[fondateur]

hit me baby one more time

La chaleur. La douce chaleur de corps en sueur. Le bruit qui circulait comme une rumeur dans le creux de ses oreilles, soufflant contre ses tympans des douces mélodies de jouissance. C'était bien plus qu'une boîte d'effeuillage. Il se passait des choses dont seul Kitaëv était au courant, les filles et les clients concernés. Douces captives qu'elles étaient, les filles qu'il avait pris soin de choisir, lui et ses quelques acolytes. Semeur de faux rêves. Briseur de vie. C'est exactement ce qu'il était. Le russe jouait des mots, s'amusait à déformer cette réalité. Certaine était ici de leur plein gré et d'autre prisonnière. Colombe doucereuse entre des barreaux trop étroits pour pouvoir s'y glisser, pour s'enfuir. Le pire était qu'il n'avait pas besoin de les enfermer, des les contraindre. Elles l'étaient, mais elle pouvait jouir d'une liberté de mouvement restreint dans cette ville. Elles n'avaient pas le choix, de revenir jour après jour, de se perdre dans des vices, de perdre leur âme à tout jamais. Entre les doigts de Nikolaï, elles étaient adroitement manipulées, se pliant trop souvent à ses exigences et ses envies. Lui. Il ne profitait pas de leur coeur, des danses charnelles et enivrantes. De marbre. De glace. Il les choisissait avec soin pour les laisser se perdre dans un cruel destin. Ouvrir les jambes. Se laisser prendre sans cette envie qui ronge les reins, qui réchauffe le corps. Se laisser posséder par des hommes qui ne les attirait pas, pas des hommes qu'elles méprisaient plus que tout.

La musique se fit plutôt silencieuse, laissant la femme qui devait danser sortir de scène. Les cris d'excitation des hommes se faisait entendre de son bureau. Cette rage. Ces foutues pulsions qu'il connaissait si bien. Quelques règles subsistaient tout de même dans ce bordel. Pas de violence. Les danseuses ne pouvaient dire non aux demandes d'un homme, mais il était hors de questions qu'elles soient maltraités. Surement quelque chose d'étroitement relié à son passé. Trop de contradictions dans son esprit, trop de blessures, trop de mal. Le russe finit par se lever de sa chaise, fermant la porte derrière lui. Porte qui se barrait automatiquement. Hors de question que qui que ce soit viennent mettre le nez dans ses affaires. Il monta les quelques escaliers qui le séparait de la salle. La tension était palpable, comme toujours.

Il se posa contre une chaise, dans le fond de la salle. Il savait parfaitement qui allait entrer sur scène, qui allait se perdre dans une dans lascive et sensuelle. Elle entra sur scène. Petite chose fragile qu'elle était à ses yeux. Petit être qu'il aurait pu briser entre ses doigts trop agiles. Elle le détestait de toute son âme, de tout ce qu'elle pouvait avoir de haine en elle. Le russe le savait. Il voyait cette lueur malsaine briller dans le fond de ses yeux. À ses yeux, elle avait ce quelque chose de différent. Cette fougue. Cette façon d'onduler à même de rendre fou. De le rendre fou. Ses iris profonds la sondait de loin. Analysant ses traits, ce regard maintenant trop vide, cette automatisme dans ses gestes. Elles se perdaient toutes. Elle n'y échapperait surement pas. La musique retentit. La foule s'emporta. Lui. Il restait toujours aussi froid, comme s'il était dénué de la moindre parcelle de sentiment humain. Comme s'il était incapable de ressentir quoi que ce soit. C'était faux. Atteint. Atteint d'une maladie incurable qui le rongeait depuis trop longtemps. La folie. Cette folie qui l'avait fait se rendre aussi loin. Se perdre aussi loin.

Les cheveux de Selene tombaient gracieusement contre sa peau opaline, jouant de cette couleur qu'il avait toujours su le faire réagir. Le soyeux de sa peau était visible, d'une douceur dont il ne pouvait pas profiter, ne se permettant pas de plonger entre les cuisses fines de ses danseuses. Indifférent, en apparence, il s'enfonçait dans le creux de sa chaise, enfermant le bois de la chaise entre ses mains puissantes. La rousse était la seule à avoir quelques bénéfices. Ceux de ne pas coucher avec les hommes qui la lorgnait tant. Ceux de ne pas briser ce petit corps qui le fascinait tant. La musique avançait et sa peau devenait de plus en plus visible. Il adorait cette façon qu'elle avait de se ployer devant lui. Cette étrange sensation qui se mélangeait à un mépris sans borne. Il s'était joué d'elle. Ses rêves. Sa vie. Elle avait perdu tellement de choses en se jetant aveuglement dans ses bras, confiant cet espoir de renom qu'elle gardait secrètement en elle. Elle dansait. Pas ce qu'elle aurait cru. Pas ce qu'elle aurait voulu. Manipuler son esprit. Ses rêves. Sa vie. Moriarty était prise au piège. Brisée. Perdue.

La musique s'estompa. Les vêtements se faisaient peu présents. La foule ne se calmait pas. Enchanteresse sirène qu'elle était.

[vos points]

hit me baby one more time

La chaleur. La douce chaleur de corps en sueur. Le bruit qui circulait comme une rumeur dans le creux de ses oreilles, soufflant contre ses tympans des douces mélodies de jouissance. C'était bien plus qu'une boîte d'effeuillage. Il se passait des choses dont seul Kitaëv était au courant, les filles et les clients concernés. Douces captives qu'elles étaient, les filles qu'il avait pris soin de choisir, lui et ses quelques acolytes. Semeur de faux rêves. Briseur de vie. C'est exactement ce qu'il était. Le russe jouait des mots, s'amusait à déformer cette réalité. Certaine était ici de leur plein gré et d'autre prisonnière. Colombe doucereuse entre des barreaux trop étroits pour pouvoir s'y glisser, pour s'enfuir. Le pire était qu'il n'avait pas besoin de les enfermer, des les contraindre. Elles l'étaient, mais elle pouvait jouir d'une liberté de mouvement restreint dans cette ville. Elles n'avaient pas le choix, de revenir jour après jour, de se perdre dans des vices, de perdre leur âme à tout jamais. Entre les doigts de Nikolaï, elles étaient adroitement manipulées, se pliant trop souvent à ses exigences et ses envies. Lui. Il ne profitait pas de leur coeur, des danses charnelles et enivrantes. De marbre. De glace. Il les choisissait avec soin pour les laisser se perdre dans un cruel destin. Ouvrir les jambes. Se laisser prendre sans cette envie qui ronge les reins, qui réchauffe le corps. Se laisser posséder par des hommes qui ne les attirait pas, pas des hommes qu'elles méprisaient plus que tout.

La musique se fit plutôt silencieuse, laissant la femme qui devait danser sortir de scène. Les cris d'excitation des hommes se faisait entendre de son bureau. Cette rage. Ces foutues pulsions qu'il connaissait si bien. Quelques règles subsistaient tout de même dans ce bordel. Pas de violence. Les danseuses ne pouvaient dire non aux demandes d'un homme, mais il était hors de questions qu'elles soient maltraités. Surement quelque chose d'étroitement relié à son passé. Trop de contradictions dans son esprit, trop de blessures, trop de mal. Le russe finit par se lever de sa chaise, fermant la porte derrière lui. Porte qui se barrait automatiquement. Hors de question que qui que ce soit viennent mettre le nez dans ses affaires. Il monta les quelques escaliers qui le séparait de la salle. La tension était palpable, comme toujours.

Il se posa contre une chaise, dans le fond de la salle. Il savait parfaitement qui allait entrer sur scène, qui allait se perdre dans une dans lascive et sensuelle. Elle entra sur scène. Petite chose fragile qu'elle était à ses yeux. Petit être qu'il aurait pu briser entre ses doigts trop agiles. Elle le détestait de toute son âme, de tout ce qu'elle pouvait avoir de haine en elle. Le russe le savait. Il voyait cette lueur malsaine briller dans le fond de ses yeux. À ses yeux, elle avait ce quelque chose de différent. Cette fougue. Cette façon d'onduler à même de rendre fou. De le rendre fou. Ses iris profonds la sondait de loin. Analysant ses traits, ce regard maintenant trop vide, cette automatisme dans ses gestes. Elles se perdaient toutes. Elle n'y échapperait surement pas. La musique retentit. La foule s'emporta. Lui. Il restait toujours aussi froid, comme s'il était dénué de la moindre parcelle de sentiment humain. Comme s'il était incapable de ressentir quoi que ce soit. C'était faux. Atteint. Atteint d'une maladie incurable qui le rongeait depuis trop longtemps. La folie. Cette folie qui l'avait fait se rendre aussi loin. Se perdre aussi loin.

Les cheveux de Selene tombaient gracieusement contre sa peau opaline, jouant de cette couleur qu'il avait toujours su le faire réagir. Le soyeux de sa peau était visible, d'une douceur dont il ne pouvait pas profiter, ne se permettant pas de plonger entre les cuisses fines de ses danseuses. Indifférent, en apparence, il s'enfonçait dans le creux de sa chaise, enfermant le bois de la chaise entre ses mains puissantes. La rousse était la seule à avoir quelques bénéfices. Ceux de ne pas coucher avec les hommes qui la lorgnait tant. Ceux de ne pas briser ce petit corps qui le fascinait tant. La musique avançait et sa peau devenait de plus en plus visible. Il adorait cette façon qu'elle avait de se ployer devant lui. Cette étrange sensation qui se mélangeait à un mépris sans borne. Il s'était joué d'elle. Ses rêves. Sa vie. Elle avait perdu tellement de choses en se jetant aveuglement dans ses bras, confiant cet espoir de renom qu'elle gardait secrètement en elle. Elle dansait. Pas ce qu'elle aurait cru. Pas ce qu'elle aurait voulu. Manipuler son esprit. Ses rêves. Sa vie. Moriarty était prise au piège. Brisée. Perdue.

La musique s'estompa. Les vêtements se faisaient peu présents. La foule ne se calmait pas. Enchanteresse sirène qu'elle était.

[Messages]

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La chaleur. La douce chaleur de corps en sueur. Le bruit qui circulait comme une rumeur dans le creux de ses oreilles, soufflant contre ses tympans des douces mélodies de jouissance. C'était bien plus qu'une boîte d'effeuillage. Il se passait des choses dont seul Kitaëv était au courant, les filles et les clients concernés. Douces captives qu'elles étaient, les filles qu'il avait pris soin de choisir, lui et ses quelques acolytes. Semeur de faux rêves. Briseur de vie. C'est exactement ce qu'il était. Le russe jouait des mots, s'amusait à déformer cette réalité. Certaine était ici de leur plein gré et d'autre prisonnière. Colombe doucereuse entre des barreaux trop étroits pour pouvoir s'y glisser, pour s'enfuir. Le pire était qu'il n'avait pas besoin de les enfermer, des les contraindre. Elles l'étaient, mais elle pouvait jouir d'une liberté de mouvement restreint dans cette ville. Elles n'avaient pas le choix, de revenir jour après jour, de se perdre dans des vices, de perdre leur âme à tout jamais. Entre les doigts de Nikolaï, elles étaient adroitement manipulées, se pliant trop souvent à ses exigences et ses envies. Lui. Il ne profitait pas de leur coeur, des danses charnelles et enivrantes. De marbre. De glace. Il les choisissait avec soin pour les laisser se perdre dans un cruel destin. Ouvrir les jambes. Se laisser prendre sans cette envie qui ronge les reins, qui réchauffe le corps. Se laisser posséder par des hommes qui ne les attirait pas, pas des hommes qu'elles méprisaient plus que tout.

La musique se fit plutôt silencieuse, laissant la femme qui devait danser sortir de scène. Les cris d'excitation des hommes se faisait entendre de son bureau. Cette rage. Ces foutues pulsions qu'il connaissait si bien. Quelques règles subsistaient tout de même dans ce bordel. Pas de violence. Les danseuses ne pouvaient dire non aux demandes d'un homme, mais il était hors de questions qu'elles soient maltraités. Surement quelque chose d'étroitement relié à son passé. Trop de contradictions dans son esprit, trop de blessures, trop de mal. Le russe finit par se lever de sa chaise, fermant la porte derrière lui. Porte qui se barrait automatiquement. Hors de question que qui que ce soit viennent mettre le nez dans ses affaires. Il monta les quelques escaliers qui le séparait de la salle. La tension était palpable, comme toujours.

Il se posa contre une chaise, dans le fond de la salle. Il savait parfaitement qui allait entrer sur scène, qui allait se perdre dans une dans lascive et sensuelle. Elle entra sur scène. Petite chose fragile qu'elle était à ses yeux. Petit être qu'il aurait pu briser entre ses doigts trop agiles. Elle le détestait de toute son âme, de tout ce qu'elle pouvait avoir de haine en elle. Le russe le savait. Il voyait cette lueur malsaine briller dans le fond de ses yeux. À ses yeux, elle avait ce quelque chose de différent. Cette fougue. Cette façon d'onduler à même de rendre fou. De le rendre fou. Ses iris profonds la sondait de loin. Analysant ses traits, ce regard maintenant trop vide, cette automatisme dans ses gestes. Elles se perdaient toutes. Elle n'y échapperait surement pas. La musique retentit. La foule s'emporta. Lui. Il restait toujours aussi froid, comme s'il était dénué de la moindre parcelle de sentiment humain. Comme s'il était incapable de ressentir quoi que ce soit. C'était faux. Atteint. Atteint d'une maladie incurable qui le rongeait depuis trop longtemps. La folie. Cette folie qui l'avait fait se rendre aussi loin. Se perdre aussi loin.

Les cheveux de Selene tombaient gracieusement contre sa peau opaline, jouant de cette couleur qu'il avait toujours su le faire réagir. Le soyeux de sa peau était visible, d'une douceur dont il ne pouvait pas profiter, ne se permettant pas de plonger entre les cuisses fines de ses danseuses. Indifférent, en apparence, il s'enfonçait dans le creux de sa chaise, enfermant le bois de la chaise entre ses mains puissantes. La rousse était la seule à avoir quelques bénéfices. Ceux de ne pas coucher avec les hommes qui la lorgnait tant. Ceux de ne pas briser ce petit corps qui le fascinait tant. La musique avançait et sa peau devenait de plus en plus visible. Il adorait cette façon qu'elle avait de se ployer devant lui. Cette étrange sensation qui se mélangeait à un mépris sans borne. Il s'était joué d'elle. Ses rêves. Sa vie. Elle avait perdu tellement de choses en se jetant aveuglement dans ses bras, confiant cet espoir de renom qu'elle gardait secrètement en elle. Elle dansait. Pas ce qu'elle aurait cru. Pas ce qu'elle aurait voulu. Manipuler son esprit. Ses rêves. Sa vie. Moriarty était prise au piège. Brisée. Perdue.

La musique s'estompa. Les vêtements se faisaient peu présents. La foule ne se calmait pas. Enchanteresse sirène qu'elle était.

[Date d'inscription]

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La chaleur. La douce chaleur de corps en sueur. Le bruit qui circulait comme une rumeur dans le creux de ses oreilles, soufflant contre ses tympans des douces mélodies de jouissance. C'était bien plus qu'une boîte d'effeuillage. Il se passait des choses dont seul Kitaëv était au courant, les filles et les clients concernés. Douces captives qu'elles étaient, les filles qu'il avait pris soin de choisir, lui et ses quelques acolytes. Semeur de faux rêves. Briseur de vie. C'est exactement ce qu'il était. Le russe jouait des mots, s'amusait à déformer cette réalité. Certaine était ici de leur plein gré et d'autre prisonnière. Colombe doucereuse entre des barreaux trop étroits pour pouvoir s'y glisser, pour s'enfuir. Le pire était qu'il n'avait pas besoin de les enfermer, des les contraindre. Elles l'étaient, mais elle pouvait jouir d'une liberté de mouvement restreint dans cette ville. Elles n'avaient pas le choix, de revenir jour après jour, de se perdre dans des vices, de perdre leur âme à tout jamais. Entre les doigts de Nikolaï, elles étaient adroitement manipulées, se pliant trop souvent à ses exigences et ses envies. Lui. Il ne profitait pas de leur coeur, des danses charnelles et enivrantes. De marbre. De glace. Il les choisissait avec soin pour les laisser se perdre dans un cruel destin. Ouvrir les jambes. Se laisser prendre sans cette envie qui ronge les reins, qui réchauffe le corps. Se laisser posséder par des hommes qui ne les attirait pas, pas des hommes qu'elles méprisaient plus que tout.

La musique se fit plutôt silencieuse, laissant la femme qui devait danser sortir de scène. Les cris d'excitation des hommes se faisait entendre de son bureau. Cette rage. Ces foutues pulsions qu'il connaissait si bien. Quelques règles subsistaient tout de même dans ce bordel. Pas de violence. Les danseuses ne pouvaient dire non aux demandes d'un homme, mais il était hors de questions qu'elles soient maltraités. Surement quelque chose d'étroitement relié à son passé. Trop de contradictions dans son esprit, trop de blessures, trop de mal. Le russe finit par se lever de sa chaise, fermant la porte derrière lui. Porte qui se barrait automatiquement. Hors de question que qui que ce soit viennent mettre le nez dans ses affaires. Il monta les quelques escaliers qui le séparait de la salle. La tension était palpable, comme toujours.

Il se posa contre une chaise, dans le fond de la salle. Il savait parfaitement qui allait entrer sur scène, qui allait se perdre dans une dans lascive et sensuelle. Elle entra sur scène. Petite chose fragile qu'elle était à ses yeux. Petit être qu'il aurait pu briser entre ses doigts trop agiles. Elle le détestait de toute son âme, de tout ce qu'elle pouvait avoir de haine en elle. Le russe le savait. Il voyait cette lueur malsaine briller dans le fond de ses yeux. À ses yeux, elle avait ce quelque chose de différent. Cette fougue. Cette façon d'onduler à même de rendre fou. De le rendre fou. Ses iris profonds la sondait de loin. Analysant ses traits, ce regard maintenant trop vide, cette automatisme dans ses gestes. Elles se perdaient toutes. Elle n'y échapperait surement pas. La musique retentit. La foule s'emporta. Lui. Il restait toujours aussi froid, comme s'il était dénué de la moindre parcelle de sentiment humain. Comme s'il était incapable de ressentir quoi que ce soit. C'était faux. Atteint. Atteint d'une maladie incurable qui le rongeait depuis trop longtemps. La folie. Cette folie qui l'avait fait se rendre aussi loin. Se perdre aussi loin.

Les cheveux de Selene tombaient gracieusement contre sa peau opaline, jouant de cette couleur qu'il avait toujours su le faire réagir. Le soyeux de sa peau était visible, d'une douceur dont il ne pouvait pas profiter, ne se permettant pas de plonger entre les cuisses fines de ses danseuses. Indifférent, en apparence, il s'enfonçait dans le creux de sa chaise, enfermant le bois de la chaise entre ses mains puissantes. La rousse était la seule à avoir quelques bénéfices. Ceux de ne pas coucher avec les hommes qui la lorgnait tant. Ceux de ne pas briser ce petit corps qui le fascinait tant. La musique avançait et sa peau devenait de plus en plus visible. Il adorait cette façon qu'elle avait de se ployer devant lui. Cette étrange sensation qui se mélangeait à un mépris sans borne. Il s'était joué d'elle. Ses rêves. Sa vie. Elle avait perdu tellement de choses en se jetant aveuglement dans ses bras, confiant cet espoir de renom qu'elle gardait secrètement en elle. Elle dansait. Pas ce qu'elle aurait cru. Pas ce qu'elle aurait voulu. Manipuler son esprit. Ses rêves. Sa vie. Moriarty était prise au piège. Brisée. Perdue.

La musique s'estompa. Les vêtements se faisaient peu présents. La foule ne se calmait pas. Enchanteresse sirène qu'elle était.

[nouveau venu]

hit me baby one more time
Ft. Nikolaï & Selene

Une petite musique courait dans ses veines, ses écouteurs sur les oreilles Selene essayait autant que possible d'échapper à cet enfer qui la retenait prisonnière. Elle savait qu'elle devait monter une nouvelle fois sur cette scène qui n'était en rien ce qu'elle avait pu imaginer dans ses rêves les plus fous. La sueur, les effluves d'alcool, voilà ce qui était son quotidien à présent. Elle s'était faite à l'odeur du moins elle le pensait avant d'avoir un nouveau haut le coeur. Sa main nerveuse passait dans ses cheveux alors qu'elle les laissait retomber en cascade sur son dos. Un sourire ironique était apparu sur ses lèvres alors que les premières notes de " They don't care about us " résonnait dans ses oreilles. Selene se perdait sur le reflet que lui renvoyer le miroir, elle n'était plus la même son innoncence avait fini par l'abandonner. La jeune fille frêle et naïve avait disparu, ils avaient réussi à la détruire même si elle savait qu'au fond il pourrait lui arriver bien pire. La peur avait envahit son corps avant qu'une main se pose sur son épaule. La jeune femme avait alors sursauter avant de voir que ce n'était qu'une des filles qui lui annonçait que c'était à son tour d'aller distraire ces gros " porcs " Pour elle, y avait pas meilleure définition pour d'écrire ce genre d'homme. Un souffle avait franchit ses lèvres, elle essayait de se donner du courage sans y parvenir pour autant. La musique envahissait son être et bizarrement elle préférait fermer les yeux plutôt que d'affronter ceux de la foule. Les morceaux de tissus tomber comme les pétales d'une fleur alors que le brouhaha de la salle montait au fur et à mesure qu'elle se retrouvait en tenue d’Ève. Préférant s'évader, Selene n'avait pas remarqué ses yeux sombres se poser sur elle.

La jeune femme n'avait pas perdue de temps pour quitter la scène à la fin de sa chanson. A peine un coup d’œil furtif à la salle alors que son rythme cardiaque s'était à peine accéléré. Ce n'était pas de la danse pour elle et c'était loin de ce qu'elle pouvait réellement faire. Le minimum, après tout on ne lui avait pas dit d'en faire plus et elle n'avait pas vraiment envie de leur en donner plus. La jeune femme avait passé une chemise pour cacher ses formes avant de se rendre compte qu'elle avait oublié de demander une bouteille d'eau. Son regard se perdait sur la foule, elle appréhendait le fait de se retrouver parmi ses hommes. Ses dents torturaient sa lèvre inférieure, de toute façon elle n'avait pas vraiment le choix. 3 mètres avant d'atteindre le bar. Selene se voyait déjà atteindre son but cependant elle aurait dû se méfier un peu plus. Une main puissante venait d'attraper son poignet, instinctivement elle voulait se libérer en s'aidant de sa main libre. _ Lâchez-moi. Son regard s'était posé sur le visage d'u type en question avant d'avoir malgré elle une grimace de dégoût. Petite taille, le double de son poids et des yeux jaunis surement dû à une sur consommation d'alcool. En plus du reste, il avait ce sourire lubrique qui avait fait monter sa peur presque constante en flèche. _ Je vous en prie NON LÂCHEZ-MOI... Son ton de voix était suppliant alors qu'il n'avait aucun mal à la tirer vers les salles qui se trouvaient un peu plus en retrait. Son regard cherchait de l'aide autour d'elle mais personne n'avait l'air de remarquer ce qui se passait sous leur nez. Comment pouvait-on se comporter ainsi ? Elles n'étaient que vulgaire poupée, des objets avec lesquels on pouvait s'amuser à sa guise. Il en était hors de question, Selene se débattait donnant du mal à celui qui était devenu son bourreau. Alors ça se passerait ainsi, elle était sa prisonnière et personne n'allait lever le petit doigt pour la sauver.  

La jeune femme essayait de s'agripper à tout ce qui lui passait sous la main cependant c'était peine perdue. Les larmes venaient d'envahir ses yeux alors qu'elle regardait sur les tables après tout elle pourrait peut être lui donner un coup sur la tête. Bon, elle savait aussi qu'elle s'attirait surement des ennuis en faisant cela surtout s'il s'avérait que le type en question était un bon client de la boîte. Rien à faire... Selene voyait les salles se rapprocher et une fois à l'intérieur il serait trop tard, elle ne pourrait plus s'échapper. Une solution, elle avait amené ses dents sur le bras du type et avait serré aussi fort qu'elle le pouvait alors qu'un cri guttural venait de s'élever dans la salle. Se retrouvant libre, elle avait perçu cependant dans le regard du type qu'elle allait lui payer le fait de ne pas se conduire en gentille petite esclave bien disciplinée. Il venait de lever la main et allait l'abattre sur elle alors que Selene baissait la tête dans un automatisme.  

[vos points]

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Ft. Nikolaï & Selene

Une petite musique courait dans ses veines, ses écouteurs sur les oreilles Selene essayait autant que possible d'échapper à cet enfer qui la retenait prisonnière. Elle savait qu'elle devait monter une nouvelle fois sur cette scène qui n'était en rien ce qu'elle avait pu imaginer dans ses rêves les plus fous. La sueur, les effluves d'alcool, voilà ce qui était son quotidien à présent. Elle s'était faite à l'odeur du moins elle le pensait avant d'avoir un nouveau haut le coeur. Sa main nerveuse passait dans ses cheveux alors qu'elle les laissait retomber en cascade sur son dos. Un sourire ironique était apparu sur ses lèvres alors que les premières notes de " They don't care about us " résonnait dans ses oreilles. Selene se perdait sur le reflet que lui renvoyer le miroir, elle n'était plus la même son innoncence avait fini par l'abandonner. La jeune fille frêle et naïve avait disparu, ils avaient réussi à la détruire même si elle savait qu'au fond il pourrait lui arriver bien pire. La peur avait envahit son corps avant qu'une main se pose sur son épaule. La jeune femme avait alors sursauter avant de voir que ce n'était qu'une des filles qui lui annonçait que c'était à son tour d'aller distraire ces gros " porcs " Pour elle, y avait pas meilleure définition pour d'écrire ce genre d'homme. Un souffle avait franchit ses lèvres, elle essayait de se donner du courage sans y parvenir pour autant. La musique envahissait son être et bizarrement elle préférait fermer les yeux plutôt que d'affronter ceux de la foule. Les morceaux de tissus tomber comme les pétales d'une fleur alors que le brouhaha de la salle montait au fur et à mesure qu'elle se retrouvait en tenue d’Ève. Préférant s'évader, Selene n'avait pas remarqué ses yeux sombres se poser sur elle.

La jeune femme n'avait pas perdue de temps pour quitter la scène à la fin de sa chanson. A peine un coup d’œil furtif à la salle alors que son rythme cardiaque s'était à peine accéléré. Ce n'était pas de la danse pour elle et c'était loin de ce qu'elle pouvait réellement faire. Le minimum, après tout on ne lui avait pas dit d'en faire plus et elle n'avait pas vraiment envie de leur en donner plus. La jeune femme avait passé une chemise pour cacher ses formes avant de se rendre compte qu'elle avait oublié de demander une bouteille d'eau. Son regard se perdait sur la foule, elle appréhendait le fait de se retrouver parmi ses hommes. Ses dents torturaient sa lèvre inférieure, de toute façon elle n'avait pas vraiment le choix. 3 mètres avant d'atteindre le bar. Selene se voyait déjà atteindre son but cependant elle aurait dû se méfier un peu plus. Une main puissante venait d'attraper son poignet, instinctivement elle voulait se libérer en s'aidant de sa main libre. _ Lâchez-moi. Son regard s'était posé sur le visage d'u type en question avant d'avoir malgré elle une grimace de dégoût. Petite taille, le double de son poids et des yeux jaunis surement dû à une sur consommation d'alcool. En plus du reste, il avait ce sourire lubrique qui avait fait monter sa peur presque constante en flèche. _ Je vous en prie NON LÂCHEZ-MOI... Son ton de voix était suppliant alors qu'il n'avait aucun mal à la tirer vers les salles qui se trouvaient un peu plus en retrait. Son regard cherchait de l'aide autour d'elle mais personne n'avait l'air de remarquer ce qui se passait sous leur nez. Comment pouvait-on se comporter ainsi ? Elles n'étaient que vulgaire poupée, des objets avec lesquels on pouvait s'amuser à sa guise. Il en était hors de question, Selene se débattait donnant du mal à celui qui était devenu son bourreau. Alors ça se passerait ainsi, elle était sa prisonnière et personne n'allait lever le petit doigt pour la sauver.  

La jeune femme essayait de s'agripper à tout ce qui lui passait sous la main cependant c'était peine perdue. Les larmes venaient d'envahir ses yeux alors qu'elle regardait sur les tables après tout elle pourrait peut être lui donner un coup sur la tête. Bon, elle savait aussi qu'elle s'attirait surement des ennuis en faisant cela surtout s'il s'avérait que le type en question était un bon client de la boîte. Rien à faire... Selene voyait les salles se rapprocher et une fois à l'intérieur il serait trop tard, elle ne pourrait plus s'échapper. Une solution, elle avait amené ses dents sur le bras du type et avait serré aussi fort qu'elle le pouvait alors qu'un cri guttural venait de s'élever dans la salle. Se retrouvant libre, elle avait perçu cependant dans le regard du type qu'elle allait lui payer le fait de ne pas se conduire en gentille petite esclave bien disciplinée. Il venait de lever la main et allait l'abattre sur elle alors que Selene baissait la tête dans un automatisme.  

[Messages]

hit me baby one more time
Ft. Nikolaï & Selene

Une petite musique courait dans ses veines, ses écouteurs sur les oreilles Selene essayait autant que possible d'échapper à cet enfer qui la retenait prisonnière. Elle savait qu'elle devait monter une nouvelle fois sur cette scène qui n'était en rien ce qu'elle avait pu imaginer dans ses rêves les plus fous. La sueur, les effluves d'alcool, voilà ce qui était son quotidien à présent. Elle s'était faite à l'odeur du moins elle le pensait avant d'avoir un nouveau haut le coeur. Sa main nerveuse passait dans ses cheveux alors qu'elle les laissait retomber en cascade sur son dos. Un sourire ironique était apparu sur ses lèvres alors que les premières notes de " They don't care about us " résonnait dans ses oreilles. Selene se perdait sur le reflet que lui renvoyer le miroir, elle n'était plus la même son innoncence avait fini par l'abandonner. La jeune fille frêle et naïve avait disparu, ils avaient réussi à la détruire même si elle savait qu'au fond il pourrait lui arriver bien pire. La peur avait envahit son corps avant qu'une main se pose sur son épaule. La jeune femme avait alors sursauter avant de voir que ce n'était qu'une des filles qui lui annonçait que c'était à son tour d'aller distraire ces gros " porcs " Pour elle, y avait pas meilleure définition pour d'écrire ce genre d'homme. Un souffle avait franchit ses lèvres, elle essayait de se donner du courage sans y parvenir pour autant. La musique envahissait son être et bizarrement elle préférait fermer les yeux plutôt que d'affronter ceux de la foule. Les morceaux de tissus tomber comme les pétales d'une fleur alors que le brouhaha de la salle montait au fur et à mesure qu'elle se retrouvait en tenue d’Ève. Préférant s'évader, Selene n'avait pas remarqué ses yeux sombres se poser sur elle.

La jeune femme n'avait pas perdue de temps pour quitter la scène à la fin de sa chanson. A peine un coup d’œil furtif à la salle alors que son rythme cardiaque s'était à peine accéléré. Ce n'était pas de la danse pour elle et c'était loin de ce qu'elle pouvait réellement faire. Le minimum, après tout on ne lui avait pas dit d'en faire plus et elle n'avait pas vraiment envie de leur en donner plus. La jeune femme avait passé une chemise pour cacher ses formes avant de se rendre compte qu'elle avait oublié de demander une bouteille d'eau. Son regard se perdait sur la foule, elle appréhendait le fait de se retrouver parmi ses hommes. Ses dents torturaient sa lèvre inférieure, de toute façon elle n'avait pas vraiment le choix. 3 mètres avant d'atteindre le bar. Selene se voyait déjà atteindre son but cependant elle aurait dû se méfier un peu plus. Une main puissante venait d'attraper son poignet, instinctivement elle voulait se libérer en s'aidant de sa main libre. _ Lâchez-moi. Son regard s'était posé sur le visage d'u type en question avant d'avoir malgré elle une grimace de dégoût. Petite taille, le double de son poids et des yeux jaunis surement dû à une sur consommation d'alcool. En plus du reste, il avait ce sourire lubrique qui avait fait monter sa peur presque constante en flèche. _ Je vous en prie NON LÂCHEZ-MOI... Son ton de voix était suppliant alors qu'il n'avait aucun mal à la tirer vers les salles qui se trouvaient un peu plus en retrait. Son regard cherchait de l'aide autour d'elle mais personne n'avait l'air de remarquer ce qui se passait sous leur nez. Comment pouvait-on se comporter ainsi ? Elles n'étaient que vulgaire poupée, des objets avec lesquels on pouvait s'amuser à sa guise. Il en était hors de question, Selene se débattait donnant du mal à celui qui était devenu son bourreau. Alors ça se passerait ainsi, elle était sa prisonnière et personne n'allait lever le petit doigt pour la sauver.  

La jeune femme essayait de s'agripper à tout ce qui lui passait sous la main cependant c'était peine perdue. Les larmes venaient d'envahir ses yeux alors qu'elle regardait sur les tables après tout elle pourrait peut être lui donner un coup sur la tête. Bon, elle savait aussi qu'elle s'attirait surement des ennuis en faisant cela surtout s'il s'avérait que le type en question était un bon client de la boîte. Rien à faire... Selene voyait les salles se rapprocher et une fois à l'intérieur il serait trop tard, elle ne pourrait plus s'échapper. Une solution, elle avait amené ses dents sur le bras du type et avait serré aussi fort qu'elle le pouvait alors qu'un cri guttural venait de s'élever dans la salle. Se retrouvant libre, elle avait perçu cependant dans le regard du type qu'elle allait lui payer le fait de ne pas se conduire en gentille petite esclave bien disciplinée. Il venait de lever la main et allait l'abattre sur elle alors que Selene baissait la tête dans un automatisme.  

[Date d'inscription]

hit me baby one more time
Ft. Nikolaï & Selene

Une petite musique courait dans ses veines, ses écouteurs sur les oreilles Selene essayait autant que possible d'échapper à cet enfer qui la retenait prisonnière. Elle savait qu'elle devait monter une nouvelle fois sur cette scène qui n'était en rien ce qu'elle avait pu imaginer dans ses rêves les plus fous. La sueur, les effluves d'alcool, voilà ce qui était son quotidien à présent. Elle s'était faite à l'odeur du moins elle le pensait avant d'avoir un nouveau haut le coeur. Sa main nerveuse passait dans ses cheveux alors qu'elle les laissait retomber en cascade sur son dos. Un sourire ironique était apparu sur ses lèvres alors que les premières notes de " They don't care about us " résonnait dans ses oreilles. Selene se perdait sur le reflet que lui renvoyer le miroir, elle n'était plus la même son innoncence avait fini par l'abandonner. La jeune fille frêle et naïve avait disparu, ils avaient réussi à la détruire même si elle savait qu'au fond il pourrait lui arriver bien pire. La peur avait envahit son corps avant qu'une main se pose sur son épaule. La jeune femme avait alors sursauter avant de voir que ce n'était qu'une des filles qui lui annonçait que c'était à son tour d'aller distraire ces gros " porcs " Pour elle, y avait pas meilleure définition pour d'écrire ce genre d'homme. Un souffle avait franchit ses lèvres, elle essayait de se donner du courage sans y parvenir pour autant. La musique envahissait son être et bizarrement elle préférait fermer les yeux plutôt que d'affronter ceux de la foule. Les morceaux de tissus tomber comme les pétales d'une fleur alors que le brouhaha de la salle montait au fur et à mesure qu'elle se retrouvait en tenue d’Ève. Préférant s'évader, Selene n'avait pas remarqué ses yeux sombres se poser sur elle.

La jeune femme n'avait pas perdue de temps pour quitter la scène à la fin de sa chanson. A peine un coup d’œil furtif à la salle alors que son rythme cardiaque s'était à peine accéléré. Ce n'était pas de la danse pour elle et c'était loin de ce qu'elle pouvait réellement faire. Le minimum, après tout on ne lui avait pas dit d'en faire plus et elle n'avait pas vraiment envie de leur en donner plus. La jeune femme avait passé une chemise pour cacher ses formes avant de se rendre compte qu'elle avait oublié de demander une bouteille d'eau. Son regard se perdait sur la foule, elle appréhendait le fait de se retrouver parmi ses hommes. Ses dents torturaient sa lèvre inférieure, de toute façon elle n'avait pas vraiment le choix. 3 mètres avant d'atteindre le bar. Selene se voyait déjà atteindre son but cependant elle aurait dû se méfier un peu plus. Une main puissante venait d'attraper son poignet, instinctivement elle voulait se libérer en s'aidant de sa main libre. _ Lâchez-moi. Son regard s'était posé sur le visage d'u type en question avant d'avoir malgré elle une grimace de dégoût. Petite taille, le double de son poids et des yeux jaunis surement dû à une sur consommation d'alcool. En plus du reste, il avait ce sourire lubrique qui avait fait monter sa peur presque constante en flèche. _ Je vous en prie NON LÂCHEZ-MOI... Son ton de voix était suppliant alors qu'il n'avait aucun mal à la tirer vers les salles qui se trouvaient un peu plus en retrait. Son regard cherchait de l'aide autour d'elle mais personne n'avait l'air de remarquer ce qui se passait sous leur nez. Comment pouvait-on se comporter ainsi ? Elles n'étaient que vulgaire poupée, des objets avec lesquels on pouvait s'amuser à sa guise. Il en était hors de question, Selene se débattait donnant du mal à celui qui était devenu son bourreau. Alors ça se passerait ainsi, elle était sa prisonnière et personne n'allait lever le petit doigt pour la sauver.  

La jeune femme essayait de s'agripper à tout ce qui lui passait sous la main cependant c'était peine perdue. Les larmes venaient d'envahir ses yeux alors qu'elle regardait sur les tables après tout elle pourrait peut être lui donner un coup sur la tête. Bon, elle savait aussi qu'elle s'attirait surement des ennuis en faisant cela surtout s'il s'avérait que le type en question était un bon client de la boîte. Rien à faire... Selene voyait les salles se rapprocher et une fois à l'intérieur il serait trop tard, elle ne pourrait plus s'échapper. Une solution, elle avait amené ses dents sur le bras du type et avait serré aussi fort qu'elle le pouvait alors qu'un cri guttural venait de s'élever dans la salle. Se retrouvant libre, elle avait perçu cependant dans le regard du type qu'elle allait lui payer le fait de ne pas se conduire en gentille petite esclave bien disciplinée. Il venait de lever la main et allait l'abattre sur elle alors que Selene baissait la tête dans un automatisme.  

[fondateur]

hit me baby one more time
Il n'aimait pas qu'on lui désobéisse. Cet endroit n'avait rien de saint ou de normale, mais il y avait des règles. Des règles bien stricte et la rousse faisait partie de règle qu'il avait décidé. Pas de violence envers les femmes. S'ils voulaient plus qu'une danse il fallait payer avant de se rendre dans une des chambres. Contrairement à ce que les clients pouvaient penser, il y avait pas mal d'hommes de main engager pour veiller à ce que tout se passe comme il se doit. Nikolaï était dans la salle, souvent, à lorgner les échanges et les évènements.  L'alcool et la drogue avait tendance à mener au désordre et il le savait parfaitement. Si les clients voulaient expérimenter des jeux plus que malsain, il n'avait qu'à acheter une des femmes. De cette façon, elle ne serait plus sous les ordre du russe et était à la merci de son tortionnaire. D'une certaine façon, elles étaient mieux ici que dans les murs d'un autre endroit que ce bar. Les règles étaient précisent et il n'aimait pas qu'on les transgresse.

Elle fit apparition sur la scène, laissant son cors frêle se mouvoir au rythme de la musique. Il savait qu'elle pouvait faire mieux, qu'elle n'offrait pas réellement tout son potentiel, mais qu'importe. Depuis son arrivée, elle était la favorites des clients et Nikolaï subissait souvent des excès de colère face au restrictions qu'il donnait envers elle. Ce n'est pas quelques ivrognes qui allaient lui faire peur ou le faire changer d'idée. Selene n'ouvrait pas les cuisses. Elle n'était pas à vendre. Elle n'était qu'une simple danseuse attisant l'envie de bien des hommes. Cette pureté à même de les rendre fou. Sa peau opaline et satinée. Dans le fond de la salle, il laissait son regard froid observer ses formes, détournant le regard à la fin de cette danse. Des femmes nues. Il passait la plus grande partie de son temps à les voir. Ca ne l'allumait pas. Ce le laissait bien indifférent. Sauf elle. Douce colombe entre ses doigts trop ferme. C'est ce qu'elle était. Prise au piège sous cette possessivité maladive qu'il posait sur elle. Hors de question qu'elle parte, qu'elle quitte cet endroit, qu'elle retourne dans sa ville natale, à cette vie plus qu'ennuyante. Elle le méprisait surement. Le haïssant de tout ce petit corps frêle. Le maudissant comme elle le pouvait. Le musique s'estompa. Jamais il ne prenait la peine de regarder les numéros. Moriarty était la seule à être apte de le captiver, d'attirer son attention.

Elle disparu. Laissant la foule sur sa faim. Laissant les hommes rêver de ses courbes fines, se plaisant à s'imaginer prendre possession de son coeur, se faire tortionnaire de son entrecuisse. Les compliments ne faisaient pas partie de sa personnalité, mais il savait que la demoiselle avait un don particulier pour captiver l'attention. Il le savait. Le russe en avait pleinement conscience. Malgré l'insensibilité de son âme, il savait qu'au fond d'elle dormait un talent non exploité, non poussé jusqu'au bout. Elle se faufila dans l'arrière scène, laissant un manque palpable dans l'air qu'il ne manqua pas de remarquer. Heureusement que la prochaine danseuse apparu de toute cette fausse somptuosité, de ce jeu malsain qu'elles finissaient par se créer au court des années. Il se leva, laissant ses pas se perdre dans la foule, ayant l'obligation de se perdre à nouveau dans quelques paperasses qui avaient toutes d'ennuyantes. Elle l'obnubilait, surement sans le vouloir ou se rendre compte qu'elle attirait son attention pour autres choses que l'argent. Il ne se laissait pas d'observer cette peau opaline, de regarder ses traits, de voir cette haine dans le fond de ses pupilles. Nikolaï le savait. Il se doutait de ce mal qui la rongeait, de cette tristesse qui devait la prendre trop souvent, à même de la faire suffoquer ou paniquer. Elle était là. Prise au piège entre ses mains trop habiles capable de lui faire ployer l'échine.

Une plainte subtile. Un cri qui se faisait entendre alors que le russe se résignait à retourner à cette besogne qui le lui faisait plus envie. Il pressa le pas, se fiant aux sons qui lui parvenaient pour atterrir sur cette scène. Jamais il ne lui avait donné cette obligation qu'il donnait aux autres, celle d'ouvrir ses cuisses à qui le demandait. Un privilège qui lui accordait ou une furtive jalousie qui se faisait ressentir en lui? Hors de question de savoir que d'autres bêtes se perdaient entre ses jambes si fragiles. Lui qui ne connaissait que souffrance et haine, se refusait à franchir cette limite. Sûrement pas par compassion, mais par contrôle. Cette scène faisait naître en lui une rage qui ne voyait pas souvent le jour. Petite colombe prise entre les mains grasses qui ne se retenaient de parcourir ses courbes si fragiles. Il s'avança, laissant en écho sonore ses pas résonner. D'une main ferme, il attrapa l'homme par le rebord de son chandail afin de le percuter contre le mur opposé. Le souffle de son adversaire se coupa dans une surprise qu'il ne pouvait cacher. Son avant-bras se pressa contre sa gorge avec violence, laissant les tremblements prendre possession de ce pervers, de cet homme qui ne savait pas garder le contrôler. De ce client régulier s'amusant à transgresser les règles. Ses règles. Le russe s'approcha, plongeant son regard dans le fond des pupilles engourdis sous l'alcool qui coulait dans son sang. Il n'avait pas l'étoffe d'un sauveur et sûrement pas celui qu'elle avait envie de voir surgir, mais c'était lui. « Une règle et tu n'es pas capable de la respecter. On ne force pas les demoiselles et on doit réserver une chambre et celle qui vous fait envie. Rien n'est fait. Ce serait beaucoup plus sage de partir.» La pression était plus prenante contre sa gorge, contraignant la respiration qui peinait à se rendre à ses poumons. Il tentait de se débattre, mais les mains puissantes du russe avait un avantage particulier sur lui. Quelques minutes. Le temps de le faire paniquer et il le lâcha pour le voir s'enfuir rapidement.

Il fit quelques pas, s'approchant de cette créature qu'il ne cernait que très mal, laissant son regard froid se poser dans le sien. La peur encore lisible sur le moindre de ses traits. Aucuns gestes de tendresse ne prenaient place en lui, il ne connaissait que ce mal qui s'étendait autour de lui. « Ça va?» Un pas de plus, réduisant un peu trop cette distance qu'il y avait entre eux, rendant intime ce moment qui n'aurait pas dû l'être. Ses pupilles se contentaient d'analyser les expressions qui passaient sur son visage, tentant de comprendre le mystère qu'elle était pour lui. Un sauveur qui n'en avait pourtant pas l'étoffe. Il ne voulait pas qu'elle souffre encore plus, même s'il jubilait de la voir soumise à sa présence, à son emprise.

[vos points]

hit me baby one more time
Il n'aimait pas qu'on lui désobéisse. Cet endroit n'avait rien de saint ou de normale, mais il y avait des règles. Des règles bien stricte et la rousse faisait partie de règle qu'il avait décidé. Pas de violence envers les femmes. S'ils voulaient plus qu'une danse il fallait payer avant de se rendre dans une des chambres. Contrairement à ce que les clients pouvaient penser, il y avait pas mal d'hommes de main engager pour veiller à ce que tout se passe comme il se doit. Nikolaï était dans la salle, souvent, à lorgner les échanges et les évènements.  L'alcool et la drogue avait tendance à mener au désordre et il le savait parfaitement. Si les clients voulaient expérimenter des jeux plus que malsain, il n'avait qu'à acheter une des femmes. De cette façon, elle ne serait plus sous les ordre du russe et était à la merci de son tortionnaire. D'une certaine façon, elles étaient mieux ici que dans les murs d'un autre endroit que ce bar. Les règles étaient précisent et il n'aimait pas qu'on les transgresse.

Elle fit apparition sur la scène, laissant son cors frêle se mouvoir au rythme de la musique. Il savait qu'elle pouvait faire mieux, qu'elle n'offrait pas réellement tout son potentiel, mais qu'importe. Depuis son arrivée, elle était la favorites des clients et Nikolaï subissait souvent des excès de colère face au restrictions qu'il donnait envers elle. Ce n'est pas quelques ivrognes qui allaient lui faire peur ou le faire changer d'idée. Selene n'ouvrait pas les cuisses. Elle n'était pas à vendre. Elle n'était qu'une simple danseuse attisant l'envie de bien des hommes. Cette pureté à même de les rendre fou. Sa peau opaline et satinée. Dans le fond de la salle, il laissait son regard froid observer ses formes, détournant le regard à la fin de cette danse. Des femmes nues. Il passait la plus grande partie de son temps à les voir. Ca ne l'allumait pas. Ce le laissait bien indifférent. Sauf elle. Douce colombe entre ses doigts trop ferme. C'est ce qu'elle était. Prise au piège sous cette possessivité maladive qu'il posait sur elle. Hors de question qu'elle parte, qu'elle quitte cet endroit, qu'elle retourne dans sa ville natale, à cette vie plus qu'ennuyante. Elle le méprisait surement. Le haïssant de tout ce petit corps frêle. Le maudissant comme elle le pouvait. Le musique s'estompa. Jamais il ne prenait la peine de regarder les numéros. Moriarty était la seule à être apte de le captiver, d'attirer son attention.

Elle disparu. Laissant la foule sur sa faim. Laissant les hommes rêver de ses courbes fines, se plaisant à s'imaginer prendre possession de son coeur, se faire tortionnaire de son entrecuisse. Les compliments ne faisaient pas partie de sa personnalité, mais il savait que la demoiselle avait un don particulier pour captiver l'attention. Il le savait. Le russe en avait pleinement conscience. Malgré l'insensibilité de son âme, il savait qu'au fond d'elle dormait un talent non exploité, non poussé jusqu'au bout. Elle se faufila dans l'arrière scène, laissant un manque palpable dans l'air qu'il ne manqua pas de remarquer. Heureusement que la prochaine danseuse apparu de toute cette fausse somptuosité, de ce jeu malsain qu'elles finissaient par se créer au court des années. Il se leva, laissant ses pas se perdre dans la foule, ayant l'obligation de se perdre à nouveau dans quelques paperasses qui avaient toutes d'ennuyantes. Elle l'obnubilait, surement sans le vouloir ou se rendre compte qu'elle attirait son attention pour autres choses que l'argent. Il ne se laissait pas d'observer cette peau opaline, de regarder ses traits, de voir cette haine dans le fond de ses pupilles. Nikolaï le savait. Il se doutait de ce mal qui la rongeait, de cette tristesse qui devait la prendre trop souvent, à même de la faire suffoquer ou paniquer. Elle était là. Prise au piège entre ses mains trop habiles capable de lui faire ployer l'échine.

Une plainte subtile. Un cri qui se faisait entendre alors que le russe se résignait à retourner à cette besogne qui le lui faisait plus envie. Il pressa le pas, se fiant aux sons qui lui parvenaient pour atterrir sur cette scène. Jamais il ne lui avait donné cette obligation qu'il donnait aux autres, celle d'ouvrir ses cuisses à qui le demandait. Un privilège qui lui accordait ou une furtive jalousie qui se faisait ressentir en lui? Hors de question de savoir que d'autres bêtes se perdaient entre ses jambes si fragiles. Lui qui ne connaissait que souffrance et haine, se refusait à franchir cette limite. Sûrement pas par compassion, mais par contrôle. Cette scène faisait naître en lui une rage qui ne voyait pas souvent le jour. Petite colombe prise entre les mains grasses qui ne se retenaient de parcourir ses courbes si fragiles. Il s'avança, laissant en écho sonore ses pas résonner. D'une main ferme, il attrapa l'homme par le rebord de son chandail afin de le percuter contre le mur opposé. Le souffle de son adversaire se coupa dans une surprise qu'il ne pouvait cacher. Son avant-bras se pressa contre sa gorge avec violence, laissant les tremblements prendre possession de ce pervers, de cet homme qui ne savait pas garder le contrôler. De ce client régulier s'amusant à transgresser les règles. Ses règles. Le russe s'approcha, plongeant son regard dans le fond des pupilles engourdis sous l'alcool qui coulait dans son sang. Il n'avait pas l'étoffe d'un sauveur et sûrement pas celui qu'elle avait envie de voir surgir, mais c'était lui. « Une règle et tu n'es pas capable de la respecter. On ne force pas les demoiselles et on doit réserver une chambre et celle qui vous fait envie. Rien n'est fait. Ce serait beaucoup plus sage de partir.» La pression était plus prenante contre sa gorge, contraignant la respiration qui peinait à se rendre à ses poumons. Il tentait de se débattre, mais les mains puissantes du russe avait un avantage particulier sur lui. Quelques minutes. Le temps de le faire paniquer et il le lâcha pour le voir s'enfuir rapidement.

Il fit quelques pas, s'approchant de cette créature qu'il ne cernait que très mal, laissant son regard froid se poser dans le sien. La peur encore lisible sur le moindre de ses traits. Aucuns gestes de tendresse ne prenaient place en lui, il ne connaissait que ce mal qui s'étendait autour de lui. « Ça va?» Un pas de plus, réduisant un peu trop cette distance qu'il y avait entre eux, rendant intime ce moment qui n'aurait pas dû l'être. Ses pupilles se contentaient d'analyser les expressions qui passaient sur son visage, tentant de comprendre le mystère qu'elle était pour lui. Un sauveur qui n'en avait pourtant pas l'étoffe. Il ne voulait pas qu'elle souffre encore plus, même s'il jubilait de la voir soumise à sa présence, à son emprise.

[Messages]

hit me baby one more time
Il n'aimait pas qu'on lui désobéisse. Cet endroit n'avait rien de saint ou de normale, mais il y avait des règles. Des règles bien stricte et la rousse faisait partie de règle qu'il avait décidé. Pas de violence envers les femmes. S'ils voulaient plus qu'une danse il fallait payer avant de se rendre dans une des chambres. Contrairement à ce que les clients pouvaient penser, il y avait pas mal d'hommes de main engager pour veiller à ce que tout se passe comme il se doit. Nikolaï était dans la salle, souvent, à lorgner les échanges et les évènements.  L'alcool et la drogue avait tendance à mener au désordre et il le savait parfaitement. Si les clients voulaient expérimenter des jeux plus que malsain, il n'avait qu'à acheter une des femmes. De cette façon, elle ne serait plus sous les ordre du russe et était à la merci de son tortionnaire. D'une certaine façon, elles étaient mieux ici que dans les murs d'un autre endroit que ce bar. Les règles étaient précisent et il n'aimait pas qu'on les transgresse.

Elle fit apparition sur la scène, laissant son cors frêle se mouvoir au rythme de la musique. Il savait qu'elle pouvait faire mieux, qu'elle n'offrait pas réellement tout son potentiel, mais qu'importe. Depuis son arrivée, elle était la favorites des clients et Nikolaï subissait souvent des excès de colère face au restrictions qu'il donnait envers elle. Ce n'est pas quelques ivrognes qui allaient lui faire peur ou le faire changer d'idée. Selene n'ouvrait pas les cuisses. Elle n'était pas à vendre. Elle n'était qu'une simple danseuse attisant l'envie de bien des hommes. Cette pureté à même de les rendre fou. Sa peau opaline et satinée. Dans le fond de la salle, il laissait son regard froid observer ses formes, détournant le regard à la fin de cette danse. Des femmes nues. Il passait la plus grande partie de son temps à les voir. Ca ne l'allumait pas. Ce le laissait bien indifférent. Sauf elle. Douce colombe entre ses doigts trop ferme. C'est ce qu'elle était. Prise au piège sous cette possessivité maladive qu'il posait sur elle. Hors de question qu'elle parte, qu'elle quitte cet endroit, qu'elle retourne dans sa ville natale, à cette vie plus qu'ennuyante. Elle le méprisait surement. Le haïssant de tout ce petit corps frêle. Le maudissant comme elle le pouvait. Le musique s'estompa. Jamais il ne prenait la peine de regarder les numéros. Moriarty était la seule à être apte de le captiver, d'attirer son attention.

Elle disparu. Laissant la foule sur sa faim. Laissant les hommes rêver de ses courbes fines, se plaisant à s'imaginer prendre possession de son coeur, se faire tortionnaire de son entrecuisse. Les compliments ne faisaient pas partie de sa personnalité, mais il savait que la demoiselle avait un don particulier pour captiver l'attention. Il le savait. Le russe en avait pleinement conscience. Malgré l'insensibilité de son âme, il savait qu'au fond d'elle dormait un talent non exploité, non poussé jusqu'au bout. Elle se faufila dans l'arrière scène, laissant un manque palpable dans l'air qu'il ne manqua pas de remarquer. Heureusement que la prochaine danseuse apparu de toute cette fausse somptuosité, de ce jeu malsain qu'elles finissaient par se créer au court des années. Il se leva, laissant ses pas se perdre dans la foule, ayant l'obligation de se perdre à nouveau dans quelques paperasses qui avaient toutes d'ennuyantes. Elle l'obnubilait, surement sans le vouloir ou se rendre compte qu'elle attirait son attention pour autres choses que l'argent. Il ne se laissait pas d'observer cette peau opaline, de regarder ses traits, de voir cette haine dans le fond de ses pupilles. Nikolaï le savait. Il se doutait de ce mal qui la rongeait, de cette tristesse qui devait la prendre trop souvent, à même de la faire suffoquer ou paniquer. Elle était là. Prise au piège entre ses mains trop habiles capable de lui faire ployer l'échine.

Une plainte subtile. Un cri qui se faisait entendre alors que le russe se résignait à retourner à cette besogne qui le lui faisait plus envie. Il pressa le pas, se fiant aux sons qui lui parvenaient pour atterrir sur cette scène. Jamais il ne lui avait donné cette obligation qu'il donnait aux autres, celle d'ouvrir ses cuisses à qui le demandait. Un privilège qui lui accordait ou une furtive jalousie qui se faisait ressentir en lui? Hors de question de savoir que d'autres bêtes se perdaient entre ses jambes si fragiles. Lui qui ne connaissait que souffrance et haine, se refusait à franchir cette limite. Sûrement pas par compassion, mais par contrôle. Cette scène faisait naître en lui une rage qui ne voyait pas souvent le jour. Petite colombe prise entre les mains grasses qui ne se retenaient de parcourir ses courbes si fragiles. Il s'avança, laissant en écho sonore ses pas résonner. D'une main ferme, il attrapa l'homme par le rebord de son chandail afin de le percuter contre le mur opposé. Le souffle de son adversaire se coupa dans une surprise qu'il ne pouvait cacher. Son avant-bras se pressa contre sa gorge avec violence, laissant les tremblements prendre possession de ce pervers, de cet homme qui ne savait pas garder le contrôler. De ce client régulier s'amusant à transgresser les règles. Ses règles. Le russe s'approcha, plongeant son regard dans le fond des pupilles engourdis sous l'alcool qui coulait dans son sang. Il n'avait pas l'étoffe d'un sauveur et sûrement pas celui qu'elle avait envie de voir surgir, mais c'était lui. « Une règle et tu n'es pas capable de la respecter. On ne force pas les demoiselles et on doit réserver une chambre et celle qui vous fait envie. Rien n'est fait. Ce serait beaucoup plus sage de partir.» La pression était plus prenante contre sa gorge, contraignant la respiration qui peinait à se rendre à ses poumons. Il tentait de se débattre, mais les mains puissantes du russe avait un avantage particulier sur lui. Quelques minutes. Le temps de le faire paniquer et il le lâcha pour le voir s'enfuir rapidement.

Il fit quelques pas, s'approchant de cette créature qu'il ne cernait que très mal, laissant son regard froid se poser dans le sien. La peur encore lisible sur le moindre de ses traits. Aucuns gestes de tendresse ne prenaient place en lui, il ne connaissait que ce mal qui s'étendait autour de lui. « Ça va?» Un pas de plus, réduisant un peu trop cette distance qu'il y avait entre eux, rendant intime ce moment qui n'aurait pas dû l'être. Ses pupilles se contentaient d'analyser les expressions qui passaient sur son visage, tentant de comprendre le mystère qu'elle était pour lui. Un sauveur qui n'en avait pourtant pas l'étoffe. Il ne voulait pas qu'elle souffre encore plus, même s'il jubilait de la voir soumise à sa présence, à son emprise.

[Date d'inscription]

hit me baby one more time
Il n'aimait pas qu'on lui désobéisse. Cet endroit n'avait rien de saint ou de normale, mais il y avait des règles. Des règles bien stricte et la rousse faisait partie de règle qu'il avait décidé. Pas de violence envers les femmes. S'ils voulaient plus qu'une danse il fallait payer avant de se rendre dans une des chambres. Contrairement à ce que les clients pouvaient penser, il y avait pas mal d'hommes de main engager pour veiller à ce que tout se passe comme il se doit. Nikolaï était dans la salle, souvent, à lorgner les échanges et les évènements.  L'alcool et la drogue avait tendance à mener au désordre et il le savait parfaitement. Si les clients voulaient expérimenter des jeux plus que malsain, il n'avait qu'à acheter une des femmes. De cette façon, elle ne serait plus sous les ordre du russe et était à la merci de son tortionnaire. D'une certaine façon, elles étaient mieux ici que dans les murs d'un autre endroit que ce bar. Les règles étaient précisent et il n'aimait pas qu'on les transgresse.

Elle fit apparition sur la scène, laissant son cors frêle se mouvoir au rythme de la musique. Il savait qu'elle pouvait faire mieux, qu'elle n'offrait pas réellement tout son potentiel, mais qu'importe. Depuis son arrivée, elle était la favorites des clients et Nikolaï subissait souvent des excès de colère face au restrictions qu'il donnait envers elle. Ce n'est pas quelques ivrognes qui allaient lui faire peur ou le faire changer d'idée. Selene n'ouvrait pas les cuisses. Elle n'était pas à vendre. Elle n'était qu'une simple danseuse attisant l'envie de bien des hommes. Cette pureté à même de les rendre fou. Sa peau opaline et satinée. Dans le fond de la salle, il laissait son regard froid observer ses formes, détournant le regard à la fin de cette danse. Des femmes nues. Il passait la plus grande partie de son temps à les voir. Ca ne l'allumait pas. Ce le laissait bien indifférent. Sauf elle. Douce colombe entre ses doigts trop ferme. C'est ce qu'elle était. Prise au piège sous cette possessivité maladive qu'il posait sur elle. Hors de question qu'elle parte, qu'elle quitte cet endroit, qu'elle retourne dans sa ville natale, à cette vie plus qu'ennuyante. Elle le méprisait surement. Le haïssant de tout ce petit corps frêle. Le maudissant comme elle le pouvait. Le musique s'estompa. Jamais il ne prenait la peine de regarder les numéros. Moriarty était la seule à être apte de le captiver, d'attirer son attention.

Elle disparu. Laissant la foule sur sa faim. Laissant les hommes rêver de ses courbes fines, se plaisant à s'imaginer prendre possession de son coeur, se faire tortionnaire de son entrecuisse. Les compliments ne faisaient pas partie de sa personnalité, mais il savait que la demoiselle avait un don particulier pour captiver l'attention. Il le savait. Le russe en avait pleinement conscience. Malgré l'insensibilité de son âme, il savait qu'au fond d'elle dormait un talent non exploité, non poussé jusqu'au bout. Elle se faufila dans l'arrière scène, laissant un manque palpable dans l'air qu'il ne manqua pas de remarquer. Heureusement que la prochaine danseuse apparu de toute cette fausse somptuosité, de ce jeu malsain qu'elles finissaient par se créer au court des années. Il se leva, laissant ses pas se perdre dans la foule, ayant l'obligation de se perdre à nouveau dans quelques paperasses qui avaient toutes d'ennuyantes. Elle l'obnubilait, surement sans le vouloir ou se rendre compte qu'elle attirait son attention pour autres choses que l'argent. Il ne se laissait pas d'observer cette peau opaline, de regarder ses traits, de voir cette haine dans le fond de ses pupilles. Nikolaï le savait. Il se doutait de ce mal qui la rongeait, de cette tristesse qui devait la prendre trop souvent, à même de la faire suffoquer ou paniquer. Elle était là. Prise au piège entre ses mains trop habiles capable de lui faire ployer l'échine.

Une plainte subtile. Un cri qui se faisait entendre alors que le russe se résignait à retourner à cette besogne qui le lui faisait plus envie. Il pressa le pas, se fiant aux sons qui lui parvenaient pour atterrir sur cette scène. Jamais il ne lui avait donné cette obligation qu'il donnait aux autres, celle d'ouvrir ses cuisses à qui le demandait. Un privilège qui lui accordait ou une furtive jalousie qui se faisait ressentir en lui? Hors de question de savoir que d'autres bêtes se perdaient entre ses jambes si fragiles. Lui qui ne connaissait que souffrance et haine, se refusait à franchir cette limite. Sûrement pas par compassion, mais par contrôle. Cette scène faisait naître en lui une rage qui ne voyait pas souvent le jour. Petite colombe prise entre les mains grasses qui ne se retenaient de parcourir ses courbes si fragiles. Il s'avança, laissant en écho sonore ses pas résonner. D'une main ferme, il attrapa l'homme par le rebord de son chandail afin de le percuter contre le mur opposé. Le souffle de son adversaire se coupa dans une surprise qu'il ne pouvait cacher. Son avant-bras se pressa contre sa gorge avec violence, laissant les tremblements prendre possession de ce pervers, de cet homme qui ne savait pas garder le contrôler. De ce client régulier s'amusant à transgresser les règles. Ses règles. Le russe s'approcha, plongeant son regard dans le fond des pupilles engourdis sous l'alcool qui coulait dans son sang. Il n'avait pas l'étoffe d'un sauveur et sûrement pas celui qu'elle avait envie de voir surgir, mais c'était lui. « Une règle et tu n'es pas capable de la respecter. On ne force pas les demoiselles et on doit réserver une chambre et celle qui vous fait envie. Rien n'est fait. Ce serait beaucoup plus sage de partir.» La pression était plus prenante contre sa gorge, contraignant la respiration qui peinait à se rendre à ses poumons. Il tentait de se débattre, mais les mains puissantes du russe avait un avantage particulier sur lui. Quelques minutes. Le temps de le faire paniquer et il le lâcha pour le voir s'enfuir rapidement.

Il fit quelques pas, s'approchant de cette créature qu'il ne cernait que très mal, laissant son regard froid se poser dans le sien. La peur encore lisible sur le moindre de ses traits. Aucuns gestes de tendresse ne prenaient place en lui, il ne connaissait que ce mal qui s'étendait autour de lui. « Ça va?» Un pas de plus, réduisant un peu trop cette distance qu'il y avait entre eux, rendant intime ce moment qui n'aurait pas dû l'être. Ses pupilles se contentaient d'analyser les expressions qui passaient sur son visage, tentant de comprendre le mystère qu'elle était pour lui. Un sauveur qui n'en avait pourtant pas l'étoffe. Il ne voulait pas qu'elle souffre encore plus, même s'il jubilait de la voir soumise à sa présence, à son emprise.

[nouveau venu]

hit me baby one more time
Ft. Nikolaï & Selene

Le temps s'était arrêté, Selene attendait que la sentence tombe alors qu'elle passait sa langue sur ses dents. Elle avait ressentit du plaisir à laisser son empreinte dans la chair du bras de ce porc. Frêle et fragile, seulement Selene était loin de vouloir se laisser faire. Les yeux fermés, son esprit vagabondait loin de ce bordel. Elle se revoyait danser avec sa mère alors qu'elle avait à peine 5 ans alors que son père lui passait son temps rivé l’œil à sa caméra. Un léger sourire s'était dessiné sur les lèvres de la jeune femme. Douce pensée réconfortante qui réussirait peut être à apaiser la correction qu'elle était sur la point de recevoir. Cependant, la jeune femme avait repris pied avec la réalité en reconnaissant que trop bien cette voix. Son regard s'était considérablement assombris alors que son sourire avait disparu, elle haïssait cet homme et sentait une colère démesurée envahir son être. C'était pas sa faute si elle se retrouvait dans cet endroit et si elle devait abandonner tout espoir de pouvoir retrouver les siens. Mais plus fort que tout, elle devait abandonner l'idée d'être un jour la danseuse qu'elle a toujours voulu devenir. Un sursaut, elle avait été surprise par la force de Nikolaï pour maintenir ce " client " contre le mur. Selene aurait pu trahir le fait d'être satisfaite de la scène qui se déroulait ses yeux après tout y en avait un qui faisait moins le malin à présent. Seulement une nouvelle fois, si j'étais dans cette situation c'était à cause de mon dit "sauveur ". Sa main venait frotter légèrement son poignet endolori alors qu'elle ne savait si elle devait rester ou partir se réfugier dans les loges. Cependant, ses jambes ne semblaient pas vouloir bouger, Selene ne voulait pas se l'avouer mais elle était presque attirée par ce mystère que représentait Nikolaï, ce côté dangereux mais quelque part aussi cette infime sentiment de protection. C'était parfaitement contradictoire et Selene n'essayait pas de comprendre ce flot de sentiment qui se mélangeait dans sa tête. Une règle ? Elle avait froncé les sourcils alors qu'un frisson avait parcouru son dos. Une question restait en suspens sur les lèvres de la jeune femme. Pourquoi pas elle ? Selene n'était pas aveugle et encore moins sourde. les filles parlaient et elle savait qu'elles ne trouvaient pas normal que Selene ne soit pas elle aussi obligée d’écarter les cuisses. Elle en était là dans ses réflexions quand elle avait levé les yeux sur le visage impassible de Nikolaï. En pas en arrière, elle ne voulait pas se trouver trop près de cet homme. Selene savait qu'elle aurait très bien pu le gifler, il osait lui demander comment elle allait c'était plutôt délacée pour elle. La jeune femme avait relevé son regard pour croiser celui de Nikolaï. _ Vous voulez la vérité ou alors c'est juste pour vous donnez bonne conscience ? Bien qu'en réalité, je pense que vous ne soyez pas le genre d'homme à vous souciez de votre conscience. Mon regard avait soutenu le sien l'espace d'un instant avant que je ne baisse la tête, refermant les pans de ma chemise sur mon corps à moitié dénudé. Son sang bouillait littéralement, elle avait des questions à lui poser cependant elle n'était pas sûr qu'il prenne le temps d'y répondre.De plus ce n'était pas le bon endroit pour cela. Selene avait relevé son regard sur la salle croisant le regard d'autres filles qui visiblement se demandaient ce qui se passait. Ses mains serraient le tissus de sa chemise alors qu'elle se mordillait la lèvre inférieure, elle n'en revenait pas de ce qu'elle allait dire car pour elle s'était signer son arrêt de mort. _ Je ne veux pas de traitement de faveur, je n'ai rien de plus que ces filles. Son regard s'était posée sur une jeune fille au loin, Selene était persuadée qu'elle était plus jeune qu'elle et ça avait l'air de plaire au type qui l'emmenait avec lui. Une expression de dégoût avait fait son apparition sur mon visage avant qu'elle se fasse violence pour retenir les larmes qui menaçaient de la trahir. Le visage de celui qui était son bourreau il y a quelques secondes de cela lui revenait en tête. Elle passait une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de baisser de nouveau le regard. _ Merci. Ce n'avait été qu'un murmure mais à l'instant où ils parlaient si Nikolaï n'avait pas été là, elle serait... Une main venait de se poser sur ses lèvres, elle ne se sentait pas bien et avait l'impression que ses jambes allaient se dérober sous elle. Faut dire qu'elle n'avait pas mangé de la journée mais en même temps à quoi bon, elle ne ressentait pas la faim ni même l'envie de quoi que ce soit.  

[vos points]

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Le temps s'était arrêté, Selene attendait que la sentence tombe alors qu'elle passait sa langue sur ses dents. Elle avait ressentit du plaisir à laisser son empreinte dans la chair du bras de ce porc. Frêle et fragile, seulement Selene était loin de vouloir se laisser faire. Les yeux fermés, son esprit vagabondait loin de ce bordel. Elle se revoyait danser avec sa mère alors qu'elle avait à peine 5 ans alors que son père lui passait son temps rivé l’œil à sa caméra. Un léger sourire s'était dessiné sur les lèvres de la jeune femme. Douce pensée réconfortante qui réussirait peut être à apaiser la correction qu'elle était sur la point de recevoir. Cependant, la jeune femme avait repris pied avec la réalité en reconnaissant que trop bien cette voix. Son regard s'était considérablement assombris alors que son sourire avait disparu, elle haïssait cet homme et sentait une colère démesurée envahir son être. C'était pas sa faute si elle se retrouvait dans cet endroit et si elle devait abandonner tout espoir de pouvoir retrouver les siens. Mais plus fort que tout, elle devait abandonner l'idée d'être un jour la danseuse qu'elle a toujours voulu devenir. Un sursaut, elle avait été surprise par la force de Nikolaï pour maintenir ce " client " contre le mur. Selene aurait pu trahir le fait d'être satisfaite de la scène qui se déroulait ses yeux après tout y en avait un qui faisait moins le malin à présent. Seulement une nouvelle fois, si j'étais dans cette situation c'était à cause de mon dit "sauveur ". Sa main venait frotter légèrement son poignet endolori alors qu'elle ne savait si elle devait rester ou partir se réfugier dans les loges. Cependant, ses jambes ne semblaient pas vouloir bouger, Selene ne voulait pas se l'avouer mais elle était presque attirée par ce mystère que représentait Nikolaï, ce côté dangereux mais quelque part aussi cette infime sentiment de protection. C'était parfaitement contradictoire et Selene n'essayait pas de comprendre ce flot de sentiment qui se mélangeait dans sa tête. Une règle ? Elle avait froncé les sourcils alors qu'un frisson avait parcouru son dos. Une question restait en suspens sur les lèvres de la jeune femme. Pourquoi pas elle ? Selene n'était pas aveugle et encore moins sourde. les filles parlaient et elle savait qu'elles ne trouvaient pas normal que Selene ne soit pas elle aussi obligée d’écarter les cuisses. Elle en était là dans ses réflexions quand elle avait levé les yeux sur le visage impassible de Nikolaï. En pas en arrière, elle ne voulait pas se trouver trop près de cet homme. Selene savait qu'elle aurait très bien pu le gifler, il osait lui demander comment elle allait c'était plutôt délacée pour elle. La jeune femme avait relevé son regard pour croiser celui de Nikolaï. _ Vous voulez la vérité ou alors c'est juste pour vous donnez bonne conscience ? Bien qu'en réalité, je pense que vous ne soyez pas le genre d'homme à vous souciez de votre conscience. Mon regard avait soutenu le sien l'espace d'un instant avant que je ne baisse la tête, refermant les pans de ma chemise sur mon corps à moitié dénudé. Son sang bouillait littéralement, elle avait des questions à lui poser cependant elle n'était pas sûr qu'il prenne le temps d'y répondre.De plus ce n'était pas le bon endroit pour cela. Selene avait relevé son regard sur la salle croisant le regard d'autres filles qui visiblement se demandaient ce qui se passait. Ses mains serraient le tissus de sa chemise alors qu'elle se mordillait la lèvre inférieure, elle n'en revenait pas de ce qu'elle allait dire car pour elle s'était signer son arrêt de mort. _ Je ne veux pas de traitement de faveur, je n'ai rien de plus que ces filles. Son regard s'était posée sur une jeune fille au loin, Selene était persuadée qu'elle était plus jeune qu'elle et ça avait l'air de plaire au type qui l'emmenait avec lui. Une expression de dégoût avait fait son apparition sur mon visage avant qu'elle se fasse violence pour retenir les larmes qui menaçaient de la trahir. Le visage de celui qui était son bourreau il y a quelques secondes de cela lui revenait en tête. Elle passait une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de baisser de nouveau le regard. _ Merci. Ce n'avait été qu'un murmure mais à l'instant où ils parlaient si Nikolaï n'avait pas été là, elle serait... Une main venait de se poser sur ses lèvres, elle ne se sentait pas bien et avait l'impression que ses jambes allaient se dérober sous elle. Faut dire qu'elle n'avait pas mangé de la journée mais en même temps à quoi bon, elle ne ressentait pas la faim ni même l'envie de quoi que ce soit.  

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Le temps s'était arrêté, Selene attendait que la sentence tombe alors qu'elle passait sa langue sur ses dents. Elle avait ressentit du plaisir à laisser son empreinte dans la chair du bras de ce porc. Frêle et fragile, seulement Selene était loin de vouloir se laisser faire. Les yeux fermés, son esprit vagabondait loin de ce bordel. Elle se revoyait danser avec sa mère alors qu'elle avait à peine 5 ans alors que son père lui passait son temps rivé l’œil à sa caméra. Un léger sourire s'était dessiné sur les lèvres de la jeune femme. Douce pensée réconfortante qui réussirait peut être à apaiser la correction qu'elle était sur la point de recevoir. Cependant, la jeune femme avait repris pied avec la réalité en reconnaissant que trop bien cette voix. Son regard s'était considérablement assombris alors que son sourire avait disparu, elle haïssait cet homme et sentait une colère démesurée envahir son être. C'était pas sa faute si elle se retrouvait dans cet endroit et si elle devait abandonner tout espoir de pouvoir retrouver les siens. Mais plus fort que tout, elle devait abandonner l'idée d'être un jour la danseuse qu'elle a toujours voulu devenir. Un sursaut, elle avait été surprise par la force de Nikolaï pour maintenir ce " client " contre le mur. Selene aurait pu trahir le fait d'être satisfaite de la scène qui se déroulait ses yeux après tout y en avait un qui faisait moins le malin à présent. Seulement une nouvelle fois, si j'étais dans cette situation c'était à cause de mon dit "sauveur ". Sa main venait frotter légèrement son poignet endolori alors qu'elle ne savait si elle devait rester ou partir se réfugier dans les loges. Cependant, ses jambes ne semblaient pas vouloir bouger, Selene ne voulait pas se l'avouer mais elle était presque attirée par ce mystère que représentait Nikolaï, ce côté dangereux mais quelque part aussi cette infime sentiment de protection. C'était parfaitement contradictoire et Selene n'essayait pas de comprendre ce flot de sentiment qui se mélangeait dans sa tête. Une règle ? Elle avait froncé les sourcils alors qu'un frisson avait parcouru son dos. Une question restait en suspens sur les lèvres de la jeune femme. Pourquoi pas elle ? Selene n'était pas aveugle et encore moins sourde. les filles parlaient et elle savait qu'elles ne trouvaient pas normal que Selene ne soit pas elle aussi obligée d’écarter les cuisses. Elle en était là dans ses réflexions quand elle avait levé les yeux sur le visage impassible de Nikolaï. En pas en arrière, elle ne voulait pas se trouver trop près de cet homme. Selene savait qu'elle aurait très bien pu le gifler, il osait lui demander comment elle allait c'était plutôt délacée pour elle. La jeune femme avait relevé son regard pour croiser celui de Nikolaï. _ Vous voulez la vérité ou alors c'est juste pour vous donnez bonne conscience ? Bien qu'en réalité, je pense que vous ne soyez pas le genre d'homme à vous souciez de votre conscience. Mon regard avait soutenu le sien l'espace d'un instant avant que je ne baisse la tête, refermant les pans de ma chemise sur mon corps à moitié dénudé. Son sang bouillait littéralement, elle avait des questions à lui poser cependant elle n'était pas sûr qu'il prenne le temps d'y répondre.De plus ce n'était pas le bon endroit pour cela. Selene avait relevé son regard sur la salle croisant le regard d'autres filles qui visiblement se demandaient ce qui se passait. Ses mains serraient le tissus de sa chemise alors qu'elle se mordillait la lèvre inférieure, elle n'en revenait pas de ce qu'elle allait dire car pour elle s'était signer son arrêt de mort. _ Je ne veux pas de traitement de faveur, je n'ai rien de plus que ces filles. Son regard s'était posée sur une jeune fille au loin, Selene était persuadée qu'elle était plus jeune qu'elle et ça avait l'air de plaire au type qui l'emmenait avec lui. Une expression de dégoût avait fait son apparition sur mon visage avant qu'elle se fasse violence pour retenir les larmes qui menaçaient de la trahir. Le visage de celui qui était son bourreau il y a quelques secondes de cela lui revenait en tête. Elle passait une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de baisser de nouveau le regard. _ Merci. Ce n'avait été qu'un murmure mais à l'instant où ils parlaient si Nikolaï n'avait pas été là, elle serait... Une main venait de se poser sur ses lèvres, elle ne se sentait pas bien et avait l'impression que ses jambes allaient se dérober sous elle. Faut dire qu'elle n'avait pas mangé de la journée mais en même temps à quoi bon, elle ne ressentait pas la faim ni même l'envie de quoi que ce soit.  

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Ft. Nikolaï & Selene

Le temps s'était arrêté, Selene attendait que la sentence tombe alors qu'elle passait sa langue sur ses dents. Elle avait ressentit du plaisir à laisser son empreinte dans la chair du bras de ce porc. Frêle et fragile, seulement Selene était loin de vouloir se laisser faire. Les yeux fermés, son esprit vagabondait loin de ce bordel. Elle se revoyait danser avec sa mère alors qu'elle avait à peine 5 ans alors que son père lui passait son temps rivé l’œil à sa caméra. Un léger sourire s'était dessiné sur les lèvres de la jeune femme. Douce pensée réconfortante qui réussirait peut être à apaiser la correction qu'elle était sur la point de recevoir. Cependant, la jeune femme avait repris pied avec la réalité en reconnaissant que trop bien cette voix. Son regard s'était considérablement assombris alors que son sourire avait disparu, elle haïssait cet homme et sentait une colère démesurée envahir son être. C'était pas sa faute si elle se retrouvait dans cet endroit et si elle devait abandonner tout espoir de pouvoir retrouver les siens. Mais plus fort que tout, elle devait abandonner l'idée d'être un jour la danseuse qu'elle a toujours voulu devenir. Un sursaut, elle avait été surprise par la force de Nikolaï pour maintenir ce " client " contre le mur. Selene aurait pu trahir le fait d'être satisfaite de la scène qui se déroulait ses yeux après tout y en avait un qui faisait moins le malin à présent. Seulement une nouvelle fois, si j'étais dans cette situation c'était à cause de mon dit "sauveur ". Sa main venait frotter légèrement son poignet endolori alors qu'elle ne savait si elle devait rester ou partir se réfugier dans les loges. Cependant, ses jambes ne semblaient pas vouloir bouger, Selene ne voulait pas se l'avouer mais elle était presque attirée par ce mystère que représentait Nikolaï, ce côté dangereux mais quelque part aussi cette infime sentiment de protection. C'était parfaitement contradictoire et Selene n'essayait pas de comprendre ce flot de sentiment qui se mélangeait dans sa tête. Une règle ? Elle avait froncé les sourcils alors qu'un frisson avait parcouru son dos. Une question restait en suspens sur les lèvres de la jeune femme. Pourquoi pas elle ? Selene n'était pas aveugle et encore moins sourde. les filles parlaient et elle savait qu'elles ne trouvaient pas normal que Selene ne soit pas elle aussi obligée d’écarter les cuisses. Elle en était là dans ses réflexions quand elle avait levé les yeux sur le visage impassible de Nikolaï. En pas en arrière, elle ne voulait pas se trouver trop près de cet homme. Selene savait qu'elle aurait très bien pu le gifler, il osait lui demander comment elle allait c'était plutôt délacée pour elle. La jeune femme avait relevé son regard pour croiser celui de Nikolaï. _ Vous voulez la vérité ou alors c'est juste pour vous donnez bonne conscience ? Bien qu'en réalité, je pense que vous ne soyez pas le genre d'homme à vous souciez de votre conscience. Mon regard avait soutenu le sien l'espace d'un instant avant que je ne baisse la tête, refermant les pans de ma chemise sur mon corps à moitié dénudé. Son sang bouillait littéralement, elle avait des questions à lui poser cependant elle n'était pas sûr qu'il prenne le temps d'y répondre.De plus ce n'était pas le bon endroit pour cela. Selene avait relevé son regard sur la salle croisant le regard d'autres filles qui visiblement se demandaient ce qui se passait. Ses mains serraient le tissus de sa chemise alors qu'elle se mordillait la lèvre inférieure, elle n'en revenait pas de ce qu'elle allait dire car pour elle s'était signer son arrêt de mort. _ Je ne veux pas de traitement de faveur, je n'ai rien de plus que ces filles. Son regard s'était posée sur une jeune fille au loin, Selene était persuadée qu'elle était plus jeune qu'elle et ça avait l'air de plaire au type qui l'emmenait avec lui. Une expression de dégoût avait fait son apparition sur mon visage avant qu'elle se fasse violence pour retenir les larmes qui menaçaient de la trahir. Le visage de celui qui était son bourreau il y a quelques secondes de cela lui revenait en tête. Elle passait une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de baisser de nouveau le regard. _ Merci. Ce n'avait été qu'un murmure mais à l'instant où ils parlaient si Nikolaï n'avait pas été là, elle serait... Une main venait de se poser sur ses lèvres, elle ne se sentait pas bien et avait l'impression que ses jambes allaient se dérober sous elle. Faut dire qu'elle n'avait pas mangé de la journée mais en même temps à quoi bon, elle ne ressentait pas la faim ni même l'envie de quoi que ce soit.  

[fondateur]

hit me baby one more time

Petite chose fragile à même de se laisser prendre dans des tourbillons de vices pouvant amplement déstabiliser ses esprits. La demoiselle n'était pas faite pour ce monde dans lequel il avait décidé de l'y emmener. Danse suave, corps envoutants, musique entêtante. Y perdre son esprit était choses fréquentes. Il n'y avait pas que la danse, que la musique, mais des choses encore pires se passaient dans les tréfonds de cet endroit. Trafic humain. Vente de corps féminins qu'il s'appropriait sans le moindre remords. Cette haine en lui. Cette souffrance qui avait fini par le rendre fou, détruire ce reste d'humanité qui aurait pu subsister dans le fond de son être. Se perdre. Laisser son âme divaguer dans les vices à même de le ronger encore plus, de détruire la moindre chose qui se dressait devant lui. Une rage prenante. Douce folie qui souffle sur les vies pour lesquelles il n'avait pas de considération.

Il laissait son regard se poser sur elle. Douce colombe dont il devenait lentement dépendant, marquant son esprit sans qu'il ne puisse se détacher d'elle, de cette image gravée dans son esprit, son crâne. Cette hargne. Cette haine. Ses doigts se serraient quelque peu autour du cou d de cet homme qui dépassait les règles. Il aimait que les choses soient exécutées selon son envie et de voir cette scène faisait monter ce mal à lui. Le souffle court. Le pervers se cambrait de couleur, tentant de se détacher de cette poigne trop ferme autour de son cou. Mot soufflé de rage alors qu'il relâchait cet étau autour de son cou, laissant l'air entrer dans les poumons du client à nouveau. Quelques mots bredouillés. Le malaise. Malaise qui se glissait sur sa peau, s'infiltrant lentement dans son être pour lui mettre le feu aux joues. Il le dévisagea. Il partit aussi rapidement qu'il avait pu attirer la rousse dans le couloir. Le silence. Un simple poison néfaste qu'il pouvait être, mais le blond savait user de son intelligence pour comprendre le fond des pensées de la demoiselle. C'était facile. Facile de deviner comment elle pouvait le mépriser. Loin d'elle l'idée de deviner qu'il la désirait d'une façon qu'il ne pouvait contrôler, qu'elle hantait son esprit. Jamais le gérant de la boîte n'avait enfreint ses propres règles. Abuser d'un des corps de ses filles. Ce n'était pas lui de se payer une femme. Il savait avoir ce qu'il voulait de la bonne façon.

Elle parlait. Il fit un pas pour s'approcher d'elle. Jamais il ne prenait la peine de s'approcher, de la laisser entrer dans son espace vital voulant éviter de faire un faux pas. Le choix avait été facile. Qu'elle se laisse prendre par un autre de cet endroit ne faisait pas partie des plans du russe. Sirène tentatrice à même de captiver son attention, de le faire dérouter et prendre un chemin autre. Sensation qu'il méprisait. Ses iris céruléens dessinaient chaque partie de son visage, observant les émotions qui pouvaient s'y dessiner, cette haine dans le fond de ses prunelles. Quoi répondre. Il était un monstre inapte à ressentir le moindre sentiment positif. Sa conscience. Il avait dû la laisser avec cette vie qu'il enfouissait dans le fond de ses entrailles. Les mots qu'elle souffla eurent le don de le faire sourire. Rictus qui étirait ses lèvres alors qu'il s'approcha un peu d'elle pour attraper son poignet, question qu'elle se s'active. Qu'elle marche. Qu'elle le suive. C'est ce qu'elle voulait? Pourquoi ne pas écouter les requêtes de la demoiselle. Il ne voulait pas. Cette foutue jalousie à même de le rendre fou. Aucune envie de savoir les mains d'un autre passer sur sa peau opaline. « C'est ce que tu désires. Je peux retourner chercher notre client fidèle. Il se fera un plaisir de payer pour toi.» La froideur dans se voix, le vide dans ses yeux et ce visage impassible qui ne le quittait pas. Une certaine colère brûlait pourtant dans le fond de son corps, l'animant, le faisant vivre pendant ces années qu'il méprisait, détruisait. Sa voix faible se fit entendre une fois de plus. Il s'arrêta, laissant ses yeux se poser sur elle.

Elle était fébrile. Trop fragile. Cette vie n'était pas faite pour elle. La demoiselle allait se perdre. Se briser en éclat de verre pour se laisser emporter par le vent. Le russe le savait. Si seulement les remords pour prendre possession de son être, le faire penser convenablement. Il s'arrêta. Laissant la voix de la belle lui parvenir. Il l'observa une fois de plus. Le visage de la demoiselle changeait, laissant une couleur trop pâle y prendre place. Quelque chose n'allait pas. Il n'avait aucune connaissance dans les malaises, mais elle ne semblait pas dans un de ses meilleurs jours. Si seulement elle en avait ici. Il posa ses mains contre les épaules de la demoiselle afin de la faire pivoter pour que son dos frêle s'appuie contre le mur, question qu'elle ne tombe pas. « Tu devrais t'asseoir.» Il n'avait pas envie qu'elle s'écroule sur le sol. Il n'avait pas envie de prendre soin d'elle parce qu'il était simplement inapte à le faire. Pas de tendresse. Pas de douceur. Il n'y avait que cette noirceur à même de le rendre fou.

[vos points]

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Petite chose fragile à même de se laisser prendre dans des tourbillons de vices pouvant amplement déstabiliser ses esprits. La demoiselle n'était pas faite pour ce monde dans lequel il avait décidé de l'y emmener. Danse suave, corps envoutants, musique entêtante. Y perdre son esprit était choses fréquentes. Il n'y avait pas que la danse, que la musique, mais des choses encore pires se passaient dans les tréfonds de cet endroit. Trafic humain. Vente de corps féminins qu'il s'appropriait sans le moindre remords. Cette haine en lui. Cette souffrance qui avait fini par le rendre fou, détruire ce reste d'humanité qui aurait pu subsister dans le fond de son être. Se perdre. Laisser son âme divaguer dans les vices à même de le ronger encore plus, de détruire la moindre chose qui se dressait devant lui. Une rage prenante. Douce folie qui souffle sur les vies pour lesquelles il n'avait pas de considération.

Il laissait son regard se poser sur elle. Douce colombe dont il devenait lentement dépendant, marquant son esprit sans qu'il ne puisse se détacher d'elle, de cette image gravée dans son esprit, son crâne. Cette hargne. Cette haine. Ses doigts se serraient quelque peu autour du cou d de cet homme qui dépassait les règles. Il aimait que les choses soient exécutées selon son envie et de voir cette scène faisait monter ce mal à lui. Le souffle court. Le pervers se cambrait de couleur, tentant de se détacher de cette poigne trop ferme autour de son cou. Mot soufflé de rage alors qu'il relâchait cet étau autour de son cou, laissant l'air entrer dans les poumons du client à nouveau. Quelques mots bredouillés. Le malaise. Malaise qui se glissait sur sa peau, s'infiltrant lentement dans son être pour lui mettre le feu aux joues. Il le dévisagea. Il partit aussi rapidement qu'il avait pu attirer la rousse dans le couloir. Le silence. Un simple poison néfaste qu'il pouvait être, mais le blond savait user de son intelligence pour comprendre le fond des pensées de la demoiselle. C'était facile. Facile de deviner comment elle pouvait le mépriser. Loin d'elle l'idée de deviner qu'il la désirait d'une façon qu'il ne pouvait contrôler, qu'elle hantait son esprit. Jamais le gérant de la boîte n'avait enfreint ses propres règles. Abuser d'un des corps de ses filles. Ce n'était pas lui de se payer une femme. Il savait avoir ce qu'il voulait de la bonne façon.

Elle parlait. Il fit un pas pour s'approcher d'elle. Jamais il ne prenait la peine de s'approcher, de la laisser entrer dans son espace vital voulant éviter de faire un faux pas. Le choix avait été facile. Qu'elle se laisse prendre par un autre de cet endroit ne faisait pas partie des plans du russe. Sirène tentatrice à même de captiver son attention, de le faire dérouter et prendre un chemin autre. Sensation qu'il méprisait. Ses iris céruléens dessinaient chaque partie de son visage, observant les émotions qui pouvaient s'y dessiner, cette haine dans le fond de ses prunelles. Quoi répondre. Il était un monstre inapte à ressentir le moindre sentiment positif. Sa conscience. Il avait dû la laisser avec cette vie qu'il enfouissait dans le fond de ses entrailles. Les mots qu'elle souffla eurent le don de le faire sourire. Rictus qui étirait ses lèvres alors qu'il s'approcha un peu d'elle pour attraper son poignet, question qu'elle se s'active. Qu'elle marche. Qu'elle le suive. C'est ce qu'elle voulait? Pourquoi ne pas écouter les requêtes de la demoiselle. Il ne voulait pas. Cette foutue jalousie à même de le rendre fou. Aucune envie de savoir les mains d'un autre passer sur sa peau opaline. « C'est ce que tu désires. Je peux retourner chercher notre client fidèle. Il se fera un plaisir de payer pour toi.» La froideur dans se voix, le vide dans ses yeux et ce visage impassible qui ne le quittait pas. Une certaine colère brûlait pourtant dans le fond de son corps, l'animant, le faisant vivre pendant ces années qu'il méprisait, détruisait. Sa voix faible se fit entendre une fois de plus. Il s'arrêta, laissant ses yeux se poser sur elle.

Elle était fébrile. Trop fragile. Cette vie n'était pas faite pour elle. La demoiselle allait se perdre. Se briser en éclat de verre pour se laisser emporter par le vent. Le russe le savait. Si seulement les remords pour prendre possession de son être, le faire penser convenablement. Il s'arrêta. Laissant la voix de la belle lui parvenir. Il l'observa une fois de plus. Le visage de la demoiselle changeait, laissant une couleur trop pâle y prendre place. Quelque chose n'allait pas. Il n'avait aucune connaissance dans les malaises, mais elle ne semblait pas dans un de ses meilleurs jours. Si seulement elle en avait ici. Il posa ses mains contre les épaules de la demoiselle afin de la faire pivoter pour que son dos frêle s'appuie contre le mur, question qu'elle ne tombe pas. « Tu devrais t'asseoir.» Il n'avait pas envie qu'elle s'écroule sur le sol. Il n'avait pas envie de prendre soin d'elle parce qu'il était simplement inapte à le faire. Pas de tendresse. Pas de douceur. Il n'y avait que cette noirceur à même de le rendre fou.

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hit me baby one more time

Petite chose fragile à même de se laisser prendre dans des tourbillons de vices pouvant amplement déstabiliser ses esprits. La demoiselle n'était pas faite pour ce monde dans lequel il avait décidé de l'y emmener. Danse suave, corps envoutants, musique entêtante. Y perdre son esprit était choses fréquentes. Il n'y avait pas que la danse, que la musique, mais des choses encore pires se passaient dans les tréfonds de cet endroit. Trafic humain. Vente de corps féminins qu'il s'appropriait sans le moindre remords. Cette haine en lui. Cette souffrance qui avait fini par le rendre fou, détruire ce reste d'humanité qui aurait pu subsister dans le fond de son être. Se perdre. Laisser son âme divaguer dans les vices à même de le ronger encore plus, de détruire la moindre chose qui se dressait devant lui. Une rage prenante. Douce folie qui souffle sur les vies pour lesquelles il n'avait pas de considération.

Il laissait son regard se poser sur elle. Douce colombe dont il devenait lentement dépendant, marquant son esprit sans qu'il ne puisse se détacher d'elle, de cette image gravée dans son esprit, son crâne. Cette hargne. Cette haine. Ses doigts se serraient quelque peu autour du cou d de cet homme qui dépassait les règles. Il aimait que les choses soient exécutées selon son envie et de voir cette scène faisait monter ce mal à lui. Le souffle court. Le pervers se cambrait de couleur, tentant de se détacher de cette poigne trop ferme autour de son cou. Mot soufflé de rage alors qu'il relâchait cet étau autour de son cou, laissant l'air entrer dans les poumons du client à nouveau. Quelques mots bredouillés. Le malaise. Malaise qui se glissait sur sa peau, s'infiltrant lentement dans son être pour lui mettre le feu aux joues. Il le dévisagea. Il partit aussi rapidement qu'il avait pu attirer la rousse dans le couloir. Le silence. Un simple poison néfaste qu'il pouvait être, mais le blond savait user de son intelligence pour comprendre le fond des pensées de la demoiselle. C'était facile. Facile de deviner comment elle pouvait le mépriser. Loin d'elle l'idée de deviner qu'il la désirait d'une façon qu'il ne pouvait contrôler, qu'elle hantait son esprit. Jamais le gérant de la boîte n'avait enfreint ses propres règles. Abuser d'un des corps de ses filles. Ce n'était pas lui de se payer une femme. Il savait avoir ce qu'il voulait de la bonne façon.

Elle parlait. Il fit un pas pour s'approcher d'elle. Jamais il ne prenait la peine de s'approcher, de la laisser entrer dans son espace vital voulant éviter de faire un faux pas. Le choix avait été facile. Qu'elle se laisse prendre par un autre de cet endroit ne faisait pas partie des plans du russe. Sirène tentatrice à même de captiver son attention, de le faire dérouter et prendre un chemin autre. Sensation qu'il méprisait. Ses iris céruléens dessinaient chaque partie de son visage, observant les émotions qui pouvaient s'y dessiner, cette haine dans le fond de ses prunelles. Quoi répondre. Il était un monstre inapte à ressentir le moindre sentiment positif. Sa conscience. Il avait dû la laisser avec cette vie qu'il enfouissait dans le fond de ses entrailles. Les mots qu'elle souffla eurent le don de le faire sourire. Rictus qui étirait ses lèvres alors qu'il s'approcha un peu d'elle pour attraper son poignet, question qu'elle se s'active. Qu'elle marche. Qu'elle le suive. C'est ce qu'elle voulait? Pourquoi ne pas écouter les requêtes de la demoiselle. Il ne voulait pas. Cette foutue jalousie à même de le rendre fou. Aucune envie de savoir les mains d'un autre passer sur sa peau opaline. « C'est ce que tu désires. Je peux retourner chercher notre client fidèle. Il se fera un plaisir de payer pour toi.» La froideur dans se voix, le vide dans ses yeux et ce visage impassible qui ne le quittait pas. Une certaine colère brûlait pourtant dans le fond de son corps, l'animant, le faisant vivre pendant ces années qu'il méprisait, détruisait. Sa voix faible se fit entendre une fois de plus. Il s'arrêta, laissant ses yeux se poser sur elle.

Elle était fébrile. Trop fragile. Cette vie n'était pas faite pour elle. La demoiselle allait se perdre. Se briser en éclat de verre pour se laisser emporter par le vent. Le russe le savait. Si seulement les remords pour prendre possession de son être, le faire penser convenablement. Il s'arrêta. Laissant la voix de la belle lui parvenir. Il l'observa une fois de plus. Le visage de la demoiselle changeait, laissant une couleur trop pâle y prendre place. Quelque chose n'allait pas. Il n'avait aucune connaissance dans les malaises, mais elle ne semblait pas dans un de ses meilleurs jours. Si seulement elle en avait ici. Il posa ses mains contre les épaules de la demoiselle afin de la faire pivoter pour que son dos frêle s'appuie contre le mur, question qu'elle ne tombe pas. « Tu devrais t'asseoir.» Il n'avait pas envie qu'elle s'écroule sur le sol. Il n'avait pas envie de prendre soin d'elle parce qu'il était simplement inapte à le faire. Pas de tendresse. Pas de douceur. Il n'y avait que cette noirceur à même de le rendre fou.

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Petite chose fragile à même de se laisser prendre dans des tourbillons de vices pouvant amplement déstabiliser ses esprits. La demoiselle n'était pas faite pour ce monde dans lequel il avait décidé de l'y emmener. Danse suave, corps envoutants, musique entêtante. Y perdre son esprit était choses fréquentes. Il n'y avait pas que la danse, que la musique, mais des choses encore pires se passaient dans les tréfonds de cet endroit. Trafic humain. Vente de corps féminins qu'il s'appropriait sans le moindre remords. Cette haine en lui. Cette souffrance qui avait fini par le rendre fou, détruire ce reste d'humanité qui aurait pu subsister dans le fond de son être. Se perdre. Laisser son âme divaguer dans les vices à même de le ronger encore plus, de détruire la moindre chose qui se dressait devant lui. Une rage prenante. Douce folie qui souffle sur les vies pour lesquelles il n'avait pas de considération.

Il laissait son regard se poser sur elle. Douce colombe dont il devenait lentement dépendant, marquant son esprit sans qu'il ne puisse se détacher d'elle, de cette image gravée dans son esprit, son crâne. Cette hargne. Cette haine. Ses doigts se serraient quelque peu autour du cou d de cet homme qui dépassait les règles. Il aimait que les choses soient exécutées selon son envie et de voir cette scène faisait monter ce mal à lui. Le souffle court. Le pervers se cambrait de couleur, tentant de se détacher de cette poigne trop ferme autour de son cou. Mot soufflé de rage alors qu'il relâchait cet étau autour de son cou, laissant l'air entrer dans les poumons du client à nouveau. Quelques mots bredouillés. Le malaise. Malaise qui se glissait sur sa peau, s'infiltrant lentement dans son être pour lui mettre le feu aux joues. Il le dévisagea. Il partit aussi rapidement qu'il avait pu attirer la rousse dans le couloir. Le silence. Un simple poison néfaste qu'il pouvait être, mais le blond savait user de son intelligence pour comprendre le fond des pensées de la demoiselle. C'était facile. Facile de deviner comment elle pouvait le mépriser. Loin d'elle l'idée de deviner qu'il la désirait d'une façon qu'il ne pouvait contrôler, qu'elle hantait son esprit. Jamais le gérant de la boîte n'avait enfreint ses propres règles. Abuser d'un des corps de ses filles. Ce n'était pas lui de se payer une femme. Il savait avoir ce qu'il voulait de la bonne façon.

Elle parlait. Il fit un pas pour s'approcher d'elle. Jamais il ne prenait la peine de s'approcher, de la laisser entrer dans son espace vital voulant éviter de faire un faux pas. Le choix avait été facile. Qu'elle se laisse prendre par un autre de cet endroit ne faisait pas partie des plans du russe. Sirène tentatrice à même de captiver son attention, de le faire dérouter et prendre un chemin autre. Sensation qu'il méprisait. Ses iris céruléens dessinaient chaque partie de son visage, observant les émotions qui pouvaient s'y dessiner, cette haine dans le fond de ses prunelles. Quoi répondre. Il était un monstre inapte à ressentir le moindre sentiment positif. Sa conscience. Il avait dû la laisser avec cette vie qu'il enfouissait dans le fond de ses entrailles. Les mots qu'elle souffla eurent le don de le faire sourire. Rictus qui étirait ses lèvres alors qu'il s'approcha un peu d'elle pour attraper son poignet, question qu'elle se s'active. Qu'elle marche. Qu'elle le suive. C'est ce qu'elle voulait? Pourquoi ne pas écouter les requêtes de la demoiselle. Il ne voulait pas. Cette foutue jalousie à même de le rendre fou. Aucune envie de savoir les mains d'un autre passer sur sa peau opaline. « C'est ce que tu désires. Je peux retourner chercher notre client fidèle. Il se fera un plaisir de payer pour toi.» La froideur dans se voix, le vide dans ses yeux et ce visage impassible qui ne le quittait pas. Une certaine colère brûlait pourtant dans le fond de son corps, l'animant, le faisant vivre pendant ces années qu'il méprisait, détruisait. Sa voix faible se fit entendre une fois de plus. Il s'arrêta, laissant ses yeux se poser sur elle.

Elle était fébrile. Trop fragile. Cette vie n'était pas faite pour elle. La demoiselle allait se perdre. Se briser en éclat de verre pour se laisser emporter par le vent. Le russe le savait. Si seulement les remords pour prendre possession de son être, le faire penser convenablement. Il s'arrêta. Laissant la voix de la belle lui parvenir. Il l'observa une fois de plus. Le visage de la demoiselle changeait, laissant une couleur trop pâle y prendre place. Quelque chose n'allait pas. Il n'avait aucune connaissance dans les malaises, mais elle ne semblait pas dans un de ses meilleurs jours. Si seulement elle en avait ici. Il posa ses mains contre les épaules de la demoiselle afin de la faire pivoter pour que son dos frêle s'appuie contre le mur, question qu'elle ne tombe pas. « Tu devrais t'asseoir.» Il n'avait pas envie qu'elle s'écroule sur le sol. Il n'avait pas envie de prendre soin d'elle parce qu'il était simplement inapte à le faire. Pas de tendresse. Pas de douceur. Il n'y avait que cette noirceur à même de le rendre fou.