[nouveau venu]

Hela Justice Sullivan
i like the way it's hurts

ஓ Nom : Sullivan. ஓ Prénom : Hela, Justice. ஓ Âge : 26 ans. ஓ date et lieu de naissance : Le 18 Juillet 1987 ஓ Métier : peintre en batiment ஓ Orientation sexuelle : Hétéro ஓ Statut matrimonial : Célibataire. ஓ Caractère : Tu ne me cherches pas, ne fais pas ton grand avec moi, je suis fille de flic, mec, des coups, je sais en donner et des très bien placés. Je suis une débrouillarde et même quand j'ai besoin d'aide, je fais la grande. Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être pour prouver quelque chose ou tout simplement parce que j'ai été élevé par mon père et qu'il m'a appris à être autonome. Je suis une casse bonbon, une grande bornée qui ne veut jamais avoir tort et qui fera tout pour prouver que c'est le cas. Je fais tout pour arriver à mes fins, parce qu'on ne peut pas avoir tout sans rien. Faut être un battant dans la vie pour avoir ce que l'on mérite. Je ne suis pas totalement garçon manqué, mais quand tu fais un métier d'homme t'as pas vraiment le choix que de montrer que tu n'es pas une fille fragile qui pleure pour un rien. Je peux être douce, du moins, je le suis avec mes amis et ma famille. C'est vrai, je suis une fille sympa et câline, quand je suis entouré des personnes que j'aime, on va dire que je joue un peu un double rôle, il y a la Hela du boulot et l'autre, celle que je suis le reste du temps. Je l'avoue, je suis une petite sensible, je peux facilement être touché par des actes et des paroles, qu'ils soient bons ou mauvais. Je fais face aux critiques, mais je fais en sorte de montrer que cela ne m'atteint pas. Par la suite, je me défoule comme je peux pour faire sortir ma colère, je cours, boxe et puis, je peins. Oui, je pose en noir et blanc mon problème, avant de l'écraser ou de le faire bruler, ça dépend du niveau de ma colère. Je ne suis pas du genre à divulguer ma vie privée, à vrai dire, je n'en dis pas beaucoup sur ma personne, préférant parler d'un autre sujet que moi. Les gens savent de moi ce que je veux qu'ils connaissent, c'est-à-dire le strict minimum, mais jamais plus. On me blesse une fois, mais pas deux. Avec moi pas de seconde chance, car je suis très méfiante et c'est dur pour moi d'accorder à nouveau ma confiance à quelqu'un qui m'a montré qu'il ne la mérite pas. Je suis assez charmante, du moins quand je n'ouvre pas ma bouche. En dessin, je suis assez douée, enfin, c'est l'avis global de mon entourage, je dirais juste que...je me défends bien. La peinture, c'est mon truc, ma passion, la chose qui m'a beaucoup aider à avancer dans la vie. Les hommes, c'est un grand point d'interrogation pour moi, un puzzle de 1485 pièces. Et je sais que, cela est partiellement ma faute, mais quand il est question de l'amour, j'ai peur.  ஓ Groupe : Between the line ஓ Célébrité : Holland Roden. ஓ Crédit : Tumblr & Aurohook.

ஓ J'ai toujours la manie de me mordre la lèvre, c’est instinctif et ça arrive surtout quand je suis nerveuse, inspirée ou stressée. ஓ Quand j'essaie de comprendre quelque chose ou quelqu'un, j'ai le tic de toujours pencher la tête sur le côté et d’arquer un sourcil. ஓ C’est facile de savoir quand je mens, j’ai la mauvaise manie de mettre mes cheveux derrière les oreilles. ஓ Quand je suis sur le point de peter un câble, je cligne plusieurs fois des yeux avant  de faire craquer mes doigts, si vous me voyez faire ça, courrez. ஓ J’ai ce foutu toc des télécommandes, il faut qu’elles soient classées dans un ordre croissant sur ma table basse, sinon ça ne va pas. ஓ Je prends toujours mes douches en musique et bien entendu, je chante en même temps. ஓ Depuis "l'accident", je ne peux plus voir en peinture le champagne, rien que de voir un verre, ça me rend nauséeuse ஓ Il m'est impossible de rester calme devant un film thriller ou horreur. Voir une personne mourir à la télé, ça me ramène à cette fameuse nuit. ஓ J'enroule toujours une mèche de cheveux autour de mon doigt, quand je suis dans mes pensées

Quel est votre plus gros mensonge/secret?

Chapter three
Quand tu crois que les mauvaises choses n'arrivent qu'à ton voisin.
« Tu crois que je ne t'ai pas vu ?! » Le timbre de sa voix, c'est ça qui m'a réveillé en premier, pas le bruit des objets qui s'écrasaient au sol, mais sa voix. Elle hurlait après Derek, comme elle avait l'habitude de faire avec papa, quand elle faisait une crise. Je restais sans bouger dans mon lit, même si cette chambre dans laquelle je dormais n'avait rien de familier. C'était la pièce dans laquelle je dormais, quand je venais rendre visite à ma mère, rien d'autre. « Si tu oses la toucher avec tes salles pattes, je te jure que...que... » Et ça continue, comme si cela ne faisait que de commencer. J'étais assez contente que cela ne soit pas l'amour fou entre ma mère et son nouveau boyfriend. Derek était tout ce que mon père n'était pas et c'était pour cela que je le détestais. Curieuse, je sortais de mon lit et marchais pieds nus jusqu'à la porte entre ouverte. De là, je pouvais les entendre, mais ce n'était pas assez, je voulais vraiment voir ce qu'il se passait en bas. Comprendre pourquoi ma mère se mettait dans cet état.

Doucement, je sortis de ma chambre, marchant a pas de loup jusqu'à l'escalier. Je faisais en sorte de ne pas me faire entendre, même si les lattes en bois du sol grinçaient sous mon poids. « Qu'est-ce que tu comptes faire hein ?! » Il était menaçant et en plus de cela, ivre. Je continuais de faire mon chemin, me guidant par leur voix pour tracer ma voie. Je connaissais à peine cette maison et je n'avais aucune envie de m'y perdre en pleine nuit. A peine quelques minutes plus tard, je me retrouvais enfin devant la porte derrière laquelle, ils se trouvaient. Je m'accroupis, regardant par le trou de la serrure pour voir ce qu'il se passait. De l'autre côté, Derek buvait son énième verre de champagne tout, alors que ma mère le fusillait du regard, comme une folle furieuse. « Je te tuerais, si tu la touches, je te fais la peau. » Il n'a pas aimé ses paroles, encore moins son visage crispé par la colère, il s'était brusquement levé de son fauteuil et d'un seul geste frappa ma mère en plein visage, le coup fut si fort, qu'elle tomba au sol. Un cri sourd s'échappa d'entre mes lèvres et je me dépêchais d'y porter ma main, choquée. Je restais là sans bouger, alors que Derek tournait autour de ma mère comme un requin étudiant sa proie avant de n'en faire qu'une seule bouchée. A moitié furieux, à moitié soul, il posa son verre sur son bureau et s'approcha de ma mère, l'attrapant par les cheveux pour la tirer près de lui. « Tu ne feras rien tout comme tu ne quitteras pas cette maison, pour la simple et bonne raison que tu n'as plus rien qui t'attend dehors, rien. » Je n'avais pas compris ce que ma mère lui rétorqua par la suite, bien trop choqué parce qu'il se passait dans le bureau de Derek. Et la suite, arriva si rapidement, que je ne me souvenais pas comment, j'avais fait pour entrer dans l'office, attraper la bouteille de champagne et frapper le petit ami de ma mère avec. C'était comme si j'étais passé en pilote automatique alors que Derek battait ma mère encore et encore.

La bouteille ne se brisa même pas quand elle atterrit sur le crâne de cet homme qui semblait apprécier violenter les femmes. « Hel' non ! » Derek s'effondra, sa tête cognant contre le coin du bureau avant que son corps s'étale sur le sol. « Oh mon dieu, mais qu'est-ce que tu as fait ?! » Je venais de lui sauver la vie et au lieu que ma mère me prenne dans ses bras, elle se précipita sur Derek, secouant énergiquement son épaule pour le réveiller. A peine l'avait-elle retourné, que le sang coulait le long de sa tempe. « Qu'est-ce que tu as fait ? Mais qu'est-ce que tu as fait ? » Et elle continuait de répéter cette phrase, comme si elle m'était la faute sur moi. Son regard se posa sur moi et pour la première fois, je la vis mortifier à mon égard. Sa main tremblante vint se poser sur son cou. Une seconde, une deuxième, une troisième... « Tu...tu l'as tué.. » A cette phrase, je lâchais ma prise, laissant la bouteille de champagne tombé au sol.

Ce soir-là, je venais de tuer un homme.

La première chose que ma mère fit, fut d'appeler mon père. Il n'était plus ensemble depuis des années et pourtant, en cas de problème, il était toujours le premier sur sa liste. A ce moment-là, tout devint flou et lent. Je me souviens seulement du regard inquiet de mon père, de son étreinte pour me rassurer et de quelques bribes de conversation. « Elle a dix-huit ans, Lizzie, tu sais très bien qu'elle risque la prison. » Prison ? Je venais de sauver la vie de ma mère et j'allais faire de la prison pour ça ? Non, non, c'était de la défense, pas de l'attaque. « Attend que l'on soit parti. Dis à la police que c'était de la légitime défense, il était soul, vous vous êtes disputé, il t'a attaqué et toi...tu t'es défendu. Où est la bouteille ?» Le trajet jusqu'à la maison se fit en silence, mon père semblait être tiraillé entre le remords et la colère. « Il ne sait rien passer Hel', tu m'entends ? Tu n'es jamais allé chez ta mère, tu étais à la maison avec moi. Hel', tu m'entends ?! » Je sursautais dans mon siège et hochais de la tête plusieurs fois.

Ma mère s'en était tiré pour légitime défense, il y avait assez de preuves pour confirmer ses dires même si, la moitié était un tissu de mensonges. Depuis la fin de l'affaire, nous n'avons plus jamais parlé de cette histoire. Mais celle-ci hante mes nuits et je me revois encore espionnant par le trou de la serrure avant de frapper Derek à coup de bouteille de champagne.

wild bird ஓ âge : 26 ansஓ pays : france ஓ fréquence de connexion : 4/7ஓ où avez vous connu le forum ? : sur bazzart, en postant une recherche de forumஓ un dernier mot : C'est tout beau, ici!        Code: <span class="pris">HOLLAND RODEN</span> ▻ « hela j. sullivan »

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Hela Justice Sullivan
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ஓ Nom : Sullivan. ஓ Prénom : Hela, Justice. ஓ Âge : 26 ans. ஓ date et lieu de naissance : Le 18 Juillet 1987 ஓ Métier : peintre en batiment ஓ Orientation sexuelle : Hétéro ஓ Statut matrimonial : Célibataire. ஓ Caractère : Tu ne me cherches pas, ne fais pas ton grand avec moi, je suis fille de flic, mec, des coups, je sais en donner et des très bien placés. Je suis une débrouillarde et même quand j'ai besoin d'aide, je fais la grande. Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être pour prouver quelque chose ou tout simplement parce que j'ai été élevé par mon père et qu'il m'a appris à être autonome. Je suis une casse bonbon, une grande bornée qui ne veut jamais avoir tort et qui fera tout pour prouver que c'est le cas. Je fais tout pour arriver à mes fins, parce qu'on ne peut pas avoir tout sans rien. Faut être un battant dans la vie pour avoir ce que l'on mérite. Je ne suis pas totalement garçon manqué, mais quand tu fais un métier d'homme t'as pas vraiment le choix que de montrer que tu n'es pas une fille fragile qui pleure pour un rien. Je peux être douce, du moins, je le suis avec mes amis et ma famille. C'est vrai, je suis une fille sympa et câline, quand je suis entouré des personnes que j'aime, on va dire que je joue un peu un double rôle, il y a la Hela du boulot et l'autre, celle que je suis le reste du temps. Je l'avoue, je suis une petite sensible, je peux facilement être touché par des actes et des paroles, qu'ils soient bons ou mauvais. Je fais face aux critiques, mais je fais en sorte de montrer que cela ne m'atteint pas. Par la suite, je me défoule comme je peux pour faire sortir ma colère, je cours, boxe et puis, je peins. Oui, je pose en noir et blanc mon problème, avant de l'écraser ou de le faire bruler, ça dépend du niveau de ma colère. Je ne suis pas du genre à divulguer ma vie privée, à vrai dire, je n'en dis pas beaucoup sur ma personne, préférant parler d'un autre sujet que moi. Les gens savent de moi ce que je veux qu'ils connaissent, c'est-à-dire le strict minimum, mais jamais plus. On me blesse une fois, mais pas deux. Avec moi pas de seconde chance, car je suis très méfiante et c'est dur pour moi d'accorder à nouveau ma confiance à quelqu'un qui m'a montré qu'il ne la mérite pas. Je suis assez charmante, du moins quand je n'ouvre pas ma bouche. En dessin, je suis assez douée, enfin, c'est l'avis global de mon entourage, je dirais juste que...je me défends bien. La peinture, c'est mon truc, ma passion, la chose qui m'a beaucoup aider à avancer dans la vie. Les hommes, c'est un grand point d'interrogation pour moi, un puzzle de 1485 pièces. Et je sais que, cela est partiellement ma faute, mais quand il est question de l'amour, j'ai peur.  ஓ Groupe : Between the line ஓ Célébrité : Holland Roden. ஓ Crédit : Tumblr & Aurohook.

ஓ J'ai toujours la manie de me mordre la lèvre, c’est instinctif et ça arrive surtout quand je suis nerveuse, inspirée ou stressée. ஓ Quand j'essaie de comprendre quelque chose ou quelqu'un, j'ai le tic de toujours pencher la tête sur le côté et d’arquer un sourcil. ஓ C’est facile de savoir quand je mens, j’ai la mauvaise manie de mettre mes cheveux derrière les oreilles. ஓ Quand je suis sur le point de peter un câble, je cligne plusieurs fois des yeux avant  de faire craquer mes doigts, si vous me voyez faire ça, courrez. ஓ J’ai ce foutu toc des télécommandes, il faut qu’elles soient classées dans un ordre croissant sur ma table basse, sinon ça ne va pas. ஓ Je prends toujours mes douches en musique et bien entendu, je chante en même temps. ஓ Depuis "l'accident", je ne peux plus voir en peinture le champagne, rien que de voir un verre, ça me rend nauséeuse ஓ Il m'est impossible de rester calme devant un film thriller ou horreur. Voir une personne mourir à la télé, ça me ramène à cette fameuse nuit. ஓ J'enroule toujours une mèche de cheveux autour de mon doigt, quand je suis dans mes pensées

Quel est votre plus gros mensonge/secret?

Chapter three
Quand tu crois que les mauvaises choses n'arrivent qu'à ton voisin.
« Tu crois que je ne t'ai pas vu ?! » Le timbre de sa voix, c'est ça qui m'a réveillé en premier, pas le bruit des objets qui s'écrasaient au sol, mais sa voix. Elle hurlait après Derek, comme elle avait l'habitude de faire avec papa, quand elle faisait une crise. Je restais sans bouger dans mon lit, même si cette chambre dans laquelle je dormais n'avait rien de familier. C'était la pièce dans laquelle je dormais, quand je venais rendre visite à ma mère, rien d'autre. « Si tu oses la toucher avec tes salles pattes, je te jure que...que... » Et ça continue, comme si cela ne faisait que de commencer. J'étais assez contente que cela ne soit pas l'amour fou entre ma mère et son nouveau boyfriend. Derek était tout ce que mon père n'était pas et c'était pour cela que je le détestais. Curieuse, je sortais de mon lit et marchais pieds nus jusqu'à la porte entre ouverte. De là, je pouvais les entendre, mais ce n'était pas assez, je voulais vraiment voir ce qu'il se passait en bas. Comprendre pourquoi ma mère se mettait dans cet état.

Doucement, je sortis de ma chambre, marchant a pas de loup jusqu'à l'escalier. Je faisais en sorte de ne pas me faire entendre, même si les lattes en bois du sol grinçaient sous mon poids. « Qu'est-ce que tu comptes faire hein ?! » Il était menaçant et en plus de cela, ivre. Je continuais de faire mon chemin, me guidant par leur voix pour tracer ma voie. Je connaissais à peine cette maison et je n'avais aucune envie de m'y perdre en pleine nuit. A peine quelques minutes plus tard, je me retrouvais enfin devant la porte derrière laquelle, ils se trouvaient. Je m'accroupis, regardant par le trou de la serrure pour voir ce qu'il se passait. De l'autre côté, Derek buvait son énième verre de champagne tout, alors que ma mère le fusillait du regard, comme une folle furieuse. « Je te tuerais, si tu la touches, je te fais la peau. » Il n'a pas aimé ses paroles, encore moins son visage crispé par la colère, il s'était brusquement levé de son fauteuil et d'un seul geste frappa ma mère en plein visage, le coup fut si fort, qu'elle tomba au sol. Un cri sourd s'échappa d'entre mes lèvres et je me dépêchais d'y porter ma main, choquée. Je restais là sans bouger, alors que Derek tournait autour de ma mère comme un requin étudiant sa proie avant de n'en faire qu'une seule bouchée. A moitié furieux, à moitié soul, il posa son verre sur son bureau et s'approcha de ma mère, l'attrapant par les cheveux pour la tirer près de lui. « Tu ne feras rien tout comme tu ne quitteras pas cette maison, pour la simple et bonne raison que tu n'as plus rien qui t'attend dehors, rien. » Je n'avais pas compris ce que ma mère lui rétorqua par la suite, bien trop choqué parce qu'il se passait dans le bureau de Derek. Et la suite, arriva si rapidement, que je ne me souvenais pas comment, j'avais fait pour entrer dans l'office, attraper la bouteille de champagne et frapper le petit ami de ma mère avec. C'était comme si j'étais passé en pilote automatique alors que Derek battait ma mère encore et encore.

La bouteille ne se brisa même pas quand elle atterrit sur le crâne de cet homme qui semblait apprécier violenter les femmes. « Hel' non ! » Derek s'effondra, sa tête cognant contre le coin du bureau avant que son corps s'étale sur le sol. « Oh mon dieu, mais qu'est-ce que tu as fait ?! » Je venais de lui sauver la vie et au lieu que ma mère me prenne dans ses bras, elle se précipita sur Derek, secouant énergiquement son épaule pour le réveiller. A peine l'avait-elle retourné, que le sang coulait le long de sa tempe. « Qu'est-ce que tu as fait ? Mais qu'est-ce que tu as fait ? » Et elle continuait de répéter cette phrase, comme si elle m'était la faute sur moi. Son regard se posa sur moi et pour la première fois, je la vis mortifier à mon égard. Sa main tremblante vint se poser sur son cou. Une seconde, une deuxième, une troisième... « Tu...tu l'as tué.. » A cette phrase, je lâchais ma prise, laissant la bouteille de champagne tombé au sol.

Ce soir-là, je venais de tuer un homme.

La première chose que ma mère fit, fut d'appeler mon père. Il n'était plus ensemble depuis des années et pourtant, en cas de problème, il était toujours le premier sur sa liste. A ce moment-là, tout devint flou et lent. Je me souviens seulement du regard inquiet de mon père, de son étreinte pour me rassurer et de quelques bribes de conversation. « Elle a dix-huit ans, Lizzie, tu sais très bien qu'elle risque la prison. » Prison ? Je venais de sauver la vie de ma mère et j'allais faire de la prison pour ça ? Non, non, c'était de la défense, pas de l'attaque. « Attend que l'on soit parti. Dis à la police que c'était de la légitime défense, il était soul, vous vous êtes disputé, il t'a attaqué et toi...tu t'es défendu. Où est la bouteille ?» Le trajet jusqu'à la maison se fit en silence, mon père semblait être tiraillé entre le remords et la colère. « Il ne sait rien passer Hel', tu m'entends ? Tu n'es jamais allé chez ta mère, tu étais à la maison avec moi. Hel', tu m'entends ?! » Je sursautais dans mon siège et hochais de la tête plusieurs fois.

Ma mère s'en était tiré pour légitime défense, il y avait assez de preuves pour confirmer ses dires même si, la moitié était un tissu de mensonges. Depuis la fin de l'affaire, nous n'avons plus jamais parlé de cette histoire. Mais celle-ci hante mes nuits et je me revois encore espionnant par le trou de la serrure avant de frapper Derek à coup de bouteille de champagne.

wild bird ஓ âge : 26 ansஓ pays : france ஓ fréquence de connexion : 4/7ஓ où avez vous connu le forum ? : sur bazzart, en postant une recherche de forumஓ un dernier mot : C'est tout beau, ici!        Code: <span class="pris">HOLLAND RODEN</span> ▻ « hela j. sullivan »

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Hela Justice Sullivan
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ஓ Nom : Sullivan. ஓ Prénom : Hela, Justice. ஓ Âge : 26 ans. ஓ date et lieu de naissance : Le 18 Juillet 1987 ஓ Métier : peintre en batiment ஓ Orientation sexuelle : Hétéro ஓ Statut matrimonial : Célibataire. ஓ Caractère : Tu ne me cherches pas, ne fais pas ton grand avec moi, je suis fille de flic, mec, des coups, je sais en donner et des très bien placés. Je suis une débrouillarde et même quand j'ai besoin d'aide, je fais la grande. Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être pour prouver quelque chose ou tout simplement parce que j'ai été élevé par mon père et qu'il m'a appris à être autonome. Je suis une casse bonbon, une grande bornée qui ne veut jamais avoir tort et qui fera tout pour prouver que c'est le cas. Je fais tout pour arriver à mes fins, parce qu'on ne peut pas avoir tout sans rien. Faut être un battant dans la vie pour avoir ce que l'on mérite. Je ne suis pas totalement garçon manqué, mais quand tu fais un métier d'homme t'as pas vraiment le choix que de montrer que tu n'es pas une fille fragile qui pleure pour un rien. Je peux être douce, du moins, je le suis avec mes amis et ma famille. C'est vrai, je suis une fille sympa et câline, quand je suis entouré des personnes que j'aime, on va dire que je joue un peu un double rôle, il y a la Hela du boulot et l'autre, celle que je suis le reste du temps. Je l'avoue, je suis une petite sensible, je peux facilement être touché par des actes et des paroles, qu'ils soient bons ou mauvais. Je fais face aux critiques, mais je fais en sorte de montrer que cela ne m'atteint pas. Par la suite, je me défoule comme je peux pour faire sortir ma colère, je cours, boxe et puis, je peins. Oui, je pose en noir et blanc mon problème, avant de l'écraser ou de le faire bruler, ça dépend du niveau de ma colère. Je ne suis pas du genre à divulguer ma vie privée, à vrai dire, je n'en dis pas beaucoup sur ma personne, préférant parler d'un autre sujet que moi. Les gens savent de moi ce que je veux qu'ils connaissent, c'est-à-dire le strict minimum, mais jamais plus. On me blesse une fois, mais pas deux. Avec moi pas de seconde chance, car je suis très méfiante et c'est dur pour moi d'accorder à nouveau ma confiance à quelqu'un qui m'a montré qu'il ne la mérite pas. Je suis assez charmante, du moins quand je n'ouvre pas ma bouche. En dessin, je suis assez douée, enfin, c'est l'avis global de mon entourage, je dirais juste que...je me défends bien. La peinture, c'est mon truc, ma passion, la chose qui m'a beaucoup aider à avancer dans la vie. Les hommes, c'est un grand point d'interrogation pour moi, un puzzle de 1485 pièces. Et je sais que, cela est partiellement ma faute, mais quand il est question de l'amour, j'ai peur.  ஓ Groupe : Between the line ஓ Célébrité : Holland Roden. ஓ Crédit : Tumblr & Aurohook.

ஓ J'ai toujours la manie de me mordre la lèvre, c’est instinctif et ça arrive surtout quand je suis nerveuse, inspirée ou stressée. ஓ Quand j'essaie de comprendre quelque chose ou quelqu'un, j'ai le tic de toujours pencher la tête sur le côté et d’arquer un sourcil. ஓ C’est facile de savoir quand je mens, j’ai la mauvaise manie de mettre mes cheveux derrière les oreilles. ஓ Quand je suis sur le point de peter un câble, je cligne plusieurs fois des yeux avant  de faire craquer mes doigts, si vous me voyez faire ça, courrez. ஓ J’ai ce foutu toc des télécommandes, il faut qu’elles soient classées dans un ordre croissant sur ma table basse, sinon ça ne va pas. ஓ Je prends toujours mes douches en musique et bien entendu, je chante en même temps. ஓ Depuis "l'accident", je ne peux plus voir en peinture le champagne, rien que de voir un verre, ça me rend nauséeuse ஓ Il m'est impossible de rester calme devant un film thriller ou horreur. Voir une personne mourir à la télé, ça me ramène à cette fameuse nuit. ஓ J'enroule toujours une mèche de cheveux autour de mon doigt, quand je suis dans mes pensées

Quel est votre plus gros mensonge/secret?

Chapter three
Quand tu crois que les mauvaises choses n'arrivent qu'à ton voisin.
« Tu crois que je ne t'ai pas vu ?! » Le timbre de sa voix, c'est ça qui m'a réveillé en premier, pas le bruit des objets qui s'écrasaient au sol, mais sa voix. Elle hurlait après Derek, comme elle avait l'habitude de faire avec papa, quand elle faisait une crise. Je restais sans bouger dans mon lit, même si cette chambre dans laquelle je dormais n'avait rien de familier. C'était la pièce dans laquelle je dormais, quand je venais rendre visite à ma mère, rien d'autre. « Si tu oses la toucher avec tes salles pattes, je te jure que...que... » Et ça continue, comme si cela ne faisait que de commencer. J'étais assez contente que cela ne soit pas l'amour fou entre ma mère et son nouveau boyfriend. Derek était tout ce que mon père n'était pas et c'était pour cela que je le détestais. Curieuse, je sortais de mon lit et marchais pieds nus jusqu'à la porte entre ouverte. De là, je pouvais les entendre, mais ce n'était pas assez, je voulais vraiment voir ce qu'il se passait en bas. Comprendre pourquoi ma mère se mettait dans cet état.

Doucement, je sortis de ma chambre, marchant a pas de loup jusqu'à l'escalier. Je faisais en sorte de ne pas me faire entendre, même si les lattes en bois du sol grinçaient sous mon poids. « Qu'est-ce que tu comptes faire hein ?! » Il était menaçant et en plus de cela, ivre. Je continuais de faire mon chemin, me guidant par leur voix pour tracer ma voie. Je connaissais à peine cette maison et je n'avais aucune envie de m'y perdre en pleine nuit. A peine quelques minutes plus tard, je me retrouvais enfin devant la porte derrière laquelle, ils se trouvaient. Je m'accroupis, regardant par le trou de la serrure pour voir ce qu'il se passait. De l'autre côté, Derek buvait son énième verre de champagne tout, alors que ma mère le fusillait du regard, comme une folle furieuse. « Je te tuerais, si tu la touches, je te fais la peau. » Il n'a pas aimé ses paroles, encore moins son visage crispé par la colère, il s'était brusquement levé de son fauteuil et d'un seul geste frappa ma mère en plein visage, le coup fut si fort, qu'elle tomba au sol. Un cri sourd s'échappa d'entre mes lèvres et je me dépêchais d'y porter ma main, choquée. Je restais là sans bouger, alors que Derek tournait autour de ma mère comme un requin étudiant sa proie avant de n'en faire qu'une seule bouchée. A moitié furieux, à moitié soul, il posa son verre sur son bureau et s'approcha de ma mère, l'attrapant par les cheveux pour la tirer près de lui. « Tu ne feras rien tout comme tu ne quitteras pas cette maison, pour la simple et bonne raison que tu n'as plus rien qui t'attend dehors, rien. » Je n'avais pas compris ce que ma mère lui rétorqua par la suite, bien trop choqué parce qu'il se passait dans le bureau de Derek. Et la suite, arriva si rapidement, que je ne me souvenais pas comment, j'avais fait pour entrer dans l'office, attraper la bouteille de champagne et frapper le petit ami de ma mère avec. C'était comme si j'étais passé en pilote automatique alors que Derek battait ma mère encore et encore.

La bouteille ne se brisa même pas quand elle atterrit sur le crâne de cet homme qui semblait apprécier violenter les femmes. « Hel' non ! » Derek s'effondra, sa tête cognant contre le coin du bureau avant que son corps s'étale sur le sol. « Oh mon dieu, mais qu'est-ce que tu as fait ?! » Je venais de lui sauver la vie et au lieu que ma mère me prenne dans ses bras, elle se précipita sur Derek, secouant énergiquement son épaule pour le réveiller. A peine l'avait-elle retourné, que le sang coulait le long de sa tempe. « Qu'est-ce que tu as fait ? Mais qu'est-ce que tu as fait ? » Et elle continuait de répéter cette phrase, comme si elle m'était la faute sur moi. Son regard se posa sur moi et pour la première fois, je la vis mortifier à mon égard. Sa main tremblante vint se poser sur son cou. Une seconde, une deuxième, une troisième... « Tu...tu l'as tué.. » A cette phrase, je lâchais ma prise, laissant la bouteille de champagne tombé au sol.

Ce soir-là, je venais de tuer un homme.

La première chose que ma mère fit, fut d'appeler mon père. Il n'était plus ensemble depuis des années et pourtant, en cas de problème, il était toujours le premier sur sa liste. A ce moment-là, tout devint flou et lent. Je me souviens seulement du regard inquiet de mon père, de son étreinte pour me rassurer et de quelques bribes de conversation. « Elle a dix-huit ans, Lizzie, tu sais très bien qu'elle risque la prison. » Prison ? Je venais de sauver la vie de ma mère et j'allais faire de la prison pour ça ? Non, non, c'était de la défense, pas de l'attaque. « Attend que l'on soit parti. Dis à la police que c'était de la légitime défense, il était soul, vous vous êtes disputé, il t'a attaqué et toi...tu t'es défendu. Où est la bouteille ?» Le trajet jusqu'à la maison se fit en silence, mon père semblait être tiraillé entre le remords et la colère. « Il ne sait rien passer Hel', tu m'entends ? Tu n'es jamais allé chez ta mère, tu étais à la maison avec moi. Hel', tu m'entends ?! » Je sursautais dans mon siège et hochais de la tête plusieurs fois.

Ma mère s'en était tiré pour légitime défense, il y avait assez de preuves pour confirmer ses dires même si, la moitié était un tissu de mensonges. Depuis la fin de l'affaire, nous n'avons plus jamais parlé de cette histoire. Mais celle-ci hante mes nuits et je me revois encore espionnant par le trou de la serrure avant de frapper Derek à coup de bouteille de champagne.

wild bird ஓ âge : 26 ansஓ pays : france ஓ fréquence de connexion : 4/7ஓ où avez vous connu le forum ? : sur bazzart, en postant une recherche de forumஓ un dernier mot : C'est tout beau, ici!        Code: <span class="pris">HOLLAND RODEN</span> ▻ « hela j. sullivan »

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Hela Justice Sullivan
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ஓ Nom : Sullivan. ஓ Prénom : Hela, Justice. ஓ Âge : 26 ans. ஓ date et lieu de naissance : Le 18 Juillet 1987 ஓ Métier : peintre en batiment ஓ Orientation sexuelle : Hétéro ஓ Statut matrimonial : Célibataire. ஓ Caractère : Tu ne me cherches pas, ne fais pas ton grand avec moi, je suis fille de flic, mec, des coups, je sais en donner et des très bien placés. Je suis une débrouillarde et même quand j'ai besoin d'aide, je fais la grande. Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être pour prouver quelque chose ou tout simplement parce que j'ai été élevé par mon père et qu'il m'a appris à être autonome. Je suis une casse bonbon, une grande bornée qui ne veut jamais avoir tort et qui fera tout pour prouver que c'est le cas. Je fais tout pour arriver à mes fins, parce qu'on ne peut pas avoir tout sans rien. Faut être un battant dans la vie pour avoir ce que l'on mérite. Je ne suis pas totalement garçon manqué, mais quand tu fais un métier d'homme t'as pas vraiment le choix que de montrer que tu n'es pas une fille fragile qui pleure pour un rien. Je peux être douce, du moins, je le suis avec mes amis et ma famille. C'est vrai, je suis une fille sympa et câline, quand je suis entouré des personnes que j'aime, on va dire que je joue un peu un double rôle, il y a la Hela du boulot et l'autre, celle que je suis le reste du temps. Je l'avoue, je suis une petite sensible, je peux facilement être touché par des actes et des paroles, qu'ils soient bons ou mauvais. Je fais face aux critiques, mais je fais en sorte de montrer que cela ne m'atteint pas. Par la suite, je me défoule comme je peux pour faire sortir ma colère, je cours, boxe et puis, je peins. Oui, je pose en noir et blanc mon problème, avant de l'écraser ou de le faire bruler, ça dépend du niveau de ma colère. Je ne suis pas du genre à divulguer ma vie privée, à vrai dire, je n'en dis pas beaucoup sur ma personne, préférant parler d'un autre sujet que moi. Les gens savent de moi ce que je veux qu'ils connaissent, c'est-à-dire le strict minimum, mais jamais plus. On me blesse une fois, mais pas deux. Avec moi pas de seconde chance, car je suis très méfiante et c'est dur pour moi d'accorder à nouveau ma confiance à quelqu'un qui m'a montré qu'il ne la mérite pas. Je suis assez charmante, du moins quand je n'ouvre pas ma bouche. En dessin, je suis assez douée, enfin, c'est l'avis global de mon entourage, je dirais juste que...je me défends bien. La peinture, c'est mon truc, ma passion, la chose qui m'a beaucoup aider à avancer dans la vie. Les hommes, c'est un grand point d'interrogation pour moi, un puzzle de 1485 pièces. Et je sais que, cela est partiellement ma faute, mais quand il est question de l'amour, j'ai peur.  ஓ Groupe : Between the line ஓ Célébrité : Holland Roden. ஓ Crédit : Tumblr & Aurohook.

ஓ J'ai toujours la manie de me mordre la lèvre, c’est instinctif et ça arrive surtout quand je suis nerveuse, inspirée ou stressée. ஓ Quand j'essaie de comprendre quelque chose ou quelqu'un, j'ai le tic de toujours pencher la tête sur le côté et d’arquer un sourcil. ஓ C’est facile de savoir quand je mens, j’ai la mauvaise manie de mettre mes cheveux derrière les oreilles. ஓ Quand je suis sur le point de peter un câble, je cligne plusieurs fois des yeux avant  de faire craquer mes doigts, si vous me voyez faire ça, courrez. ஓ J’ai ce foutu toc des télécommandes, il faut qu’elles soient classées dans un ordre croissant sur ma table basse, sinon ça ne va pas. ஓ Je prends toujours mes douches en musique et bien entendu, je chante en même temps. ஓ Depuis "l'accident", je ne peux plus voir en peinture le champagne, rien que de voir un verre, ça me rend nauséeuse ஓ Il m'est impossible de rester calme devant un film thriller ou horreur. Voir une personne mourir à la télé, ça me ramène à cette fameuse nuit. ஓ J'enroule toujours une mèche de cheveux autour de mon doigt, quand je suis dans mes pensées

Quel est votre plus gros mensonge/secret?

Chapter three
Quand tu crois que les mauvaises choses n'arrivent qu'à ton voisin.
« Tu crois que je ne t'ai pas vu ?! » Le timbre de sa voix, c'est ça qui m'a réveillé en premier, pas le bruit des objets qui s'écrasaient au sol, mais sa voix. Elle hurlait après Derek, comme elle avait l'habitude de faire avec papa, quand elle faisait une crise. Je restais sans bouger dans mon lit, même si cette chambre dans laquelle je dormais n'avait rien de familier. C'était la pièce dans laquelle je dormais, quand je venais rendre visite à ma mère, rien d'autre. « Si tu oses la toucher avec tes salles pattes, je te jure que...que... » Et ça continue, comme si cela ne faisait que de commencer. J'étais assez contente que cela ne soit pas l'amour fou entre ma mère et son nouveau boyfriend. Derek était tout ce que mon père n'était pas et c'était pour cela que je le détestais. Curieuse, je sortais de mon lit et marchais pieds nus jusqu'à la porte entre ouverte. De là, je pouvais les entendre, mais ce n'était pas assez, je voulais vraiment voir ce qu'il se passait en bas. Comprendre pourquoi ma mère se mettait dans cet état.

Doucement, je sortis de ma chambre, marchant a pas de loup jusqu'à l'escalier. Je faisais en sorte de ne pas me faire entendre, même si les lattes en bois du sol grinçaient sous mon poids. « Qu'est-ce que tu comptes faire hein ?! » Il était menaçant et en plus de cela, ivre. Je continuais de faire mon chemin, me guidant par leur voix pour tracer ma voie. Je connaissais à peine cette maison et je n'avais aucune envie de m'y perdre en pleine nuit. A peine quelques minutes plus tard, je me retrouvais enfin devant la porte derrière laquelle, ils se trouvaient. Je m'accroupis, regardant par le trou de la serrure pour voir ce qu'il se passait. De l'autre côté, Derek buvait son énième verre de champagne tout, alors que ma mère le fusillait du regard, comme une folle furieuse. « Je te tuerais, si tu la touches, je te fais la peau. » Il n'a pas aimé ses paroles, encore moins son visage crispé par la colère, il s'était brusquement levé de son fauteuil et d'un seul geste frappa ma mère en plein visage, le coup fut si fort, qu'elle tomba au sol. Un cri sourd s'échappa d'entre mes lèvres et je me dépêchais d'y porter ma main, choquée. Je restais là sans bouger, alors que Derek tournait autour de ma mère comme un requin étudiant sa proie avant de n'en faire qu'une seule bouchée. A moitié furieux, à moitié soul, il posa son verre sur son bureau et s'approcha de ma mère, l'attrapant par les cheveux pour la tirer près de lui. « Tu ne feras rien tout comme tu ne quitteras pas cette maison, pour la simple et bonne raison que tu n'as plus rien qui t'attend dehors, rien. » Je n'avais pas compris ce que ma mère lui rétorqua par la suite, bien trop choqué parce qu'il se passait dans le bureau de Derek. Et la suite, arriva si rapidement, que je ne me souvenais pas comment, j'avais fait pour entrer dans l'office, attraper la bouteille de champagne et frapper le petit ami de ma mère avec. C'était comme si j'étais passé en pilote automatique alors que Derek battait ma mère encore et encore.

La bouteille ne se brisa même pas quand elle atterrit sur le crâne de cet homme qui semblait apprécier violenter les femmes. « Hel' non ! » Derek s'effondra, sa tête cognant contre le coin du bureau avant que son corps s'étale sur le sol. « Oh mon dieu, mais qu'est-ce que tu as fait ?! » Je venais de lui sauver la vie et au lieu que ma mère me prenne dans ses bras, elle se précipita sur Derek, secouant énergiquement son épaule pour le réveiller. A peine l'avait-elle retourné, que le sang coulait le long de sa tempe. « Qu'est-ce que tu as fait ? Mais qu'est-ce que tu as fait ? » Et elle continuait de répéter cette phrase, comme si elle m'était la faute sur moi. Son regard se posa sur moi et pour la première fois, je la vis mortifier à mon égard. Sa main tremblante vint se poser sur son cou. Une seconde, une deuxième, une troisième... « Tu...tu l'as tué.. » A cette phrase, je lâchais ma prise, laissant la bouteille de champagne tombé au sol.

Ce soir-là, je venais de tuer un homme.

La première chose que ma mère fit, fut d'appeler mon père. Il n'était plus ensemble depuis des années et pourtant, en cas de problème, il était toujours le premier sur sa liste. A ce moment-là, tout devint flou et lent. Je me souviens seulement du regard inquiet de mon père, de son étreinte pour me rassurer et de quelques bribes de conversation. « Elle a dix-huit ans, Lizzie, tu sais très bien qu'elle risque la prison. » Prison ? Je venais de sauver la vie de ma mère et j'allais faire de la prison pour ça ? Non, non, c'était de la défense, pas de l'attaque. « Attend que l'on soit parti. Dis à la police que c'était de la légitime défense, il était soul, vous vous êtes disputé, il t'a attaqué et toi...tu t'es défendu. Où est la bouteille ?» Le trajet jusqu'à la maison se fit en silence, mon père semblait être tiraillé entre le remords et la colère. « Il ne sait rien passer Hel', tu m'entends ? Tu n'es jamais allé chez ta mère, tu étais à la maison avec moi. Hel', tu m'entends ?! » Je sursautais dans mon siège et hochais de la tête plusieurs fois.

Ma mère s'en était tiré pour légitime défense, il y avait assez de preuves pour confirmer ses dires même si, la moitié était un tissu de mensonges. Depuis la fin de l'affaire, nous n'avons plus jamais parlé de cette histoire. Mais celle-ci hante mes nuits et je me revois encore espionnant par le trou de la serrure avant de frapper Derek à coup de bouteille de champagne.

wild bird ஓ âge : 26 ansஓ pays : france ஓ fréquence de connexion : 4/7ஓ où avez vous connu le forum ? : sur bazzart, en postant une recherche de forumஓ un dernier mot : C'est tout beau, ici!        Code: <span class="pris">HOLLAND RODEN</span> ▻ « hela j. sullivan »

[nouveau venu]

story of my life
i like the way it's hurts

Chapter one
Quand tu penses que tu as une famille tout à fait normal...repenses y encore.
La plupart pensent avoir une vie normale, mais la normalité n'est qu'une ligne imaginaire tracée sur notre chemin. On pense qu'on marche dessus, on fait tout pour rester dessus, mais à un moment donné, on se rend compte que ce trait n'existe pas et qu'il n'a jamais été existant. Tout le monde l'apprend un jour à ses dépens. Ça nous tombe dessus du jour au lendemain et le plus souvent, quand on ne s'y attend pas. Petite, je croyais que ma famille n'avait rien de très spéciale, mais que cela en faisait un bon endroit ou vivre et grandir. Certes, ma mère –Elizabeth, mais qui préférait qu'on l'appelle Lizzie, n'était pas comme les mamans des autres enfants, bien au contraire. Elle avait toujours été un petit peu... beaucoup folle, bon pas dans le sens propre du terme, quoi que... C'est juste que ma chère maman était une femme bien trop pleine de vie, un peu trop naïve et en qui, il ne fallait pas en demander de trop. Elle était comme une ado coincée dans le corps d'une adulte. Au début, cela me faisait rire, au début...

« Où elle est, maman ? » Demandais-je à mon père en rentrant de l'école. Je venais d'avoir un A en dessin et je voulais à tout prix lui montrer mon petit chef-d'oeuvre. Je me souviens encore du regard que m'avait lancé mon père, il était plein d'incompréhension et de tristesse. Lui et ma mère, c'était le yin et le yang, le feu et la glace. Il avait les pieds sur terre et elle...elle volait dans des petits nuages. « Papa ? Est-ce que ça va ? » Ajoutais-je, tout en le regardant s'asseoir sur l'une des chaises de la cuisine. Les sourcils froncés, je m'approchais doucement de la table, posais mon dessin sur la surface avant d'attraper la lettre qui avait bouleversé mon père. « J'en peux plus, pr-prend soin de Hela. » Lisais-je à haute voix. J'avais bien remarqué que c'était l'écriture de ma mère, mais à sept ans, je ne savais pas vraiment ce que cela signifiait. « Ça veut dire quoi ça, papa ? » Demandais-je, tout en reposant le papier là où je l'avais trouvé. Mon regard se tourna à nouveau sur mon père, qui portait encore son uniforme de lieutenant de police. « Ça veut dire que c'est toi et moi, à partir de maintenant, Helie. »


Chapter two
Quand t'es bien la fille de ton père,mais pas dans le sens que tout le monde connait
Je ne vais pas mentir, ça craignait vraiment de nous retrouver sans Lizzie, du moins au début. Mon père a fait, ce qu'il a pu, engageant une nounou pour s'occuper de moi pendant qu'il travaillait. Il essayait de rentrer assez tôt à la maison, histoire d'être là avant de me coucher. J'étais la seule chose qui lui restait et cela, je l'avais bien compris. Au début, j'étais plus proche de ma mère que de mon paternel, mais cela a bien entendu complètement changer au fil des années. Je suis devenue la fille de mon père, bien que je devenais chaque jour un peu plus garçon manqué. Je l'aidais comme je le pouvais, l'aidant dans ses travaux manuels à la maison. A l'âge de dix ans, je savais déjà comment utiliser une visseuse électrique et planter des clous d'un seul coup. Il m'avait appris à être autonome, m'enseignant tout ce qu'il savait. Je restais tout de même féminine, même si cela était assez dur, quand votre père ne sait pas quels vêtements vous acheter. On était bien lui et moi, notre duo était parfait, nous nous étions fait à notre nouvelle vie de famille, mais rien ne reste sans changer.

« Helie, ça sonne ! » S'exclama mon père depuis la cuisine, cela faisait maintenant deux heures qu'il essayait de régler le problème de fuite. « Je m'en occupe ! » Je sortis ma tête de mes cours et descendis les escaliers, glissant ma main le long de la rambarde pour garder mon équilibre alors que je dévalais les escaliers en quatrième vitesse. Et un second coup de sonnette, je m'empressais d'arriver jusqu'à la porte, lançant un « Ca vient, ça vient ! Une seconde. » Si je pouvais revenir en arrière alors, je n'aurais jamais ouvert cette porte, jamais. Je tirais la porte, dévoilant à ma plus grande surprise ma très chère mère. Je n'eus pas le temps d'ouvrir ma bouche, qu'elle sauta sur moi, m'enlaçant fermement contre elle, tout en me disant à quel point, je lui avais manqué. J'étais figée sur place, mes bras le long de mon corps, me demandant si je rêvais. « Tu as tellement grandi ! Regarde-toi, tu es magnifique. Enfin, tu le serais encore plus dans une jolie robe et non pas dans cette salopette. Mais on va arranger ça, on va arranger ça.» Elle continuait de parler, encore et encore alors que moi, je la regardais éberluée. La boule dans ma gorge se dissolvait assez pour me laisser parler. « Papa ! » Pas de gentils mots pour ma mère, non, juste un appel au secours. Lizzie me serra à nouveau contre elle, pour une fois, elle s'était arrêtée de parler, me laissant enfin en placer une. « Six ans, maman. Six ans » Elle savait très bien de quoi je parlais, ce chiffre était le nombre d'année que cette femme s'était évaporé avec son amant. Elle ne dit rien au début, prétextant essuyer une tâche sur ma joue avec un mouchoir en tissu. « Je sais Hel', je sais. Mais je suis là maintenant, je suis là. » Et c'était ça le problème, sa présence. « PAPA ! »


Bien entendu, mon père fut lui aussi choqué de la voir ici. Peut-être même bien plus que moi. J'étais fière de lui quand il préféra rester dehors au lieu de la faire entrer à l'intérieur, ce n'était plus sa maison, elle n'était pas la bienvenue et ça, il voulait lui faire comprendre. Par la suite, mon paternel me demanda l'impossible, passer du temps avec elle, rattraper les années perdues. Sauf que cela, c'était mal me connaitre. Je me poussais quand même à passer des après-midi en sa compagnie, Lizzie me racontait sa vie après s'être enfuit comme une lâche, prétextant qu'elle croyait avoir trouvé le grand amour avec Eric, son assistant au travail. Leur couple n'a pas fait long feu, mais cela n'avait pas empêché ma mère de se trouver d'autres compagnons, surtout des riches divorcés. Voilà pourquoi, elle reprenait contacte, ce n’était pas pour moi, pas pour s’excuser, seulement pour divorcer et avoir la conscience tranquille. A cet instant, la dernière parcelle d’amour qui me restait pour ma mère s’évapora.

Chapter four
Quand t'aimerais revenir en arrière et n'avoir jamais ouvert cette foutue porte.
Je ne savais pas qui, je devais blâmer, moi pour avoir sauvé vie à ma mère ou Lizzie pour être entrée à nouveau dans ma vie et en faire un cauchemar. Dans tous les cas, depuis ce jour-là, j'ai refusé de la revoir, j'ai coupé les ponts et cette fois-ci pour de bon. Ma vie sans elle était très bien et j'allais continuer sur ce chemin-là, juste moi et mon père. Après cette nuit, j'ai passé plus d'un mois enfermée dans ma chambre, ne profitant même pas du soleil chaud de juillet. Je restais dans le noir, peignant ma douleur en noir et blanc, sortant de ma tour de solitude seulement la nuit pour prendre de quoi manger. Mon père respectait mon besoin d'espace, du moins, il a fallu que je lui crie de me laisser tranquille, une dizaine de fois, pour qu'il comprenne. Je dormais aux aurores, bien qu'il m'étais difficile de fermer les yeux pendant plus d'une heure sans rêver de cet instant. Je vivais la plus part du temps la nuit. À la fin, ma chambre était jonchée de papiers et de tableaux déchirés. Et puis mon père en eut assez et pendant que je prenais une douche, il avait récupéré tous mes dessins afin de les mettre au feu dans le jardin.


« Papa, mais qu'est-ce que tu fais ?! » Hurlais-je, tout en sortant par la porte du jardin. Il me lança un regard et continua de mettre mes affaires au feu. « Ce que j'aurais dû faire depuis longtemps. » J'ai essayé de l'arrêter, sortant mes peintures du barbecue, mais bien entendu, mon père m'écarta violemment, évitant ainsi que je me brûle les mains. Je lui criais dessus, répétant encore et encore : « Ce sont mes dessins, tu n'as pas le droit, tu n'as pas le droit ! » Ce jour-là, c'était la première fois que je voyais mon père aussi sérieux et en colère, il garda son sang-froid, pourtant. Ses mains attrapèrent mes épaules, m'obligeant à rester sans bouger. Ses yeux avaient percé les miens, me laissant observer cette colère se transformer en tristesse. « Ça fait plus d'un mois, Hela ! » Cette simple phrase fut suffisante pour commencer à me faire pleurer. « Il faisait du mal à ta mère, tu as seulement voulue la protéger. Ce n'est pas ta faute Hel'. » Je baissais la tête alors que ses mots entraient dans ma tête. Pas ta faute, seulement voulue la protéger. Je portais mes mains à mes joues, cachant mon visage, alors que mes larmes coulaient à flot. Un cri s'échappa d'entre mes lèvres et un autre et encore un autre, des hurlements de colère et de détresse. S'en fut assez pour que mon père me prenne dans ses bras, me serrant tout contre lui, tout en me murmurant à l'oreille qu'il était là pour moi. Je ne sais pas combien de temps s'était écoulée, quand mes larmes s'étaient arrêtées de couler sur mes joues. Je restais calme dans les bras de mon père, l'endroit où je me sentais le plus en sécurité dans le monde. « Il faut que tu reprennes ta vie en main, Helie. Tu commences l'université dans quelques semaines. Ça va t'aider, te changer les idées, tu seras loin d'ici. »

Nous avions terminé cette intervention en brulant le reste des preuves, tout y était passé, même les vêtements que je portais ce soir-là. Trois semaines plus tard, je me retrouvais à Los Angeles dans l'université d'art de la ville, du moins l'une d'entre elles. J'étudiais tout en faisant des petits boulots, afin de payer mes factures à la fin du mois. Refusant l'argent de mon paternel qui me payait déjà mes études. C'est comme ça que je me retrouvais peintre en bâtiment, du moins, j'étais une petite employée, obéissant aux ordres du chef de l'équipe.


Chapter five
Quand tu demandes si un jour karma te récompensera de tes bons actes.
Les années de faculté sont passées tellement vite que je ne les ai pas vu défiler. Études, boulot, dodo. Du fun durant le week-end, bien qu'il me fallût du temps pour m'adapter et reprendre ma vie. Au début, j'étais une vraie solitaire, jusqu'à ce que je tombe sur ma meilleure amie. Je ne sais pas ce qui lui a pris, elle s'était attachée à moi, me donnant le temps nécessaire pour que je sorte de ma coquille. Cela m'a pris des semaines et encore plus de temps pour que j'en arrive à apprécier de passer une soirée entre amis, sans sentir le remord. Par la suite, je suis retournée à Phoenix, retrouvant mon paternel qui essayait tant bien que mal de se faire à sa retraite. Rester sans rien faire de toute la journée, cela le rendait malade, il fallait toujours qu'il soit occupé et il n'y avait rien de mieux que de réparer la maison de A à Z. Bien entendu, je me suis occupé de la peinture, redonnant un coup de jeune à cette demeure dans laquelle, j'avais grandi. Par la suite, j'ai essayé de trouver un job, sauf que quand tu es peintre, y a pas grand-chose comme boulot, à part travailler dans une galerie ou vivre de ses tableaux. Sauf que je n'avais rien d'un Picasso et personne ne semblait vouloir engager une jeune diplômée très motivée. Je me suis donc retrouvée dans la construction une nouvelle fois, devenant peintre en bâtiment pour une entreprise locale de la ville. Bien sûr, il y a fallu que je gagne le respect de mes chers collègues de travail tous masculins, sans aucune exception. Cela m'a pris du temps, mais à force, j'y étais arrivé. J'adorais mon travail et cela, m'avait même mené à m'intéresser à l'architecture et la décoration d'intérieur.

Aujourd'hui, j'ai vingt-six ans, je vis dans un petit appartement avec un chat, je cherche toujours pour son prénom, mais je n'arrive jamais à me fixer définitivement alors pour l'instance, c'est "le chat" ou "kitty". La nuit qui m'a changée à jamais est toujours gravée en moi, elle reste là et je ne l'oublie pas, comment pourrais-je ? Elle hante encore mes nuits, me réveillant en sursaut dans mon lit.

[vos points]

story of my life
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Chapter one
Quand tu penses que tu as une famille tout à fait normal...repenses y encore.
La plupart pensent avoir une vie normale, mais la normalité n'est qu'une ligne imaginaire tracée sur notre chemin. On pense qu'on marche dessus, on fait tout pour rester dessus, mais à un moment donné, on se rend compte que ce trait n'existe pas et qu'il n'a jamais été existant. Tout le monde l'apprend un jour à ses dépens. Ça nous tombe dessus du jour au lendemain et le plus souvent, quand on ne s'y attend pas. Petite, je croyais que ma famille n'avait rien de très spéciale, mais que cela en faisait un bon endroit ou vivre et grandir. Certes, ma mère –Elizabeth, mais qui préférait qu'on l'appelle Lizzie, n'était pas comme les mamans des autres enfants, bien au contraire. Elle avait toujours été un petit peu... beaucoup folle, bon pas dans le sens propre du terme, quoi que... C'est juste que ma chère maman était une femme bien trop pleine de vie, un peu trop naïve et en qui, il ne fallait pas en demander de trop. Elle était comme une ado coincée dans le corps d'une adulte. Au début, cela me faisait rire, au début...

« Où elle est, maman ? » Demandais-je à mon père en rentrant de l'école. Je venais d'avoir un A en dessin et je voulais à tout prix lui montrer mon petit chef-d'oeuvre. Je me souviens encore du regard que m'avait lancé mon père, il était plein d'incompréhension et de tristesse. Lui et ma mère, c'était le yin et le yang, le feu et la glace. Il avait les pieds sur terre et elle...elle volait dans des petits nuages. « Papa ? Est-ce que ça va ? » Ajoutais-je, tout en le regardant s'asseoir sur l'une des chaises de la cuisine. Les sourcils froncés, je m'approchais doucement de la table, posais mon dessin sur la surface avant d'attraper la lettre qui avait bouleversé mon père. « J'en peux plus, pr-prend soin de Hela. » Lisais-je à haute voix. J'avais bien remarqué que c'était l'écriture de ma mère, mais à sept ans, je ne savais pas vraiment ce que cela signifiait. « Ça veut dire quoi ça, papa ? » Demandais-je, tout en reposant le papier là où je l'avais trouvé. Mon regard se tourna à nouveau sur mon père, qui portait encore son uniforme de lieutenant de police. « Ça veut dire que c'est toi et moi, à partir de maintenant, Helie. »


Chapter two
Quand t'es bien la fille de ton père,mais pas dans le sens que tout le monde connait
Je ne vais pas mentir, ça craignait vraiment de nous retrouver sans Lizzie, du moins au début. Mon père a fait, ce qu'il a pu, engageant une nounou pour s'occuper de moi pendant qu'il travaillait. Il essayait de rentrer assez tôt à la maison, histoire d'être là avant de me coucher. J'étais la seule chose qui lui restait et cela, je l'avais bien compris. Au début, j'étais plus proche de ma mère que de mon paternel, mais cela a bien entendu complètement changer au fil des années. Je suis devenue la fille de mon père, bien que je devenais chaque jour un peu plus garçon manqué. Je l'aidais comme je le pouvais, l'aidant dans ses travaux manuels à la maison. A l'âge de dix ans, je savais déjà comment utiliser une visseuse électrique et planter des clous d'un seul coup. Il m'avait appris à être autonome, m'enseignant tout ce qu'il savait. Je restais tout de même féminine, même si cela était assez dur, quand votre père ne sait pas quels vêtements vous acheter. On était bien lui et moi, notre duo était parfait, nous nous étions fait à notre nouvelle vie de famille, mais rien ne reste sans changer.

« Helie, ça sonne ! » S'exclama mon père depuis la cuisine, cela faisait maintenant deux heures qu'il essayait de régler le problème de fuite. « Je m'en occupe ! » Je sortis ma tête de mes cours et descendis les escaliers, glissant ma main le long de la rambarde pour garder mon équilibre alors que je dévalais les escaliers en quatrième vitesse. Et un second coup de sonnette, je m'empressais d'arriver jusqu'à la porte, lançant un « Ca vient, ça vient ! Une seconde. » Si je pouvais revenir en arrière alors, je n'aurais jamais ouvert cette porte, jamais. Je tirais la porte, dévoilant à ma plus grande surprise ma très chère mère. Je n'eus pas le temps d'ouvrir ma bouche, qu'elle sauta sur moi, m'enlaçant fermement contre elle, tout en me disant à quel point, je lui avais manqué. J'étais figée sur place, mes bras le long de mon corps, me demandant si je rêvais. « Tu as tellement grandi ! Regarde-toi, tu es magnifique. Enfin, tu le serais encore plus dans une jolie robe et non pas dans cette salopette. Mais on va arranger ça, on va arranger ça.» Elle continuait de parler, encore et encore alors que moi, je la regardais éberluée. La boule dans ma gorge se dissolvait assez pour me laisser parler. « Papa ! » Pas de gentils mots pour ma mère, non, juste un appel au secours. Lizzie me serra à nouveau contre elle, pour une fois, elle s'était arrêtée de parler, me laissant enfin en placer une. « Six ans, maman. Six ans » Elle savait très bien de quoi je parlais, ce chiffre était le nombre d'année que cette femme s'était évaporé avec son amant. Elle ne dit rien au début, prétextant essuyer une tâche sur ma joue avec un mouchoir en tissu. « Je sais Hel', je sais. Mais je suis là maintenant, je suis là. » Et c'était ça le problème, sa présence. « PAPA ! »


Bien entendu, mon père fut lui aussi choqué de la voir ici. Peut-être même bien plus que moi. J'étais fière de lui quand il préféra rester dehors au lieu de la faire entrer à l'intérieur, ce n'était plus sa maison, elle n'était pas la bienvenue et ça, il voulait lui faire comprendre. Par la suite, mon paternel me demanda l'impossible, passer du temps avec elle, rattraper les années perdues. Sauf que cela, c'était mal me connaitre. Je me poussais quand même à passer des après-midi en sa compagnie, Lizzie me racontait sa vie après s'être enfuit comme une lâche, prétextant qu'elle croyait avoir trouvé le grand amour avec Eric, son assistant au travail. Leur couple n'a pas fait long feu, mais cela n'avait pas empêché ma mère de se trouver d'autres compagnons, surtout des riches divorcés. Voilà pourquoi, elle reprenait contacte, ce n’était pas pour moi, pas pour s’excuser, seulement pour divorcer et avoir la conscience tranquille. A cet instant, la dernière parcelle d’amour qui me restait pour ma mère s’évapora.

Chapter four
Quand t'aimerais revenir en arrière et n'avoir jamais ouvert cette foutue porte.
Je ne savais pas qui, je devais blâmer, moi pour avoir sauvé vie à ma mère ou Lizzie pour être entrée à nouveau dans ma vie et en faire un cauchemar. Dans tous les cas, depuis ce jour-là, j'ai refusé de la revoir, j'ai coupé les ponts et cette fois-ci pour de bon. Ma vie sans elle était très bien et j'allais continuer sur ce chemin-là, juste moi et mon père. Après cette nuit, j'ai passé plus d'un mois enfermée dans ma chambre, ne profitant même pas du soleil chaud de juillet. Je restais dans le noir, peignant ma douleur en noir et blanc, sortant de ma tour de solitude seulement la nuit pour prendre de quoi manger. Mon père respectait mon besoin d'espace, du moins, il a fallu que je lui crie de me laisser tranquille, une dizaine de fois, pour qu'il comprenne. Je dormais aux aurores, bien qu'il m'étais difficile de fermer les yeux pendant plus d'une heure sans rêver de cet instant. Je vivais la plus part du temps la nuit. À la fin, ma chambre était jonchée de papiers et de tableaux déchirés. Et puis mon père en eut assez et pendant que je prenais une douche, il avait récupéré tous mes dessins afin de les mettre au feu dans le jardin.


« Papa, mais qu'est-ce que tu fais ?! » Hurlais-je, tout en sortant par la porte du jardin. Il me lança un regard et continua de mettre mes affaires au feu. « Ce que j'aurais dû faire depuis longtemps. » J'ai essayé de l'arrêter, sortant mes peintures du barbecue, mais bien entendu, mon père m'écarta violemment, évitant ainsi que je me brûle les mains. Je lui criais dessus, répétant encore et encore : « Ce sont mes dessins, tu n'as pas le droit, tu n'as pas le droit ! » Ce jour-là, c'était la première fois que je voyais mon père aussi sérieux et en colère, il garda son sang-froid, pourtant. Ses mains attrapèrent mes épaules, m'obligeant à rester sans bouger. Ses yeux avaient percé les miens, me laissant observer cette colère se transformer en tristesse. « Ça fait plus d'un mois, Hela ! » Cette simple phrase fut suffisante pour commencer à me faire pleurer. « Il faisait du mal à ta mère, tu as seulement voulue la protéger. Ce n'est pas ta faute Hel'. » Je baissais la tête alors que ses mots entraient dans ma tête. Pas ta faute, seulement voulue la protéger. Je portais mes mains à mes joues, cachant mon visage, alors que mes larmes coulaient à flot. Un cri s'échappa d'entre mes lèvres et un autre et encore un autre, des hurlements de colère et de détresse. S'en fut assez pour que mon père me prenne dans ses bras, me serrant tout contre lui, tout en me murmurant à l'oreille qu'il était là pour moi. Je ne sais pas combien de temps s'était écoulée, quand mes larmes s'étaient arrêtées de couler sur mes joues. Je restais calme dans les bras de mon père, l'endroit où je me sentais le plus en sécurité dans le monde. « Il faut que tu reprennes ta vie en main, Helie. Tu commences l'université dans quelques semaines. Ça va t'aider, te changer les idées, tu seras loin d'ici. »

Nous avions terminé cette intervention en brulant le reste des preuves, tout y était passé, même les vêtements que je portais ce soir-là. Trois semaines plus tard, je me retrouvais à Los Angeles dans l'université d'art de la ville, du moins l'une d'entre elles. J'étudiais tout en faisant des petits boulots, afin de payer mes factures à la fin du mois. Refusant l'argent de mon paternel qui me payait déjà mes études. C'est comme ça que je me retrouvais peintre en bâtiment, du moins, j'étais une petite employée, obéissant aux ordres du chef de l'équipe.


Chapter five
Quand tu demandes si un jour karma te récompensera de tes bons actes.
Les années de faculté sont passées tellement vite que je ne les ai pas vu défiler. Études, boulot, dodo. Du fun durant le week-end, bien qu'il me fallût du temps pour m'adapter et reprendre ma vie. Au début, j'étais une vraie solitaire, jusqu'à ce que je tombe sur ma meilleure amie. Je ne sais pas ce qui lui a pris, elle s'était attachée à moi, me donnant le temps nécessaire pour que je sorte de ma coquille. Cela m'a pris des semaines et encore plus de temps pour que j'en arrive à apprécier de passer une soirée entre amis, sans sentir le remord. Par la suite, je suis retournée à Phoenix, retrouvant mon paternel qui essayait tant bien que mal de se faire à sa retraite. Rester sans rien faire de toute la journée, cela le rendait malade, il fallait toujours qu'il soit occupé et il n'y avait rien de mieux que de réparer la maison de A à Z. Bien entendu, je me suis occupé de la peinture, redonnant un coup de jeune à cette demeure dans laquelle, j'avais grandi. Par la suite, j'ai essayé de trouver un job, sauf que quand tu es peintre, y a pas grand-chose comme boulot, à part travailler dans une galerie ou vivre de ses tableaux. Sauf que je n'avais rien d'un Picasso et personne ne semblait vouloir engager une jeune diplômée très motivée. Je me suis donc retrouvée dans la construction une nouvelle fois, devenant peintre en bâtiment pour une entreprise locale de la ville. Bien sûr, il y a fallu que je gagne le respect de mes chers collègues de travail tous masculins, sans aucune exception. Cela m'a pris du temps, mais à force, j'y étais arrivé. J'adorais mon travail et cela, m'avait même mené à m'intéresser à l'architecture et la décoration d'intérieur.

Aujourd'hui, j'ai vingt-six ans, je vis dans un petit appartement avec un chat, je cherche toujours pour son prénom, mais je n'arrive jamais à me fixer définitivement alors pour l'instance, c'est "le chat" ou "kitty". La nuit qui m'a changée à jamais est toujours gravée en moi, elle reste là et je ne l'oublie pas, comment pourrais-je ? Elle hante encore mes nuits, me réveillant en sursaut dans mon lit.

[Messages]

story of my life
i like the way it's hurts

Chapter one
Quand tu penses que tu as une famille tout à fait normal...repenses y encore.
La plupart pensent avoir une vie normale, mais la normalité n'est qu'une ligne imaginaire tracée sur notre chemin. On pense qu'on marche dessus, on fait tout pour rester dessus, mais à un moment donné, on se rend compte que ce trait n'existe pas et qu'il n'a jamais été existant. Tout le monde l'apprend un jour à ses dépens. Ça nous tombe dessus du jour au lendemain et le plus souvent, quand on ne s'y attend pas. Petite, je croyais que ma famille n'avait rien de très spéciale, mais que cela en faisait un bon endroit ou vivre et grandir. Certes, ma mère –Elizabeth, mais qui préférait qu'on l'appelle Lizzie, n'était pas comme les mamans des autres enfants, bien au contraire. Elle avait toujours été un petit peu... beaucoup folle, bon pas dans le sens propre du terme, quoi que... C'est juste que ma chère maman était une femme bien trop pleine de vie, un peu trop naïve et en qui, il ne fallait pas en demander de trop. Elle était comme une ado coincée dans le corps d'une adulte. Au début, cela me faisait rire, au début...

« Où elle est, maman ? » Demandais-je à mon père en rentrant de l'école. Je venais d'avoir un A en dessin et je voulais à tout prix lui montrer mon petit chef-d'oeuvre. Je me souviens encore du regard que m'avait lancé mon père, il était plein d'incompréhension et de tristesse. Lui et ma mère, c'était le yin et le yang, le feu et la glace. Il avait les pieds sur terre et elle...elle volait dans des petits nuages. « Papa ? Est-ce que ça va ? » Ajoutais-je, tout en le regardant s'asseoir sur l'une des chaises de la cuisine. Les sourcils froncés, je m'approchais doucement de la table, posais mon dessin sur la surface avant d'attraper la lettre qui avait bouleversé mon père. « J'en peux plus, pr-prend soin de Hela. » Lisais-je à haute voix. J'avais bien remarqué que c'était l'écriture de ma mère, mais à sept ans, je ne savais pas vraiment ce que cela signifiait. « Ça veut dire quoi ça, papa ? » Demandais-je, tout en reposant le papier là où je l'avais trouvé. Mon regard se tourna à nouveau sur mon père, qui portait encore son uniforme de lieutenant de police. « Ça veut dire que c'est toi et moi, à partir de maintenant, Helie. »


Chapter two
Quand t'es bien la fille de ton père,mais pas dans le sens que tout le monde connait
Je ne vais pas mentir, ça craignait vraiment de nous retrouver sans Lizzie, du moins au début. Mon père a fait, ce qu'il a pu, engageant une nounou pour s'occuper de moi pendant qu'il travaillait. Il essayait de rentrer assez tôt à la maison, histoire d'être là avant de me coucher. J'étais la seule chose qui lui restait et cela, je l'avais bien compris. Au début, j'étais plus proche de ma mère que de mon paternel, mais cela a bien entendu complètement changer au fil des années. Je suis devenue la fille de mon père, bien que je devenais chaque jour un peu plus garçon manqué. Je l'aidais comme je le pouvais, l'aidant dans ses travaux manuels à la maison. A l'âge de dix ans, je savais déjà comment utiliser une visseuse électrique et planter des clous d'un seul coup. Il m'avait appris à être autonome, m'enseignant tout ce qu'il savait. Je restais tout de même féminine, même si cela était assez dur, quand votre père ne sait pas quels vêtements vous acheter. On était bien lui et moi, notre duo était parfait, nous nous étions fait à notre nouvelle vie de famille, mais rien ne reste sans changer.

« Helie, ça sonne ! » S'exclama mon père depuis la cuisine, cela faisait maintenant deux heures qu'il essayait de régler le problème de fuite. « Je m'en occupe ! » Je sortis ma tête de mes cours et descendis les escaliers, glissant ma main le long de la rambarde pour garder mon équilibre alors que je dévalais les escaliers en quatrième vitesse. Et un second coup de sonnette, je m'empressais d'arriver jusqu'à la porte, lançant un « Ca vient, ça vient ! Une seconde. » Si je pouvais revenir en arrière alors, je n'aurais jamais ouvert cette porte, jamais. Je tirais la porte, dévoilant à ma plus grande surprise ma très chère mère. Je n'eus pas le temps d'ouvrir ma bouche, qu'elle sauta sur moi, m'enlaçant fermement contre elle, tout en me disant à quel point, je lui avais manqué. J'étais figée sur place, mes bras le long de mon corps, me demandant si je rêvais. « Tu as tellement grandi ! Regarde-toi, tu es magnifique. Enfin, tu le serais encore plus dans une jolie robe et non pas dans cette salopette. Mais on va arranger ça, on va arranger ça.» Elle continuait de parler, encore et encore alors que moi, je la regardais éberluée. La boule dans ma gorge se dissolvait assez pour me laisser parler. « Papa ! » Pas de gentils mots pour ma mère, non, juste un appel au secours. Lizzie me serra à nouveau contre elle, pour une fois, elle s'était arrêtée de parler, me laissant enfin en placer une. « Six ans, maman. Six ans » Elle savait très bien de quoi je parlais, ce chiffre était le nombre d'année que cette femme s'était évaporé avec son amant. Elle ne dit rien au début, prétextant essuyer une tâche sur ma joue avec un mouchoir en tissu. « Je sais Hel', je sais. Mais je suis là maintenant, je suis là. » Et c'était ça le problème, sa présence. « PAPA ! »


Bien entendu, mon père fut lui aussi choqué de la voir ici. Peut-être même bien plus que moi. J'étais fière de lui quand il préféra rester dehors au lieu de la faire entrer à l'intérieur, ce n'était plus sa maison, elle n'était pas la bienvenue et ça, il voulait lui faire comprendre. Par la suite, mon paternel me demanda l'impossible, passer du temps avec elle, rattraper les années perdues. Sauf que cela, c'était mal me connaitre. Je me poussais quand même à passer des après-midi en sa compagnie, Lizzie me racontait sa vie après s'être enfuit comme une lâche, prétextant qu'elle croyait avoir trouvé le grand amour avec Eric, son assistant au travail. Leur couple n'a pas fait long feu, mais cela n'avait pas empêché ma mère de se trouver d'autres compagnons, surtout des riches divorcés. Voilà pourquoi, elle reprenait contacte, ce n’était pas pour moi, pas pour s’excuser, seulement pour divorcer et avoir la conscience tranquille. A cet instant, la dernière parcelle d’amour qui me restait pour ma mère s’évapora.

Chapter four
Quand t'aimerais revenir en arrière et n'avoir jamais ouvert cette foutue porte.
Je ne savais pas qui, je devais blâmer, moi pour avoir sauvé vie à ma mère ou Lizzie pour être entrée à nouveau dans ma vie et en faire un cauchemar. Dans tous les cas, depuis ce jour-là, j'ai refusé de la revoir, j'ai coupé les ponts et cette fois-ci pour de bon. Ma vie sans elle était très bien et j'allais continuer sur ce chemin-là, juste moi et mon père. Après cette nuit, j'ai passé plus d'un mois enfermée dans ma chambre, ne profitant même pas du soleil chaud de juillet. Je restais dans le noir, peignant ma douleur en noir et blanc, sortant de ma tour de solitude seulement la nuit pour prendre de quoi manger. Mon père respectait mon besoin d'espace, du moins, il a fallu que je lui crie de me laisser tranquille, une dizaine de fois, pour qu'il comprenne. Je dormais aux aurores, bien qu'il m'étais difficile de fermer les yeux pendant plus d'une heure sans rêver de cet instant. Je vivais la plus part du temps la nuit. À la fin, ma chambre était jonchée de papiers et de tableaux déchirés. Et puis mon père en eut assez et pendant que je prenais une douche, il avait récupéré tous mes dessins afin de les mettre au feu dans le jardin.


« Papa, mais qu'est-ce que tu fais ?! » Hurlais-je, tout en sortant par la porte du jardin. Il me lança un regard et continua de mettre mes affaires au feu. « Ce que j'aurais dû faire depuis longtemps. » J'ai essayé de l'arrêter, sortant mes peintures du barbecue, mais bien entendu, mon père m'écarta violemment, évitant ainsi que je me brûle les mains. Je lui criais dessus, répétant encore et encore : « Ce sont mes dessins, tu n'as pas le droit, tu n'as pas le droit ! » Ce jour-là, c'était la première fois que je voyais mon père aussi sérieux et en colère, il garda son sang-froid, pourtant. Ses mains attrapèrent mes épaules, m'obligeant à rester sans bouger. Ses yeux avaient percé les miens, me laissant observer cette colère se transformer en tristesse. « Ça fait plus d'un mois, Hela ! » Cette simple phrase fut suffisante pour commencer à me faire pleurer. « Il faisait du mal à ta mère, tu as seulement voulue la protéger. Ce n'est pas ta faute Hel'. » Je baissais la tête alors que ses mots entraient dans ma tête. Pas ta faute, seulement voulue la protéger. Je portais mes mains à mes joues, cachant mon visage, alors que mes larmes coulaient à flot. Un cri s'échappa d'entre mes lèvres et un autre et encore un autre, des hurlements de colère et de détresse. S'en fut assez pour que mon père me prenne dans ses bras, me serrant tout contre lui, tout en me murmurant à l'oreille qu'il était là pour moi. Je ne sais pas combien de temps s'était écoulée, quand mes larmes s'étaient arrêtées de couler sur mes joues. Je restais calme dans les bras de mon père, l'endroit où je me sentais le plus en sécurité dans le monde. « Il faut que tu reprennes ta vie en main, Helie. Tu commences l'université dans quelques semaines. Ça va t'aider, te changer les idées, tu seras loin d'ici. »

Nous avions terminé cette intervention en brulant le reste des preuves, tout y était passé, même les vêtements que je portais ce soir-là. Trois semaines plus tard, je me retrouvais à Los Angeles dans l'université d'art de la ville, du moins l'une d'entre elles. J'étudiais tout en faisant des petits boulots, afin de payer mes factures à la fin du mois. Refusant l'argent de mon paternel qui me payait déjà mes études. C'est comme ça que je me retrouvais peintre en bâtiment, du moins, j'étais une petite employée, obéissant aux ordres du chef de l'équipe.


Chapter five
Quand tu demandes si un jour karma te récompensera de tes bons actes.
Les années de faculté sont passées tellement vite que je ne les ai pas vu défiler. Études, boulot, dodo. Du fun durant le week-end, bien qu'il me fallût du temps pour m'adapter et reprendre ma vie. Au début, j'étais une vraie solitaire, jusqu'à ce que je tombe sur ma meilleure amie. Je ne sais pas ce qui lui a pris, elle s'était attachée à moi, me donnant le temps nécessaire pour que je sorte de ma coquille. Cela m'a pris des semaines et encore plus de temps pour que j'en arrive à apprécier de passer une soirée entre amis, sans sentir le remord. Par la suite, je suis retournée à Phoenix, retrouvant mon paternel qui essayait tant bien que mal de se faire à sa retraite. Rester sans rien faire de toute la journée, cela le rendait malade, il fallait toujours qu'il soit occupé et il n'y avait rien de mieux que de réparer la maison de A à Z. Bien entendu, je me suis occupé de la peinture, redonnant un coup de jeune à cette demeure dans laquelle, j'avais grandi. Par la suite, j'ai essayé de trouver un job, sauf que quand tu es peintre, y a pas grand-chose comme boulot, à part travailler dans une galerie ou vivre de ses tableaux. Sauf que je n'avais rien d'un Picasso et personne ne semblait vouloir engager une jeune diplômée très motivée. Je me suis donc retrouvée dans la construction une nouvelle fois, devenant peintre en bâtiment pour une entreprise locale de la ville. Bien sûr, il y a fallu que je gagne le respect de mes chers collègues de travail tous masculins, sans aucune exception. Cela m'a pris du temps, mais à force, j'y étais arrivé. J'adorais mon travail et cela, m'avait même mené à m'intéresser à l'architecture et la décoration d'intérieur.

Aujourd'hui, j'ai vingt-six ans, je vis dans un petit appartement avec un chat, je cherche toujours pour son prénom, mais je n'arrive jamais à me fixer définitivement alors pour l'instance, c'est "le chat" ou "kitty". La nuit qui m'a changée à jamais est toujours gravée en moi, elle reste là et je ne l'oublie pas, comment pourrais-je ? Elle hante encore mes nuits, me réveillant en sursaut dans mon lit.

[Date d'inscription]

story of my life
i like the way it's hurts

Chapter one
Quand tu penses que tu as une famille tout à fait normal...repenses y encore.
La plupart pensent avoir une vie normale, mais la normalité n'est qu'une ligne imaginaire tracée sur notre chemin. On pense qu'on marche dessus, on fait tout pour rester dessus, mais à un moment donné, on se rend compte que ce trait n'existe pas et qu'il n'a jamais été existant. Tout le monde l'apprend un jour à ses dépens. Ça nous tombe dessus du jour au lendemain et le plus souvent, quand on ne s'y attend pas. Petite, je croyais que ma famille n'avait rien de très spéciale, mais que cela en faisait un bon endroit ou vivre et grandir. Certes, ma mère –Elizabeth, mais qui préférait qu'on l'appelle Lizzie, n'était pas comme les mamans des autres enfants, bien au contraire. Elle avait toujours été un petit peu... beaucoup folle, bon pas dans le sens propre du terme, quoi que... C'est juste que ma chère maman était une femme bien trop pleine de vie, un peu trop naïve et en qui, il ne fallait pas en demander de trop. Elle était comme une ado coincée dans le corps d'une adulte. Au début, cela me faisait rire, au début...

« Où elle est, maman ? » Demandais-je à mon père en rentrant de l'école. Je venais d'avoir un A en dessin et je voulais à tout prix lui montrer mon petit chef-d'oeuvre. Je me souviens encore du regard que m'avait lancé mon père, il était plein d'incompréhension et de tristesse. Lui et ma mère, c'était le yin et le yang, le feu et la glace. Il avait les pieds sur terre et elle...elle volait dans des petits nuages. « Papa ? Est-ce que ça va ? » Ajoutais-je, tout en le regardant s'asseoir sur l'une des chaises de la cuisine. Les sourcils froncés, je m'approchais doucement de la table, posais mon dessin sur la surface avant d'attraper la lettre qui avait bouleversé mon père. « J'en peux plus, pr-prend soin de Hela. » Lisais-je à haute voix. J'avais bien remarqué que c'était l'écriture de ma mère, mais à sept ans, je ne savais pas vraiment ce que cela signifiait. « Ça veut dire quoi ça, papa ? » Demandais-je, tout en reposant le papier là où je l'avais trouvé. Mon regard se tourna à nouveau sur mon père, qui portait encore son uniforme de lieutenant de police. « Ça veut dire que c'est toi et moi, à partir de maintenant, Helie. »


Chapter two
Quand t'es bien la fille de ton père,mais pas dans le sens que tout le monde connait
Je ne vais pas mentir, ça craignait vraiment de nous retrouver sans Lizzie, du moins au début. Mon père a fait, ce qu'il a pu, engageant une nounou pour s'occuper de moi pendant qu'il travaillait. Il essayait de rentrer assez tôt à la maison, histoire d'être là avant de me coucher. J'étais la seule chose qui lui restait et cela, je l'avais bien compris. Au début, j'étais plus proche de ma mère que de mon paternel, mais cela a bien entendu complètement changer au fil des années. Je suis devenue la fille de mon père, bien que je devenais chaque jour un peu plus garçon manqué. Je l'aidais comme je le pouvais, l'aidant dans ses travaux manuels à la maison. A l'âge de dix ans, je savais déjà comment utiliser une visseuse électrique et planter des clous d'un seul coup. Il m'avait appris à être autonome, m'enseignant tout ce qu'il savait. Je restais tout de même féminine, même si cela était assez dur, quand votre père ne sait pas quels vêtements vous acheter. On était bien lui et moi, notre duo était parfait, nous nous étions fait à notre nouvelle vie de famille, mais rien ne reste sans changer.

« Helie, ça sonne ! » S'exclama mon père depuis la cuisine, cela faisait maintenant deux heures qu'il essayait de régler le problème de fuite. « Je m'en occupe ! » Je sortis ma tête de mes cours et descendis les escaliers, glissant ma main le long de la rambarde pour garder mon équilibre alors que je dévalais les escaliers en quatrième vitesse. Et un second coup de sonnette, je m'empressais d'arriver jusqu'à la porte, lançant un « Ca vient, ça vient ! Une seconde. » Si je pouvais revenir en arrière alors, je n'aurais jamais ouvert cette porte, jamais. Je tirais la porte, dévoilant à ma plus grande surprise ma très chère mère. Je n'eus pas le temps d'ouvrir ma bouche, qu'elle sauta sur moi, m'enlaçant fermement contre elle, tout en me disant à quel point, je lui avais manqué. J'étais figée sur place, mes bras le long de mon corps, me demandant si je rêvais. « Tu as tellement grandi ! Regarde-toi, tu es magnifique. Enfin, tu le serais encore plus dans une jolie robe et non pas dans cette salopette. Mais on va arranger ça, on va arranger ça.» Elle continuait de parler, encore et encore alors que moi, je la regardais éberluée. La boule dans ma gorge se dissolvait assez pour me laisser parler. « Papa ! » Pas de gentils mots pour ma mère, non, juste un appel au secours. Lizzie me serra à nouveau contre elle, pour une fois, elle s'était arrêtée de parler, me laissant enfin en placer une. « Six ans, maman. Six ans » Elle savait très bien de quoi je parlais, ce chiffre était le nombre d'année que cette femme s'était évaporé avec son amant. Elle ne dit rien au début, prétextant essuyer une tâche sur ma joue avec un mouchoir en tissu. « Je sais Hel', je sais. Mais je suis là maintenant, je suis là. » Et c'était ça le problème, sa présence. « PAPA ! »


Bien entendu, mon père fut lui aussi choqué de la voir ici. Peut-être même bien plus que moi. J'étais fière de lui quand il préféra rester dehors au lieu de la faire entrer à l'intérieur, ce n'était plus sa maison, elle n'était pas la bienvenue et ça, il voulait lui faire comprendre. Par la suite, mon paternel me demanda l'impossible, passer du temps avec elle, rattraper les années perdues. Sauf que cela, c'était mal me connaitre. Je me poussais quand même à passer des après-midi en sa compagnie, Lizzie me racontait sa vie après s'être enfuit comme une lâche, prétextant qu'elle croyait avoir trouvé le grand amour avec Eric, son assistant au travail. Leur couple n'a pas fait long feu, mais cela n'avait pas empêché ma mère de se trouver d'autres compagnons, surtout des riches divorcés. Voilà pourquoi, elle reprenait contacte, ce n’était pas pour moi, pas pour s’excuser, seulement pour divorcer et avoir la conscience tranquille. A cet instant, la dernière parcelle d’amour qui me restait pour ma mère s’évapora.

Chapter four
Quand t'aimerais revenir en arrière et n'avoir jamais ouvert cette foutue porte.
Je ne savais pas qui, je devais blâmer, moi pour avoir sauvé vie à ma mère ou Lizzie pour être entrée à nouveau dans ma vie et en faire un cauchemar. Dans tous les cas, depuis ce jour-là, j'ai refusé de la revoir, j'ai coupé les ponts et cette fois-ci pour de bon. Ma vie sans elle était très bien et j'allais continuer sur ce chemin-là, juste moi et mon père. Après cette nuit, j'ai passé plus d'un mois enfermée dans ma chambre, ne profitant même pas du soleil chaud de juillet. Je restais dans le noir, peignant ma douleur en noir et blanc, sortant de ma tour de solitude seulement la nuit pour prendre de quoi manger. Mon père respectait mon besoin d'espace, du moins, il a fallu que je lui crie de me laisser tranquille, une dizaine de fois, pour qu'il comprenne. Je dormais aux aurores, bien qu'il m'étais difficile de fermer les yeux pendant plus d'une heure sans rêver de cet instant. Je vivais la plus part du temps la nuit. À la fin, ma chambre était jonchée de papiers et de tableaux déchirés. Et puis mon père en eut assez et pendant que je prenais une douche, il avait récupéré tous mes dessins afin de les mettre au feu dans le jardin.


« Papa, mais qu'est-ce que tu fais ?! » Hurlais-je, tout en sortant par la porte du jardin. Il me lança un regard et continua de mettre mes affaires au feu. « Ce que j'aurais dû faire depuis longtemps. » J'ai essayé de l'arrêter, sortant mes peintures du barbecue, mais bien entendu, mon père m'écarta violemment, évitant ainsi que je me brûle les mains. Je lui criais dessus, répétant encore et encore : « Ce sont mes dessins, tu n'as pas le droit, tu n'as pas le droit ! » Ce jour-là, c'était la première fois que je voyais mon père aussi sérieux et en colère, il garda son sang-froid, pourtant. Ses mains attrapèrent mes épaules, m'obligeant à rester sans bouger. Ses yeux avaient percé les miens, me laissant observer cette colère se transformer en tristesse. « Ça fait plus d'un mois, Hela ! » Cette simple phrase fut suffisante pour commencer à me faire pleurer. « Il faisait du mal à ta mère, tu as seulement voulue la protéger. Ce n'est pas ta faute Hel'. » Je baissais la tête alors que ses mots entraient dans ma tête. Pas ta faute, seulement voulue la protéger. Je portais mes mains à mes joues, cachant mon visage, alors que mes larmes coulaient à flot. Un cri s'échappa d'entre mes lèvres et un autre et encore un autre, des hurlements de colère et de détresse. S'en fut assez pour que mon père me prenne dans ses bras, me serrant tout contre lui, tout en me murmurant à l'oreille qu'il était là pour moi. Je ne sais pas combien de temps s'était écoulée, quand mes larmes s'étaient arrêtées de couler sur mes joues. Je restais calme dans les bras de mon père, l'endroit où je me sentais le plus en sécurité dans le monde. « Il faut que tu reprennes ta vie en main, Helie. Tu commences l'université dans quelques semaines. Ça va t'aider, te changer les idées, tu seras loin d'ici. »

Nous avions terminé cette intervention en brulant le reste des preuves, tout y était passé, même les vêtements que je portais ce soir-là. Trois semaines plus tard, je me retrouvais à Los Angeles dans l'université d'art de la ville, du moins l'une d'entre elles. J'étudiais tout en faisant des petits boulots, afin de payer mes factures à la fin du mois. Refusant l'argent de mon paternel qui me payait déjà mes études. C'est comme ça que je me retrouvais peintre en bâtiment, du moins, j'étais une petite employée, obéissant aux ordres du chef de l'équipe.


Chapter five
Quand tu demandes si un jour karma te récompensera de tes bons actes.
Les années de faculté sont passées tellement vite que je ne les ai pas vu défiler. Études, boulot, dodo. Du fun durant le week-end, bien qu'il me fallût du temps pour m'adapter et reprendre ma vie. Au début, j'étais une vraie solitaire, jusqu'à ce que je tombe sur ma meilleure amie. Je ne sais pas ce qui lui a pris, elle s'était attachée à moi, me donnant le temps nécessaire pour que je sorte de ma coquille. Cela m'a pris des semaines et encore plus de temps pour que j'en arrive à apprécier de passer une soirée entre amis, sans sentir le remord. Par la suite, je suis retournée à Phoenix, retrouvant mon paternel qui essayait tant bien que mal de se faire à sa retraite. Rester sans rien faire de toute la journée, cela le rendait malade, il fallait toujours qu'il soit occupé et il n'y avait rien de mieux que de réparer la maison de A à Z. Bien entendu, je me suis occupé de la peinture, redonnant un coup de jeune à cette demeure dans laquelle, j'avais grandi. Par la suite, j'ai essayé de trouver un job, sauf que quand tu es peintre, y a pas grand-chose comme boulot, à part travailler dans une galerie ou vivre de ses tableaux. Sauf que je n'avais rien d'un Picasso et personne ne semblait vouloir engager une jeune diplômée très motivée. Je me suis donc retrouvée dans la construction une nouvelle fois, devenant peintre en bâtiment pour une entreprise locale de la ville. Bien sûr, il y a fallu que je gagne le respect de mes chers collègues de travail tous masculins, sans aucune exception. Cela m'a pris du temps, mais à force, j'y étais arrivé. J'adorais mon travail et cela, m'avait même mené à m'intéresser à l'architecture et la décoration d'intérieur.

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[fondateur]

Officiellement bienvenue à vous deux   Je suis content que vous ayez choisis notre petit bébé pour vous y installer. En esperant que vous allez vous plaire ici.

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Holland est superbe   
Bienvenue sur le forum ma jolie   

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Holland est superbe   
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Holland est superbe   
Bienvenue sur le forum ma jolie   

[nouveau venu]

Merci les garçons!

Sullivan: Hann Jake Gyllenhaal, cet homme est juste magnifique.

Leighton: Ohhh l'avatar de fou! Celui qui fait passer Greyjoy à Greysad!:   

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Merci les garçons!

Sullivan: Hann Jake Gyllenhaal, cet homme est juste magnifique.

Leighton: Ohhh l'avatar de fou! Celui qui fait passer Greyjoy à Greysad!:   

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Leighton: Ohhh l'avatar de fou! Celui qui fait passer Greyjoy à Greysad!:   

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[nouveau venu]

Toujours en retard, bienvenue

[vos points]

Toujours en retard, bienvenue

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Toujours en retard, bienvenue

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[nouveau venu]

Merci!

[vos points]

Merci!

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Merci!

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[nouveau venu]

Holland, la femme de ma vie (aaa)
Welcome

[vos points]

Holland, la femme de ma vie (aaa)
Welcome

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Holland, la femme de ma vie (aaa)
Welcome

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Welcome

[vos points]

Bienvenueeee

Super choix d'avatar   

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Bienvenueeee

Super choix d'avatar   

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Bienvenueeee

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[nouveau venu]

Holt!   

Merci les filles!

[vos points]

Holt!   

Merci les filles!

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Holt!   

Merci les filles!

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Holt!   

Merci les filles!

[nouveau venu]

Welcome   

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Welcome   

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[nouveau venu]

Merci!

[vos points]

Merci!

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Merci!

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Merci!

[nouveau venu]

Bienvenue à toi tu as un magnifique vava bon courage pour la suite de ta fiche

[vos points]

Bienvenue à toi tu as un magnifique vava bon courage pour la suite de ta fiche

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Bienvenue à toi tu as un magnifique vava bon courage pour la suite de ta fiche

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[nouveau venu]

Faut remercier Dreamy pour l'avatar!

Merci!

[vos points]

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Merci!

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Merci!

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Faut remercier Dreamy pour l'avatar!

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[vos points]

« Bravo, tu es validé »

Que dire à part que c'est parfait ! J'adore le personnage et l'histoire est fluide. Amuse toi bien parmi nous     

Félicitations, tu viens d'être validé. Maintenant, il s'agit de ne pas te perdre à Phoenix et de passer par quelques étapes que les rpgistes connaissent bien. Suis le guide afin de ne rien oublier. Et, après, dis toi que tu pourras t'amuser librement.

1 • Pour commencer, veille à remplir tous les champs de ton profil. C'est toujours plus agréable d'avoir un tas d'informations sur toi. Si tu es inspiré, n'hésite pas à compléter ta signature dès maintenant afin de nous montrer à quel point tu es canon. N'oublis pas de venir recenser ton pseudo, c'est important de le faire.

2 • N'oublie pas non plus de demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Enfin, sache que tu peux demander un rang si tu le souhaites afin d'égayer ton profil. Il ne faut pas oublier de prendre conscience du système de point.

3 • Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer une fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Une fiche vide ne donne pas envie de demander un lien alors essaie de mettre quelques informations quitte à faire la mise en page plus tard. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 450px. merci.

4 • Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 450px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . N'hésite pas à te rendre dans l'agence au rp pour commencer à jouer sur le forum.

5 • Enfin, histoire de t'intégrer un maximum n'hésite pas à te rendre sur le flood, à te créer un scénario, à voter pour notre forum sur les top-sites, etc. Mais, surtout, n'oubliez pas le plus important amusez-vous!

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« Bravo, tu es validé »

Que dire à part que c'est parfait ! J'adore le personnage et l'histoire est fluide. Amuse toi bien parmi nous     

Félicitations, tu viens d'être validé. Maintenant, il s'agit de ne pas te perdre à Phoenix et de passer par quelques étapes que les rpgistes connaissent bien. Suis le guide afin de ne rien oublier. Et, après, dis toi que tu pourras t'amuser librement.

1 • Pour commencer, veille à remplir tous les champs de ton profil. C'est toujours plus agréable d'avoir un tas d'informations sur toi. Si tu es inspiré, n'hésite pas à compléter ta signature dès maintenant afin de nous montrer à quel point tu es canon. N'oublis pas de venir recenser ton pseudo, c'est important de le faire.

2 • N'oublie pas non plus de demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Enfin, sache que tu peux demander un rang si tu le souhaites afin d'égayer ton profil. Il ne faut pas oublier de prendre conscience du système de point.

3 • Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer une fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Une fiche vide ne donne pas envie de demander un lien alors essaie de mettre quelques informations quitte à faire la mise en page plus tard. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 450px. merci.

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Que dire à part que c'est parfait ! J'adore le personnage et l'histoire est fluide. Amuse toi bien parmi nous     

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1 • Pour commencer, veille à remplir tous les champs de ton profil. C'est toujours plus agréable d'avoir un tas d'informations sur toi. Si tu es inspiré, n'hésite pas à compléter ta signature dès maintenant afin de nous montrer à quel point tu es canon. N'oublis pas de venir recenser ton pseudo, c'est important de le faire.

2 • N'oublie pas non plus de demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Enfin, sache que tu peux demander un rang si tu le souhaites afin d'égayer ton profil. Il ne faut pas oublier de prendre conscience du système de point.

3 • Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer une fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Une fiche vide ne donne pas envie de demander un lien alors essaie de mettre quelques informations quitte à faire la mise en page plus tard. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 450px. merci.

4 • Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 450px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . N'hésite pas à te rendre dans l'agence au rp pour commencer à jouer sur le forum.

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