer que je ne la dérangerai pas et qu’elle voudra bien m’héberger, au moins pour quelques jours. Autrement, je risque d’être à la rue le temps de rebondir. Le taxi finit par s’arrêter juste en avant de l’immeuble d’Hela et mon cœur fait instantanément un bond dans ma poitrine. Je suis suresxcitée, comme une petite fille à la veille de Noël. Remerciant mon chauffeur d’un grand sourire chaleureux, je le salue avant d’attraper mes baguages et de grimper les étages quatre à quatre. J’arrive finalement devant la porte de ma meilleure amie, une boule de joie au ventre. Je replace soigneusement ma veste de cuir sur moi avant d’attraper mon portable et d’envoyer un SMS à ma petite rousse favorite. Disons que j’adore la charrier un peu. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t’arrive de vérifier ta porte d’entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises… » Un sourire amusé aux lèvres, je replace mon portable dans mes poches, serrant doucement ma valise à roulette contre moi. Je me languie que cette porte s’ouvre enfin pour finalement reprendre le temps perdu. Elle m’a terriblement manquée et je compte bien reprendre ma place au centre de sa vie.

© Chieuze

[nouveau venu]

It's really you!

"Hela & Freya"

Je n'avais pas réussi à dormir cette nuit. J'avais bien trop de choses en tête entre autres mon job qui n'était pas celui que j'espère, même si je m'y plaisais quand même un peu, ma meilleure amie qui me manquait. Et surtout monsieur Grant, cet homme que j'avais rencontré il y a deux jours de cela et avec qui je partageais une certaine attirance. J'étais déboussolée, moi qui n'avais jamais eu de chance avec la gente masculine, voilà que je tombais nez à nez avec Clark Taylor-Grant, qui préfère qu'on l'appel monsieur Grant et qui n'aime pas sa comparaison à Superman. J'étais donc debout avant le soleil et fis la seule chose que j'avais en tête dans ce genre de moment, peindre en musique. En noir et blanc, jamais de couleurs froides ou chaudes pour mes pensées ou mes idées, non l'effet était encore plus présent et plus fort avec le strict nécessaire.

Les seules fois où j'avais fait une pause durant mon temps de peinture, c'était pour m'occuper du chat en manque de câlins et de croquettes. Il savait comment s'y prendre, se frottant contre mes genoux pour attirer mon attention, tout en mettant la machine à ronron en marche. Je l'attrapais d'une main, le serrant doucement dans mes bras tout en lui offrant des bisous sur son petit front. Il était encore tout jeune à peine quelques mois, c'était une vraie boule de poils noirs qui restait encore sans nom. Oui pour l'instant, c'était le chat ou minou et cela semblait nous convenir, même si j'allais devoir faire un choix. La pause câlin terminée, je déposais chaton sur le canapé, le laissant s'installer confortablement pour faire sa sieste. Je voulais finir mon oeuvre, même si celle-ci allait finir déchiré en mille et un petits morceaux. C'était un drôle de processus, pour certain, c'était comme si je perdais des heures pour rien, mais pour moi, c'était ma façon d'extérioriser les choses et aujourd'hui, mes pensées prenaient forme humaine, un patchwork de têtes et de silhouettes. Je peignais monsieur Grant comme je l'avais vu, faisant chaque trait distinct de son visage sans me tromper, tellement il hantait mes pensées. Il me suffisait de fermer les yeux pour le revoir, son regard de glace pauser sur moi, un sourire confiant dessiner sur ses lèvres.

Dans ces moments-là, je mettais toujours mon portable en vibreur avant de le caler au fond de ma poche, car avec mes écouteurs, il m'était impossible de l'entendre sonner. Mais à chaque fois, c'est la même chose, je sursaute parce que je ne m'attends jamais à cette vibration. J'enlevais mon casque, le laissant pendre à mon cou avant de prendre mon téléphone pour voir qui essayait de me contacter. Rien que de voir le nom de Freya sur l'écran, j'avais un grand sourire dessiner sur mes lèvres. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t'arrive de vérifier ta porte d'entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises... » Je riais doucement et sortis de ma chambre, m'attendant à retrouver un colis derrière ma porte d'entrée. Après tout ce n'était pas la première fois que Freya m'envoyait des petits colis surpris. Je me dépêchais d'atteindre le petit hall d'entrée, marchant d'un pas rapide tout en rigolant comme une gamine. J'avais l'impression d'être le jour de Noël, à chaque fois que je recevais des cadeaux.

Sauf qu'au lieu de découvrir une boite sur le pas de ma porte, ce fut une Freya, ma meilleure amie que je n'avais pas vu depuis des mois. Ma première réaction fut de sauter de joie, les mains portées à ma bouche, tout en criant. L'autre fut de me jeter dans les bras de Ma Freya la serrant fort contre moi pour être sûr que tout cela était bel et bien réel. « Je n'y crois pas que tu sois là ! Best surprise ever ! » M'exclamais-je, tout en me reculant un peu pour voir son joli visage. « T'es là, tu es vraiment là ! » Je n'y croyais pas et pourtant, c'était bien elle qui se tenait devant moi.

[vos points]

It's really you!

"Hela & Freya"

Je n'avais pas réussi à dormir cette nuit. J'avais bien trop de choses en tête entre autres mon job qui n'était pas celui que j'espère, même si je m'y plaisais quand même un peu, ma meilleure amie qui me manquait. Et surtout monsieur Grant, cet homme que j'avais rencontré il y a deux jours de cela et avec qui je partageais une certaine attirance. J'étais déboussolée, moi qui n'avais jamais eu de chance avec la gente masculine, voilà que je tombais nez à nez avec Clark Taylor-Grant, qui préfère qu'on l'appel monsieur Grant et qui n'aime pas sa comparaison à Superman. J'étais donc debout avant le soleil et fis la seule chose que j'avais en tête dans ce genre de moment, peindre en musique. En noir et blanc, jamais de couleurs froides ou chaudes pour mes pensées ou mes idées, non l'effet était encore plus présent et plus fort avec le strict nécessaire.

Les seules fois où j'avais fait une pause durant mon temps de peinture, c'était pour m'occuper du chat en manque de câlins et de croquettes. Il savait comment s'y prendre, se frottant contre mes genoux pour attirer mon attention, tout en mettant la machine à ronron en marche. Je l'attrapais d'une main, le serrant doucement dans mes bras tout en lui offrant des bisous sur son petit front. Il était encore tout jeune à peine quelques mois, c'était une vraie boule de poils noirs qui restait encore sans nom. Oui pour l'instant, c'était le chat ou minou et cela semblait nous convenir, même si j'allais devoir faire un choix. La pause câlin terminée, je déposais chaton sur le canapé, le laissant s'installer confortablement pour faire sa sieste. Je voulais finir mon oeuvre, même si celle-ci allait finir déchiré en mille et un petits morceaux. C'était un drôle de processus, pour certain, c'était comme si je perdais des heures pour rien, mais pour moi, c'était ma façon d'extérioriser les choses et aujourd'hui, mes pensées prenaient forme humaine, un patchwork de têtes et de silhouettes. Je peignais monsieur Grant comme je l'avais vu, faisant chaque trait distinct de son visage sans me tromper, tellement il hantait mes pensées. Il me suffisait de fermer les yeux pour le revoir, son regard de glace pauser sur moi, un sourire confiant dessiner sur ses lèvres.

Dans ces moments-là, je mettais toujours mon portable en vibreur avant de le caler au fond de ma poche, car avec mes écouteurs, il m'était impossible de l'entendre sonner. Mais à chaque fois, c'est la même chose, je sursaute parce que je ne m'attends jamais à cette vibration. J'enlevais mon casque, le laissant pendre à mon cou avant de prendre mon téléphone pour voir qui essayait de me contacter. Rien que de voir le nom de Freya sur l'écran, j'avais un grand sourire dessiner sur mes lèvres. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t'arrive de vérifier ta porte d'entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises... » Je riais doucement et sortis de ma chambre, m'attendant à retrouver un colis derrière ma porte d'entrée. Après tout ce n'était pas la première fois que Freya m'envoyait des petits colis surpris. Je me dépêchais d'atteindre le petit hall d'entrée, marchant d'un pas rapide tout en rigolant comme une gamine. J'avais l'impression d'être le jour de Noël, à chaque fois que je recevais des cadeaux.

Sauf qu'au lieu de découvrir une boite sur le pas de ma porte, ce fut une Freya, ma meilleure amie que je n'avais pas vu depuis des mois. Ma première réaction fut de sauter de joie, les mains portées à ma bouche, tout en criant. L'autre fut de me jeter dans les bras de Ma Freya la serrant fort contre moi pour être sûr que tout cela était bel et bien réel. « Je n'y crois pas que tu sois là ! Best surprise ever ! » M'exclamais-je, tout en me reculant un peu pour voir son joli visage. « T'es là, tu es vraiment là ! » Je n'y croyais pas et pourtant, c'était bien elle qui se tenait devant moi.

[Messages]

It's really you!

"Hela & Freya"

Je n'avais pas réussi à dormir cette nuit. J'avais bien trop de choses en tête entre autres mon job qui n'était pas celui que j'espère, même si je m'y plaisais quand même un peu, ma meilleure amie qui me manquait. Et surtout monsieur Grant, cet homme que j'avais rencontré il y a deux jours de cela et avec qui je partageais une certaine attirance. J'étais déboussolée, moi qui n'avais jamais eu de chance avec la gente masculine, voilà que je tombais nez à nez avec Clark Taylor-Grant, qui préfère qu'on l'appel monsieur Grant et qui n'aime pas sa comparaison à Superman. J'étais donc debout avant le soleil et fis la seule chose que j'avais en tête dans ce genre de moment, peindre en musique. En noir et blanc, jamais de couleurs froides ou chaudes pour mes pensées ou mes idées, non l'effet était encore plus présent et plus fort avec le strict nécessaire.

Les seules fois où j'avais fait une pause durant mon temps de peinture, c'était pour m'occuper du chat en manque de câlins et de croquettes. Il savait comment s'y prendre, se frottant contre mes genoux pour attirer mon attention, tout en mettant la machine à ronron en marche. Je l'attrapais d'une main, le serrant doucement dans mes bras tout en lui offrant des bisous sur son petit front. Il était encore tout jeune à peine quelques mois, c'était une vraie boule de poils noirs qui restait encore sans nom. Oui pour l'instant, c'était le chat ou minou et cela semblait nous convenir, même si j'allais devoir faire un choix. La pause câlin terminée, je déposais chaton sur le canapé, le laissant s'installer confortablement pour faire sa sieste. Je voulais finir mon oeuvre, même si celle-ci allait finir déchiré en mille et un petits morceaux. C'était un drôle de processus, pour certain, c'était comme si je perdais des heures pour rien, mais pour moi, c'était ma façon d'extérioriser les choses et aujourd'hui, mes pensées prenaient forme humaine, un patchwork de têtes et de silhouettes. Je peignais monsieur Grant comme je l'avais vu, faisant chaque trait distinct de son visage sans me tromper, tellement il hantait mes pensées. Il me suffisait de fermer les yeux pour le revoir, son regard de glace pauser sur moi, un sourire confiant dessiner sur ses lèvres.

Dans ces moments-là, je mettais toujours mon portable en vibreur avant de le caler au fond de ma poche, car avec mes écouteurs, il m'était impossible de l'entendre sonner. Mais à chaque fois, c'est la même chose, je sursaute parce que je ne m'attends jamais à cette vibration. J'enlevais mon casque, le laissant pendre à mon cou avant de prendre mon téléphone pour voir qui essayait de me contacter. Rien que de voir le nom de Freya sur l'écran, j'avais un grand sourire dessiner sur mes lèvres. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t'arrive de vérifier ta porte d'entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises... » Je riais doucement et sortis de ma chambre, m'attendant à retrouver un colis derrière ma porte d'entrée. Après tout ce n'était pas la première fois que Freya m'envoyait des petits colis surpris. Je me dépêchais d'atteindre le petit hall d'entrée, marchant d'un pas rapide tout en rigolant comme une gamine. J'avais l'impression d'être le jour de Noël, à chaque fois que je recevais des cadeaux.

Sauf qu'au lieu de découvrir une boite sur le pas de ma porte, ce fut une Freya, ma meilleure amie que je n'avais pas vu depuis des mois. Ma première réaction fut de sauter de joie, les mains portées à ma bouche, tout en criant. L'autre fut de me jeter dans les bras de Ma Freya la serrant fort contre moi pour être sûr que tout cela était bel et bien réel. « Je n'y crois pas que tu sois là ! Best surprise ever ! » M'exclamais-je, tout en me reculant un peu pour voir son joli visage. « T'es là, tu es vraiment là ! » Je n'y croyais pas et pourtant, c'était bien elle qui se tenait devant moi.

[Date d'inscription]

It's really you!

"Hela & Freya"

Je n'avais pas réussi à dormir cette nuit. J'avais bien trop de choses en tête entre autres mon job qui n'était pas celui que j'espère, même si je m'y plaisais quand même un peu, ma meilleure amie qui me manquait. Et surtout monsieur Grant, cet homme que j'avais rencontré il y a deux jours de cela et avec qui je partageais une certaine attirance. J'étais déboussolée, moi qui n'avais jamais eu de chance avec la gente masculine, voilà que je tombais nez à nez avec Clark Taylor-Grant, qui préfère qu'on l'appel monsieur Grant et qui n'aime pas sa comparaison à Superman. J'étais donc debout avant le soleil et fis la seule chose que j'avais en tête dans ce genre de moment, peindre en musique. En noir et blanc, jamais de couleurs froides ou chaudes pour mes pensées ou mes idées, non l'effet était encore plus présent et plus fort avec le strict nécessaire.

Les seules fois où j'avais fait une pause durant mon temps de peinture, c'était pour m'occuper du chat en manque de câlins et de croquettes. Il savait comment s'y prendre, se frottant contre mes genoux pour attirer mon attention, tout en mettant la machine à ronron en marche. Je l'attrapais d'une main, le serrant doucement dans mes bras tout en lui offrant des bisous sur son petit front. Il était encore tout jeune à peine quelques mois, c'était une vraie boule de poils noirs qui restait encore sans nom. Oui pour l'instant, c'était le chat ou minou et cela semblait nous convenir, même si j'allais devoir faire un choix. La pause câlin terminée, je déposais chaton sur le canapé, le laissant s'installer confortablement pour faire sa sieste. Je voulais finir mon oeuvre, même si celle-ci allait finir déchiré en mille et un petits morceaux. C'était un drôle de processus, pour certain, c'était comme si je perdais des heures pour rien, mais pour moi, c'était ma façon d'extérioriser les choses et aujourd'hui, mes pensées prenaient forme humaine, un patchwork de têtes et de silhouettes. Je peignais monsieur Grant comme je l'avais vu, faisant chaque trait distinct de son visage sans me tromper, tellement il hantait mes pensées. Il me suffisait de fermer les yeux pour le revoir, son regard de glace pauser sur moi, un sourire confiant dessiner sur ses lèvres.

Dans ces moments-là, je mettais toujours mon portable en vibreur avant de le caler au fond de ma poche, car avec mes écouteurs, il m'était impossible de l'entendre sonner. Mais à chaque fois, c'est la même chose, je sursaute parce que je ne m'attends jamais à cette vibration. J'enlevais mon casque, le laissant pendre à mon cou avant de prendre mon téléphone pour voir qui essayait de me contacter. Rien que de voir le nom de Freya sur l'écran, j'avais un grand sourire dessiner sur mes lèvres. « Coucou la plus jolie fille de Phoenix !! Dis, ça t'arrive de vérifier ta porte d'entrée ?? Tu pourrais parfois y trouver des surprises... » Je riais doucement et sortis de ma chambre, m'attendant à retrouver un colis derrière ma porte d'entrée. Après tout ce n'était pas la première fois que Freya m'envoyait des petits colis surpris. Je me dépêchais d'atteindre le petit hall d'entrée, marchant d'un pas rapide tout en rigolant comme une gamine. J'avais l'impression d'être le jour de Noël, à chaque fois que je recevais des cadeaux.

Sauf qu'au lieu de découvrir une boite sur le pas de ma porte, ce fut une Freya, ma meilleure amie que je n'avais pas vu depuis des mois. Ma première réaction fut de sauter de joie, les mains portées à ma bouche, tout en criant. L'autre fut de me jeter dans les bras de Ma Freya la serrant fort contre moi pour être sûr que tout cela était bel et bien réel. « Je n'y crois pas que tu sois là ! Best surprise ever ! » M'exclamais-je, tout en me reculant un peu pour voir son joli visage. « T'es là, tu es vraiment là ! » Je n'y croyais pas et pourtant, c'était bien elle qui se tenait devant moi.

[nouveau venu]

Hela J. Sullivan & Freya W. Hasting

« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Je suis vraiment surexcitée à l’idée de revoir Hela. J’ai beau avoir un mode de vie très actif, il n’en demeure pas moins que la présence de ma meilleure amie dans ma vie m’a terriblement manquée. Je m’ennuie de nos longues soirées à discuter de tout et de rien et de nos virées shopping complètement disjonctées. On a toujours su se compléter tellement bien toutes les deux que je sais que ce retour dans sa vie risque de nous être tout bénéfique à toutes les deux. Bien que triste de quitter ma ville natale, je me dirige vers Phoenix avec une joie intense au ventre. Cette ville tranquille ne sait pas ce qui l’attend. Freya Hasting vient à sa rencontre et elle compte bien y passer d’agréables moments. Si tôt débarquée de l’avion, je prends le premier taxi en direction de l’appartement d’Hela. Il me tarde de lui faire savoir que je suis en ville et de discuter avec elle. Je me sens presque instinctivement chez moi. Il faut dire que j’ai souvent fait des petites visites par ici. Ma jolie rousse et moi nous rendions mutuellement visite assez régulièrement. Seulement, je sais que tout est différent désormais. Je suis là pour rester. Tout simplement.

Si tôt arrivée devant le magnifique bloc appartements, je monte les marches quatre à quatre, pressée d’envoyer un message à ma vieille amie pour lui faire savoir que je suis là, sur le pas de sa porte. Hela ne répond pas à mon texto, mais je me doute qu’elle doit être en train de se diriger vers la porte d’entrée. Enfin, si elle n’est pas sortie, mais ça serait vraiment une malchance que j’arrive pile au moment où elle ne serait pas chez elle. Mais finalement, je l’entends arriver derrière la porte, ouvrant celle-ci. Aussitôt, je lis une surprise sur son visage qui ne manque pas de me faire sourire. Elle sautille légèrement de joie en criant, se précipitant instinctivement dans mes bras. Je la sers fortement dans mes bras, ne pouvant réprimer un petit cri de bonheur à mon tour. « Je n'y crois pas que tu sois là !! Best surprise ever !! » Je rigole légèrement, la laissant se séparer de moi. Ma main reste toujours contre son bras, le serrant légèrement. « T'es là, tu es vraiment là !! » Je ris de nouveau, lui lançant un clin d’œil. « Heureuse de constater que ma surprise te plaît... » Je lui sourit tendrement, serrant la poignée de ma valise contre moi. « Je peux entrer dis ?? À moins que tu ne préfères me laisser à la rue et franchement, t’as pas vraiment intérêt… » Je lui lance un nouveau clin d’œil avant de rire de nouveau. J’ai tellement de choses à lui raconter, elle ne peut même pas s’imaginer. C’est tellement bon de la sentir là, tout près de moi. Exactement comme à l’époque où nous étions toujours étudiantes. De nouveau, mes bras viennent l’enlacer, comme si j’avais peur que tout ceci ne soit qu’un rêve. « Tu m’as tellement manquée ma belle, si tu savais !! J’ai tellement de choses à te dire. » Je la relâche enfin pour la suivre à l’intérieure. À vrai dire, son appartement n’a pas du tout changé depuis la dernière fois où j’ai posée les pieds à Phoenix. C’est toujours parfaitement à son image. À l’image de ma Hela. « Qu’est-ce que tu deviens ?? J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne s’est pas parlé. » Je relâche doucement la poignée de ma valise, venant croiser mes bras contre ma poitrine. Comme toujours, j’étais curieuse de connaître tout ce qui gravitait autour de sa vie ces derniers temps.

© Chieuze

[vos points]

Hela J. Sullivan & Freya W. Hasting

« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Je suis vraiment surexcitée à l’idée de revoir Hela. J’ai beau avoir un mode de vie très actif, il n’en demeure pas moins que la présence de ma meilleure amie dans ma vie m’a terriblement manquée. Je m’ennuie de nos longues soirées à discuter de tout et de rien et de nos virées shopping complètement disjonctées. On a toujours su se compléter tellement bien toutes les deux que je sais que ce retour dans sa vie risque de nous être tout bénéfique à toutes les deux. Bien que triste de quitter ma ville natale, je me dirige vers Phoenix avec une joie intense au ventre. Cette ville tranquille ne sait pas ce qui l’attend. Freya Hasting vient à sa rencontre et elle compte bien y passer d’agréables moments. Si tôt débarquée de l’avion, je prends le premier taxi en direction de l’appartement d’Hela. Il me tarde de lui faire savoir que je suis en ville et de discuter avec elle. Je me sens presque instinctivement chez moi. Il faut dire que j’ai souvent fait des petites visites par ici. Ma jolie rousse et moi nous rendions mutuellement visite assez régulièrement. Seulement, je sais que tout est différent désormais. Je suis là pour rester. Tout simplement.

Si tôt arrivée devant le magnifique bloc appartements, je monte les marches quatre à quatre, pressée d’envoyer un message à ma vieille amie pour lui faire savoir que je suis là, sur le pas de sa porte. Hela ne répond pas à mon texto, mais je me doute qu’elle doit être en train de se diriger vers la porte d’entrée. Enfin, si elle n’est pas sortie, mais ça serait vraiment une malchance que j’arrive pile au moment où elle ne serait pas chez elle. Mais finalement, je l’entends arriver derrière la porte, ouvrant celle-ci. Aussitôt, je lis une surprise sur son visage qui ne manque pas de me faire sourire. Elle sautille légèrement de joie en criant, se précipitant instinctivement dans mes bras. Je la sers fortement dans mes bras, ne pouvant réprimer un petit cri de bonheur à mon tour. « Je n'y crois pas que tu sois là !! Best surprise ever !! » Je rigole légèrement, la laissant se séparer de moi. Ma main reste toujours contre son bras, le serrant légèrement. « T'es là, tu es vraiment là !! » Je ris de nouveau, lui lançant un clin d’œil. « Heureuse de constater que ma surprise te plaît... » Je lui sourit tendrement, serrant la poignée de ma valise contre moi. « Je peux entrer dis ?? À moins que tu ne préfères me laisser à la rue et franchement, t’as pas vraiment intérêt… » Je lui lance un nouveau clin d’œil avant de rire de nouveau. J’ai tellement de choses à lui raconter, elle ne peut même pas s’imaginer. C’est tellement bon de la sentir là, tout près de moi. Exactement comme à l’époque où nous étions toujours étudiantes. De nouveau, mes bras viennent l’enlacer, comme si j’avais peur que tout ceci ne soit qu’un rêve. « Tu m’as tellement manquée ma belle, si tu savais !! J’ai tellement de choses à te dire. » Je la relâche enfin pour la suivre à l’intérieure. À vrai dire, son appartement n’a pas du tout changé depuis la dernière fois où j’ai posée les pieds à Phoenix. C’est toujours parfaitement à son image. À l’image de ma Hela. « Qu’est-ce que tu deviens ?? J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne s’est pas parlé. » Je relâche doucement la poignée de ma valise, venant croiser mes bras contre ma poitrine. Comme toujours, j’étais curieuse de connaître tout ce qui gravitait autour de sa vie ces derniers temps.

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« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Je suis vraiment surexcitée à l’idée de revoir Hela. J’ai beau avoir un mode de vie très actif, il n’en demeure pas moins que la présence de ma meilleure amie dans ma vie m’a terriblement manquée. Je m’ennuie de nos longues soirées à discuter de tout et de rien et de nos virées shopping complètement disjonctées. On a toujours su se compléter tellement bien toutes les deux que je sais que ce retour dans sa vie risque de nous être tout bénéfique à toutes les deux. Bien que triste de quitter ma ville natale, je me dirige vers Phoenix avec une joie intense au ventre. Cette ville tranquille ne sait pas ce qui l’attend. Freya Hasting vient à sa rencontre et elle compte bien y passer d’agréables moments. Si tôt débarquée de l’avion, je prends le premier taxi en direction de l’appartement d’Hela. Il me tarde de lui faire savoir que je suis en ville et de discuter avec elle. Je me sens presque instinctivement chez moi. Il faut dire que j’ai souvent fait des petites visites par ici. Ma jolie rousse et moi nous rendions mutuellement visite assez régulièrement. Seulement, je sais que tout est différent désormais. Je suis là pour rester. Tout simplement.

Si tôt arrivée devant le magnifique bloc appartements, je monte les marches quatre à quatre, pressée d’envoyer un message à ma vieille amie pour lui faire savoir que je suis là, sur le pas de sa porte. Hela ne répond pas à mon texto, mais je me doute qu’elle doit être en train de se diriger vers la porte d’entrée. Enfin, si elle n’est pas sortie, mais ça serait vraiment une malchance que j’arrive pile au moment où elle ne serait pas chez elle. Mais finalement, je l’entends arriver derrière la porte, ouvrant celle-ci. Aussitôt, je lis une surprise sur son visage qui ne manque pas de me faire sourire. Elle sautille légèrement de joie en criant, se précipitant instinctivement dans mes bras. Je la sers fortement dans mes bras, ne pouvant réprimer un petit cri de bonheur à mon tour. « Je n'y crois pas que tu sois là !! Best surprise ever !! » Je rigole légèrement, la laissant se séparer de moi. Ma main reste toujours contre son bras, le serrant légèrement. « T'es là, tu es vraiment là !! » Je ris de nouveau, lui lançant un clin d’œil. « Heureuse de constater que ma surprise te plaît... » Je lui sourit tendrement, serrant la poignée de ma valise contre moi. « Je peux entrer dis ?? À moins que tu ne préfères me laisser à la rue et franchement, t’as pas vraiment intérêt… » Je lui lance un nouveau clin d’œil avant de rire de nouveau. J’ai tellement de choses à lui raconter, elle ne peut même pas s’imaginer. C’est tellement bon de la sentir là, tout près de moi. Exactement comme à l’époque où nous étions toujours étudiantes. De nouveau, mes bras viennent l’enlacer, comme si j’avais peur que tout ceci ne soit qu’un rêve. « Tu m’as tellement manquée ma belle, si tu savais !! J’ai tellement de choses à te dire. » Je la relâche enfin pour la suivre à l’intérieure. À vrai dire, son appartement n’a pas du tout changé depuis la dernière fois où j’ai posée les pieds à Phoenix. C’est toujours parfaitement à son image. À l’image de ma Hela. « Qu’est-ce que tu deviens ?? J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne s’est pas parlé. » Je relâche doucement la poignée de ma valise, venant croiser mes bras contre ma poitrine. Comme toujours, j’étais curieuse de connaître tout ce qui gravitait autour de sa vie ces derniers temps.

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« Nos meilleures amies peuvent parfois nous faire péter les plombs, mais il faut reconnaître que sans elles on serait un peu perdu. »

Je suis vraiment surexcitée à l’idée de revoir Hela. J’ai beau avoir un mode de vie très actif, il n’en demeure pas moins que la présence de ma meilleure amie dans ma vie m’a terriblement manquée. Je m’ennuie de nos longues soirées à discuter de tout et de rien et de nos virées shopping complètement disjonctées. On a toujours su se compléter tellement bien toutes les deux que je sais que ce retour dans sa vie risque de nous être tout bénéfique à toutes les deux. Bien que triste de quitter ma ville natale, je me dirige vers Phoenix avec une joie intense au ventre. Cette ville tranquille ne sait pas ce qui l’attend. Freya Hasting vient à sa rencontre et elle compte bien y passer d’agréables moments. Si tôt débarquée de l’avion, je prends le premier taxi en direction de l’appartement d’Hela. Il me tarde de lui faire savoir que je suis en ville et de discuter avec elle. Je me sens presque instinctivement chez moi. Il faut dire que j’ai souvent fait des petites visites par ici. Ma jolie rousse et moi nous rendions mutuellement visite assez régulièrement. Seulement, je sais que tout est différent désormais. Je suis là pour rester. Tout simplement.

Si tôt arrivée devant le magnifique bloc appartements, je monte les marches quatre à quatre, pressée d’envoyer un message à ma vieille amie pour lui faire savoir que je suis là, sur le pas de sa porte. Hela ne répond pas à mon texto, mais je me doute qu’elle doit être en train de se diriger vers la porte d’entrée. Enfin, si elle n’est pas sortie, mais ça serait vraiment une malchance que j’arrive pile au moment où elle ne serait pas chez elle. Mais finalement, je l’entends arriver derrière la porte, ouvrant celle-ci. Aussitôt, je lis une surprise sur son visage qui ne manque pas de me faire sourire. Elle sautille légèrement de joie en criant, se précipitant instinctivement dans mes bras. Je la sers fortement dans mes bras, ne pouvant réprimer un petit cri de bonheur à mon tour. « Je n'y crois pas que tu sois là !! Best surprise ever !! » Je rigole légèrement, la laissant se séparer de moi. Ma main reste toujours contre son bras, le serrant légèrement. « T'es là, tu es vraiment là !! » Je ris de nouveau, lui lançant un clin d’œil. « Heureuse de constater que ma surprise te plaît... » Je lui sourit tendrement, serrant la poignée de ma valise contre moi. « Je peux entrer dis ?? À moins que tu ne préfères me laisser à la rue et franchement, t’as pas vraiment intérêt… » Je lui lance un nouveau clin d’œil avant de rire de nouveau. J’ai tellement de choses à lui raconter, elle ne peut même pas s’imaginer. C’est tellement bon de la sentir là, tout près de moi. Exactement comme à l’époque où nous étions toujours étudiantes. De nouveau, mes bras viennent l’enlacer, comme si j’avais peur que tout ceci ne soit qu’un rêve. « Tu m’as tellement manquée ma belle, si tu savais !! J’ai tellement de choses à te dire. » Je la relâche enfin pour la suivre à l’intérieure. À vrai dire, son appartement n’a pas du tout changé depuis la dernière fois où j’ai posée les pieds à Phoenix. C’est toujours parfaitement à son image. À l’image de ma Hela. « Qu’est-ce que tu deviens ?? J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne s’est pas parlé. » Je relâche doucement la poignée de ma valise, venant croiser mes bras contre ma poitrine. Comme toujours, j’étais curieuse de connaître tout ce qui gravitait autour de sa vie ces derniers temps.

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