KITAËV ☇ i wanna do bad thing with you

fondateur

nikolaï kitaëv
i like the way it's hurts

ஓ Nom : Kitaëv ஓ Prénom : Nikolaï Alexander ஓ Âge : trente-huit ans. ஓ date et lieu de naissance : 03 avril en russie, St-petersbourgh . ஓ Métier : propriétaire de la boite de strip et à la tête d'un réseau de prostitution. ஓ Orientation sexuelle : purement hétéro. misogyne. il ne supporte pas les hommes qui se prennent pour des femmes. ஓ Statut matrimonial : marié. ஓ Caractère : Arrogant, sur de lui, menteur, dominant, cynique, intelligent, observateur, calme, intuitif, possessif, parfois violent, volage, charmeur, beau parleur, brisé, torturé, misogyne. ஓ Groupe : save me from myself. ஓ Célébrité : alexander skasgard. ஓ Crédit : réponse ici.

ஓ il n'aime pas se faire dire quoi faire, il a tendance à être dominant et extrêment possessif ஓ il ne fume pas et ne prend pas de drogue, disons que c'est un événement marquant de son passé ஓ il ne supporte pas les enfants ஓ il parle souvent en russe quand quelque chose le fâche ஓ il ne parle pratiquement jamais de sa vie, les gens autour de lui ne savent rien sur son passé ஓ il aime son café noir ஓ pour lui, les femmes ne sont que des objets et il se passe bien des choses dans cette boite de strip ஓ son visage semble toujours neutre, c'est pratiquement impossible de savoir ce qui se passe en lui ou la moindre de ses émotions ஓ il n'hésite pas à coucher avec les femmes qui lui font envie, mais il évite de le faire avec les filles de son club, question de principe ஓ il est souvent froid mais c'est incontrôlable ஓ il n'aime pas faire la cuisine ni le ménage, c'est pour cette raison qu'une personne le fait pour lui ஓ il est marié par convenance, ne croyez pas qu'il y a de l'amour dans cette relation ஓ il en vient parfois au point, mais il sait aussi manipuler les autres ஓ il a un grand faible pour les rousses, c'est plus fort que lui

Quel est votre plus gros mensonge/secret? Sa vie en entier est un mensonge. Il évite plutôt de parler de son passé ou de sa vie, mais quand il doit le faire, il ne dit pas vraiment la vérité. Ce qui se passe dans la boîte dont il est gérant est un mensonge et il s'amuse à faire croire à la jeune femme qu'elles auront une carrière en danse avant de finir dans son club, comme danseuse et prostituée par la même occasion. Autant dire qu'il ment comme il respire, ça fait partie de lui.

BELZÉBUTH

ஓ âge : 24 ans ஓ pays : canada ஓ fréquence de connexion : souvent ஓ où avez vous connu le forum ? : booooooonnnnnnnnnnnnnne question ஓ un dernier mot : tongue

Code:: <span class="pris">CÉLÉBRITÉ EN MAJUSCULE</span> ▻ « nom du perso en minuscule »

fondateur

story of my life
i like the way it's hurts

13 ANS, ST-PETERSBOURGH
Petite chose née dans ce monde où elle ne devrait pas être. Douce fleur fragile qu'elle pouvait être à ses yeux. Si seulement elle avait pu vivre dans un autre monde que dans celui de cette famille dysfonctionnelle, vouée à l'échec monumental, voué à rien de bien. Si la vie avait été belle par le passé, depuis cette annonce elle n'avait plus rien de normale, plus rien de douce. Son enfance était déjà bien loin derrière quand il apprenait la nouvelle, celle qui venait chambouler la vie de sa famille et rendre son père malade à souhait. Personne ne connait se passé dont il ne se vante pas, personne ne sait rien sur son enfance ou sur sa vie qui avait changé d'un coup sans qu'il ne puisse y faire quoi que ce soit. Si pendant quinze années de sa vie, elle avait été douce et calme, maintenant, cela n'avait plus d'importance. Ce moment était dans son esprit perdu, dans son esprit brisé et celui qu'il était avant n'était plus de ce monde. Les yeux de sa mère avaient changé. Leur vie avait changé, mais ne devaient-ils pas se réjouir sur une nouvelle plutôt que de s'abattre sur une autre. Sa mère avait été violée, tabasser, enfermée pendant de semaines et elle en était sortie vivante, mais indemne. Sa vie ne lui avait pas été enlevée parce que les secours étaient arrivés avant, parce qu'ils n'avaient cessé de chercher pour elle. Cette période était le début de la fin, le commencement de la noirceur. Ses pas feutrés se glissaient dans la maison, les mains contre son ventre, les yeux rouges parce qu'elle avait trop pleuré. Les nouvelles n'étaient pas bonnes. Son corps s'échouait dans le fond du canapé alors que ses sanglots ne semblaient que s'accentuer avec le temps. Elle avait été brisé, dans les moindres recoins de son âme et le nombre de fois où elle avait voulu mourir été simplement impensable. Il semblait que cette fois était pire que les autres. Lui. Adolescent. Jeune homme ne comprenant que trop peu les choses qui pouvaient hanté sa mère était posée dans le coin du salon, calme, tentant de le rester pour se montrer aussi rassurant qu'il pouvait l'être avec elle. Ses larmes ne cessaient de couler le long de son visage maigre qui laissait deviner la forme de ses os sous sa peau trop pâle. Ses cheveux tombaient le long de son dos. Elle était belle, malgré la souffrance, malgré le mal-être. Les yeux du jeune homme observaient la scène alors que son paternel tentait de lui octroyer le moindre réconfort, mais ça n'avait rien de facile et elle semblait vouloir rester muette au sujet de ce qui la tourmentait. Il perdait les pédales, son père, n'en pouvant plus de l'attente, il avait besoin de savoir ce qu'elle avait pour mieux la soutenir, pour mieux lui donner le coup de main dont elle avait besoin. Sa mère ne se calmait pas, mais elle finit par glisser ces quelques mots qui eurent l'effet d'une bombe. D'un poison qui allait pourrir les êtres de ce salon, changeant complètement cette vie qu'ils avaient pu avoir. « -Je suis enceinte et c'est trop avancé pour que nous puissions faire quoi que ce soit. Je vais devoir avoir ce bébé. Je le déteste déjà.» Cet enfant qui était né de ce foutu viol. Le choc était terrible. Cet être qui allait naître dans cette famille maintenant brisé, comme si c'était un acte de trahison, comme si c'était la pire chose qui pouvait arriver. Ce l'était non?

17 ANS, ST-PETERSBOURGH
Petite chose née dans ce monde où elle ne devrait pas être. Douce fleur fragile qu'elle pouvait être à ses yeux. Petite chose née dans ce monde où elle ne devrait pas être. Douce fleur fragile qu'elle pouvait être à ses yeux. Les mois de grossesse de sa mère avaient été les pires de sa vie. La folie avait gagné son père et l'avait atteint par la même occasion. Chaque minute de sa vie, était une raison de plus pour boire, pour ruer sa mère de coups question qu'elle perde ce foutu bébé dont personne ne voulait. Enfant qui n'avait rien demandé et qui était percuté avant de naître. La drogue avait commencé à traîner autour de lui et Nikolaï avait visiblement changé depuis quelque temps, depuis que son père était devenu une bête incontrôlable. Sa mère n'était qu'un fantôme qui ne voulait plus vivre, mais qui se faisait tenir la tête hors de l'eau par les foudres de son mari qui avait envie qu'elle vive pour lui faire subir tout ce mal, lui faire ressentir toute cette colère et cette hargne qu'il pouvait ressentir, comme si elle n'en avait pas assez vécu. Lui. Nikolaï, il fuyait cette vie, mais ne voulait pas partir parce qu'il savait que son père s'acharnait sur sa petite soeur, qu'il la frappait, torturait, touchait, violait et tout ce qui allait avec, question de la punir d'être en vie et de lui faire comprendre qu'elle n'était rien. Petite chose qui ne pouvait rien comprendre. Ce soir, il rentrait, à reculons, complètement défoncé de toutes les drogues qu'il avait pu s'envoyer, mais ayant encore un semblant de conscience au creux de lui. La porte se poussait alors qu'il entendait la même trame sonore qu'il pensait entendre, sa mère complètement vide de vie, noyer dans l'alcool, dans un coin et sa petite soeur dont les sanglots étaient retenus. C'était pourtant autre chose qui pouvait entendre. Des cris. Dans sanglots. La douleur. Son esprit était au ralenti, il était dans un autre monde, mais les bruits le faisaient revenir sur terre. Il se jetait dans la cuisine pour prendre un couteau, question de se défendre et de ne pas laisser ce monstre prendre le dessus sur lui. Il allait vers sa mère, pour la faire bouger, mais son corps était froid et un coup de main suffit à la faire tomber sur le côté. Overdose. Il pouvait le voir avec le bout de plastique qui entourait son bras. La voix de son père se faisait entendre de loin. « -T'es qu'une sale gosse. C'est de ta faute si t'a mère et morte. J'vais te faire subir la même chose. Tu mérite pas d'être ici, t'es pas mon enfant.» La rage prenait place en lui et ses pas le menaient vers la chambre de sa petite soeur. Les sanglots s’étaient tus. Le silence était bien trop pesant alors qu'il entrait dans cette chambre de petite fille de trois ans. La petite fille était inerte, morte. Une de trop. Son esprit était ailleurs et il n'arrivait pas à se contrôler. Il détestait son père. Se détestait de ne pas avoir été là ce soir et il se jetait sur lui, son couteau en main, le poignardant jusqu'à ce qu'il tombe, jusqu'à ce qu'il s'écroule. Nikolaï aussi était mort ce soir. Ce reste de conscience était disparu avec cet instant qu'il venait de vivre. Les larmes ne coulaient pas. Un grand vide. Une fin.

37 ANS, PHOENIX
Elle lui était tombée dans l'oeil. Ses courbes enchanteresses, cette façon qu'elle avait de bouger. Dans le fond de la salle, il n'avait pas le moindre mal à se souvenir de la première fois qu'il avait posé le regard sur elle. Jeune. Bien plus que lui et belle à en crever. Ce petit côté indomptable qui lui allait si bien, cette façon qu'elle avait de se mouvoir au rythme de la musique. C'était avec envie que ses yeux avaient observé le moindre de ses gestes et c'est encore de cette façon qu'il la regardait maintenant. Douce petite chose qu'elle était entre ses mains, en train de se perdre dans un tourbillon de débauche et de folie. Le russe lui avait fait croire en ses rêves, ensevelis de belles paroles pour la faire atterrir dans sa boite, pour son propre plaisir, parce qu'elle lui plaisait un peu trop. Ça, elle ne le savait pas et elle ne le saurait pas. C'est une haine viscérale qu'elle ressentait pour lui, à chaque fois qu'elle posait le pied dans cet endroit, à chaque fois qu'elle posait son regard sur lui. C'est un désir sans borne qui naissant dans le creux de ses reins, cette envie de se perdre entre ses cuisses sveltes et fines. Il ne le faisait pas. Un foutu principe qu'il avait envie de rompre. Plus elle le détestait, plus il la désirait. Elle. Elle n'avait pas la moindre idée de comment se sentir devant lui. Il avait ce foutu charme qu'elle détestait, cette force, cette violence qui la déstabilisait. Selene le haïssait de tout son être, incapable de comprendre cette fièvre qui la prenait de part en part quand elle se trouvait devant lui. Ce quelque chose de prenant. Ce quelque chose d'attirant.

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