[nouveau venu]

If you play, you play for keep.
Ft. Emrys Keynes & Trinity O'Hara

Une silhouette parcourant les miroirs de ce couloir étroit, cette robe rouge laissant apercevoir des courbes divines, une chevelure blonde laissant cette apparence indomptable, les talons portés par cette jeune résonnèrent à chaque pas qu’elle effectuait. Trinity parcourait le couloir la menant dans cette grande salle ! Les premières notes de musique retentirent et la voici apparaissant, aux yeux de tous, les bras croisés sur sa poitrine. Un soir comme les autres ? Non, pour elle, chaque soirs étaient différents, à chaque fois qu’un client passé le seuil de cet endroit, tout devait lui paraître nouveau et désirable à la fois. Souriant à quelques personnes présentes ici, elle se contentait de faire un tour des lieux avant que son regard soit captivé par une des serveuses, elle ne semblait pas être au meilleur de sa forme, mais qu’à cela ne tienne ! Si elle était là ce soir, elle devait se montrer sous son meilleur jour, sinon cela se servait à rien. Elle empressait le pas afin d’atteindre ce comptoir, personne ne se plaçait sur son passage. La majorité des personnes présentes ici connaissait cette jeune blonde, il savait à quel point elle pouvait être adorable, mais lorsqu’elle avait une idée en tête, un simple regard signifiait beaucoup. N’étant plus qu’à quelques mètres du bar, elle pénétrait dans la zone réservée au personnel avant d’apercevoir ce léger sourire se dessiner sur le visage de cette serveuse. Comment s’appelait-elle déjà ? Emma ! Ces jeunes femmes ne sont pas les plus à plaindre dans ce club ! Trinity arborait ce sourire, présent en toute circonstance avant d’empoigner le bras de la jeune femme, l’incitant à venir tout contre elle, son dos collé contre la poitrine de Mme O’Hara. La discrétion a toujours été le fort de cette femme de poigne, elle remontait son visage dans le creux du cou de cette créature avant de lui glisser. « Ce n’est pas parce que tu es l’une de nos meilleures filles, que tu dois oublier de sourire et de te montrer avenante ! » La respiration d’Emma s’accélérait soudainement, elle semblait avoir peur de bouger et se contentait, simplement, d’acquiescer d’un hochement de tête avant de pouvoir répondre à son interlocutrice.  « Je suis désolée Mme O’Hara, mon fils à été malade toute la journée, je suis exténuée !  » Toujours le même motif, les mêmes excuses, comme si ce critère devrait être spécifié lors de prochains recrutements. Trinity lâcha l’emprise qu’elle percevait sur elle, mais ne s’éloignait pas pour autant, elle laissait échapper un soupir en signe d’exaspération.  « Si ces hommes viennent ici, ce n’est pas pour entendre tes lamentations, alors soit tu reprends tout de suite ton sourire et ce petit côté sauvage qu’il vienne chercher, soit tu poses ce que tu es en train de faire et tu rentres chez toi ! » Rentrer chez elle ? Bien entendu qu’elle avait le droit de le faire ! Le droit d’être arrivée à un point de non-retour ! Mais cela signifiait un manque de revenu, des pourboires et des compléments en mois, ce qu’Emma ne pouvait pas se permettre. Arborant rapidement un sourire, Trinity n’attendit aucune réponse de sa part avant de séparer leur corps et de reprendre sa place habituelle.
Elle ne se retournait pas un seul instant et continuait de vaquer à ses occupations. Le monde commençait à prendre place à l’intérieur de cette immense salle, différents coins étaient présents. Le luxe était présent à chaque pas que l’on effectuait dans ces lieux ! Elle vit son mari apparaître quelques secondes, elle se contentait de hocher simplement la tête, avant qu’il ne prenne pas aux côtés d’autres hommes afin de se lancer dans des discussions visant à refaire le monde. Sans même avoir à parler, un mojito vint se placer sur le comptoir, Trinity s’est alors emparée du verre avant de le porter délicatement sur ses lèvres et y ressentir le liquide, tellement savoureux, passait le long de sa gorge et son regard fut concentré sur l’une des danseuses. Elle n’en était qu’à son premier jour, mais elle possède cette grâce, cette jeunesse et cette naïveté qui plaît tant ici. A en voir les clients, les yeux rivés sur elle, Triny n’est pas la seule à penser ainsi, elle avait devoir avoir une conversation avec elle ! Son regard fut subjugué par cette déesse quelques instants avant qu’une autre silhouette attire son attention. Elle se concentrait quelques secondes avant de pouvoir mettre un nom sur ce visage qui s’approchait. Non, elle ne rêvait pas ! Dans un énième soupir, elle se retournait donc vers le bar, dans l’espoir que cet homme ne soit présent, uniquement, pour passer une bonne soirée !  

[vos points]

If you play, you play for keep.
Ft. Emrys Keynes & Trinity O'Hara

Une silhouette parcourant les miroirs de ce couloir étroit, cette robe rouge laissant apercevoir des courbes divines, une chevelure blonde laissant cette apparence indomptable, les talons portés par cette jeune résonnèrent à chaque pas qu’elle effectuait. Trinity parcourait le couloir la menant dans cette grande salle ! Les premières notes de musique retentirent et la voici apparaissant, aux yeux de tous, les bras croisés sur sa poitrine. Un soir comme les autres ? Non, pour elle, chaque soirs étaient différents, à chaque fois qu’un client passé le seuil de cet endroit, tout devait lui paraître nouveau et désirable à la fois. Souriant à quelques personnes présentes ici, elle se contentait de faire un tour des lieux avant que son regard soit captivé par une des serveuses, elle ne semblait pas être au meilleur de sa forme, mais qu’à cela ne tienne ! Si elle était là ce soir, elle devait se montrer sous son meilleur jour, sinon cela se servait à rien. Elle empressait le pas afin d’atteindre ce comptoir, personne ne se plaçait sur son passage. La majorité des personnes présentes ici connaissait cette jeune blonde, il savait à quel point elle pouvait être adorable, mais lorsqu’elle avait une idée en tête, un simple regard signifiait beaucoup. N’étant plus qu’à quelques mètres du bar, elle pénétrait dans la zone réservée au personnel avant d’apercevoir ce léger sourire se dessiner sur le visage de cette serveuse. Comment s’appelait-elle déjà ? Emma ! Ces jeunes femmes ne sont pas les plus à plaindre dans ce club ! Trinity arborait ce sourire, présent en toute circonstance avant d’empoigner le bras de la jeune femme, l’incitant à venir tout contre elle, son dos collé contre la poitrine de Mme O’Hara. La discrétion a toujours été le fort de cette femme de poigne, elle remontait son visage dans le creux du cou de cette créature avant de lui glisser. « Ce n’est pas parce que tu es l’une de nos meilleures filles, que tu dois oublier de sourire et de te montrer avenante ! » La respiration d’Emma s’accélérait soudainement, elle semblait avoir peur de bouger et se contentait, simplement, d’acquiescer d’un hochement de tête avant de pouvoir répondre à son interlocutrice.  « Je suis désolée Mme O’Hara, mon fils à été malade toute la journée, je suis exténuée !  » Toujours le même motif, les mêmes excuses, comme si ce critère devrait être spécifié lors de prochains recrutements. Trinity lâcha l’emprise qu’elle percevait sur elle, mais ne s’éloignait pas pour autant, elle laissait échapper un soupir en signe d’exaspération.  « Si ces hommes viennent ici, ce n’est pas pour entendre tes lamentations, alors soit tu reprends tout de suite ton sourire et ce petit côté sauvage qu’il vienne chercher, soit tu poses ce que tu es en train de faire et tu rentres chez toi ! » Rentrer chez elle ? Bien entendu qu’elle avait le droit de le faire ! Le droit d’être arrivée à un point de non-retour ! Mais cela signifiait un manque de revenu, des pourboires et des compléments en mois, ce qu’Emma ne pouvait pas se permettre. Arborant rapidement un sourire, Trinity n’attendit aucune réponse de sa part avant de séparer leur corps et de reprendre sa place habituelle.
Elle ne se retournait pas un seul instant et continuait de vaquer à ses occupations. Le monde commençait à prendre place à l’intérieur de cette immense salle, différents coins étaient présents. Le luxe était présent à chaque pas que l’on effectuait dans ces lieux ! Elle vit son mari apparaître quelques secondes, elle se contentait de hocher simplement la tête, avant qu’il ne prenne pas aux côtés d’autres hommes afin de se lancer dans des discussions visant à refaire le monde. Sans même avoir à parler, un mojito vint se placer sur le comptoir, Trinity s’est alors emparée du verre avant de le porter délicatement sur ses lèvres et y ressentir le liquide, tellement savoureux, passait le long de sa gorge et son regard fut concentré sur l’une des danseuses. Elle n’en était qu’à son premier jour, mais elle possède cette grâce, cette jeunesse et cette naïveté qui plaît tant ici. A en voir les clients, les yeux rivés sur elle, Triny n’est pas la seule à penser ainsi, elle avait devoir avoir une conversation avec elle ! Son regard fut subjugué par cette déesse quelques instants avant qu’une autre silhouette attire son attention. Elle se concentrait quelques secondes avant de pouvoir mettre un nom sur ce visage qui s’approchait. Non, elle ne rêvait pas ! Dans un énième soupir, elle se retournait donc vers le bar, dans l’espoir que cet homme ne soit présent, uniquement, pour passer une bonne soirée !  

[Messages]

If you play, you play for keep.
Ft. Emrys Keynes & Trinity O'Hara

Une silhouette parcourant les miroirs de ce couloir étroit, cette robe rouge laissant apercevoir des courbes divines, une chevelure blonde laissant cette apparence indomptable, les talons portés par cette jeune résonnèrent à chaque pas qu’elle effectuait. Trinity parcourait le couloir la menant dans cette grande salle ! Les premières notes de musique retentirent et la voici apparaissant, aux yeux de tous, les bras croisés sur sa poitrine. Un soir comme les autres ? Non, pour elle, chaque soirs étaient différents, à chaque fois qu’un client passé le seuil de cet endroit, tout devait lui paraître nouveau et désirable à la fois. Souriant à quelques personnes présentes ici, elle se contentait de faire un tour des lieux avant que son regard soit captivé par une des serveuses, elle ne semblait pas être au meilleur de sa forme, mais qu’à cela ne tienne ! Si elle était là ce soir, elle devait se montrer sous son meilleur jour, sinon cela se servait à rien. Elle empressait le pas afin d’atteindre ce comptoir, personne ne se plaçait sur son passage. La majorité des personnes présentes ici connaissait cette jeune blonde, il savait à quel point elle pouvait être adorable, mais lorsqu’elle avait une idée en tête, un simple regard signifiait beaucoup. N’étant plus qu’à quelques mètres du bar, elle pénétrait dans la zone réservée au personnel avant d’apercevoir ce léger sourire se dessiner sur le visage de cette serveuse. Comment s’appelait-elle déjà ? Emma ! Ces jeunes femmes ne sont pas les plus à plaindre dans ce club ! Trinity arborait ce sourire, présent en toute circonstance avant d’empoigner le bras de la jeune femme, l’incitant à venir tout contre elle, son dos collé contre la poitrine de Mme O’Hara. La discrétion a toujours été le fort de cette femme de poigne, elle remontait son visage dans le creux du cou de cette créature avant de lui glisser. « Ce n’est pas parce que tu es l’une de nos meilleures filles, que tu dois oublier de sourire et de te montrer avenante ! » La respiration d’Emma s’accélérait soudainement, elle semblait avoir peur de bouger et se contentait, simplement, d’acquiescer d’un hochement de tête avant de pouvoir répondre à son interlocutrice.  « Je suis désolée Mme O’Hara, mon fils à été malade toute la journée, je suis exténuée !  » Toujours le même motif, les mêmes excuses, comme si ce critère devrait être spécifié lors de prochains recrutements. Trinity lâcha l’emprise qu’elle percevait sur elle, mais ne s’éloignait pas pour autant, elle laissait échapper un soupir en signe d’exaspération.  « Si ces hommes viennent ici, ce n’est pas pour entendre tes lamentations, alors soit tu reprends tout de suite ton sourire et ce petit côté sauvage qu’il vienne chercher, soit tu poses ce que tu es en train de faire et tu rentres chez toi ! » Rentrer chez elle ? Bien entendu qu’elle avait le droit de le faire ! Le droit d’être arrivée à un point de non-retour ! Mais cela signifiait un manque de revenu, des pourboires et des compléments en mois, ce qu’Emma ne pouvait pas se permettre. Arborant rapidement un sourire, Trinity n’attendit aucune réponse de sa part avant de séparer leur corps et de reprendre sa place habituelle.
Elle ne se retournait pas un seul instant et continuait de vaquer à ses occupations. Le monde commençait à prendre place à l’intérieur de cette immense salle, différents coins étaient présents. Le luxe était présent à chaque pas que l’on effectuait dans ces lieux ! Elle vit son mari apparaître quelques secondes, elle se contentait de hocher simplement la tête, avant qu’il ne prenne pas aux côtés d’autres hommes afin de se lancer dans des discussions visant à refaire le monde. Sans même avoir à parler, un mojito vint se placer sur le comptoir, Trinity s’est alors emparée du verre avant de le porter délicatement sur ses lèvres et y ressentir le liquide, tellement savoureux, passait le long de sa gorge et son regard fut concentré sur l’une des danseuses. Elle n’en était qu’à son premier jour, mais elle possède cette grâce, cette jeunesse et cette naïveté qui plaît tant ici. A en voir les clients, les yeux rivés sur elle, Triny n’est pas la seule à penser ainsi, elle avait devoir avoir une conversation avec elle ! Son regard fut subjugué par cette déesse quelques instants avant qu’une autre silhouette attire son attention. Elle se concentrait quelques secondes avant de pouvoir mettre un nom sur ce visage qui s’approchait. Non, elle ne rêvait pas ! Dans un énième soupir, elle se retournait donc vers le bar, dans l’espoir que cet homme ne soit présent, uniquement, pour passer une bonne soirée !  

[Date d'inscription]

If you play, you play for keep.
Ft. Emrys Keynes & Trinity O'Hara

Une silhouette parcourant les miroirs de ce couloir étroit, cette robe rouge laissant apercevoir des courbes divines, une chevelure blonde laissant cette apparence indomptable, les talons portés par cette jeune résonnèrent à chaque pas qu’elle effectuait. Trinity parcourait le couloir la menant dans cette grande salle ! Les premières notes de musique retentirent et la voici apparaissant, aux yeux de tous, les bras croisés sur sa poitrine. Un soir comme les autres ? Non, pour elle, chaque soirs étaient différents, à chaque fois qu’un client passé le seuil de cet endroit, tout devait lui paraître nouveau et désirable à la fois. Souriant à quelques personnes présentes ici, elle se contentait de faire un tour des lieux avant que son regard soit captivé par une des serveuses, elle ne semblait pas être au meilleur de sa forme, mais qu’à cela ne tienne ! Si elle était là ce soir, elle devait se montrer sous son meilleur jour, sinon cela se servait à rien. Elle empressait le pas afin d’atteindre ce comptoir, personne ne se plaçait sur son passage. La majorité des personnes présentes ici connaissait cette jeune blonde, il savait à quel point elle pouvait être adorable, mais lorsqu’elle avait une idée en tête, un simple regard signifiait beaucoup. N’étant plus qu’à quelques mètres du bar, elle pénétrait dans la zone réservée au personnel avant d’apercevoir ce léger sourire se dessiner sur le visage de cette serveuse. Comment s’appelait-elle déjà ? Emma ! Ces jeunes femmes ne sont pas les plus à plaindre dans ce club ! Trinity arborait ce sourire, présent en toute circonstance avant d’empoigner le bras de la jeune femme, l’incitant à venir tout contre elle, son dos collé contre la poitrine de Mme O’Hara. La discrétion a toujours été le fort de cette femme de poigne, elle remontait son visage dans le creux du cou de cette créature avant de lui glisser. « Ce n’est pas parce que tu es l’une de nos meilleures filles, que tu dois oublier de sourire et de te montrer avenante ! » La respiration d’Emma s’accélérait soudainement, elle semblait avoir peur de bouger et se contentait, simplement, d’acquiescer d’un hochement de tête avant de pouvoir répondre à son interlocutrice.  « Je suis désolée Mme O’Hara, mon fils à été malade toute la journée, je suis exténuée !  » Toujours le même motif, les mêmes excuses, comme si ce critère devrait être spécifié lors de prochains recrutements. Trinity lâcha l’emprise qu’elle percevait sur elle, mais ne s’éloignait pas pour autant, elle laissait échapper un soupir en signe d’exaspération.  « Si ces hommes viennent ici, ce n’est pas pour entendre tes lamentations, alors soit tu reprends tout de suite ton sourire et ce petit côté sauvage qu’il vienne chercher, soit tu poses ce que tu es en train de faire et tu rentres chez toi ! » Rentrer chez elle ? Bien entendu qu’elle avait le droit de le faire ! Le droit d’être arrivée à un point de non-retour ! Mais cela signifiait un manque de revenu, des pourboires et des compléments en mois, ce qu’Emma ne pouvait pas se permettre. Arborant rapidement un sourire, Trinity n’attendit aucune réponse de sa part avant de séparer leur corps et de reprendre sa place habituelle.
Elle ne se retournait pas un seul instant et continuait de vaquer à ses occupations. Le monde commençait à prendre place à l’intérieur de cette immense salle, différents coins étaient présents. Le luxe était présent à chaque pas que l’on effectuait dans ces lieux ! Elle vit son mari apparaître quelques secondes, elle se contentait de hocher simplement la tête, avant qu’il ne prenne pas aux côtés d’autres hommes afin de se lancer dans des discussions visant à refaire le monde. Sans même avoir à parler, un mojito vint se placer sur le comptoir, Trinity s’est alors emparée du verre avant de le porter délicatement sur ses lèvres et y ressentir le liquide, tellement savoureux, passait le long de sa gorge et son regard fut concentré sur l’une des danseuses. Elle n’en était qu’à son premier jour, mais elle possède cette grâce, cette jeunesse et cette naïveté qui plaît tant ici. A en voir les clients, les yeux rivés sur elle, Triny n’est pas la seule à penser ainsi, elle avait devoir avoir une conversation avec elle ! Son regard fut subjugué par cette déesse quelques instants avant qu’une autre silhouette attire son attention. Elle se concentrait quelques secondes avant de pouvoir mettre un nom sur ce visage qui s’approchait. Non, elle ne rêvait pas ! Dans un énième soupir, elle se retournait donc vers le bar, dans l’espoir que cet homme ne soit présent, uniquement, pour passer une bonne soirée !  

[nouveau venu]

There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Un jeu. Un jeu qui lui plaisait trop. Cette sensation de pouvoir. Faire plie les femmes à ses envies, quoiqu'elles étaient bien rare à attirer son attention. Les femmes. L'enquêteur avait tendance à généraliser, à mettre les femmes dans le même lot même si elle n'avait rien à voir. Son passé l'avait rendu fou. Cette perte qui lui faisait perdre pied. Sa petite fille morte dans ce foutu feu qu'il n'avait pu éteindre. Une culpabilité qui le rongeait. Poison dans ses veines trop nocif détruisant simplement la moindre parcelle d'un sentiment positif. Emrys avait ce besoin de détruire, de se surpasser. Une compétition malsaine dans son travail, dans ce qu'il accomplissait jour après jour. Jouer avec le feu. Passer près d'y perdre la main. Feu qu'il détestait. Cette peur ancrée en lui. Cette phobie qui le rendait fou. Ses nuits n'avaient rien de réconfortantes. Son esprit n'était hanté que par les souvenirs tortueux d'évènements trop marquants.

C'est pour cette raison qu'il refaisait surface dans cet endroit. Parce qu'il savait parfaitement ce qui pouvait s'y tramer, s'y passer. Les vices, il les connaissait sur le bout de ses doigts et cet endroit renfermait des secrets qu'il aimerait faire exploser. Il y avait surtout cette plantureuse blonde. Courbes de rêves. Corps sensuels. Femme de caractère. Le genre de femme qui avait le don de l'amuser. Lui le misogyne. Lui qui aimait les mettre plus bas que terre et leur faire comprendre qu'elle ne pouvait rien face à lui, autre que de ployer l'échine. Il n'avait rien de saint. Rien de bon. La seule chose qui le rendait humain n'était plus de ce monde. La seule personne à le rendre vivant, à faire naître un simple sentiment positif. Petite perle. Douce petite chose qui était morte dans d'affreuses souffrances. Le blond souffla. Chassant cette foutue image de son esprit. Tentant de se détacher de son passé qui lui collait à peau, le brisant de plus en plus. La musique lui vrillait les tympans alors que ses iris céruléens s'attardaient sur les corps féminins à même de faire naître des désirs malsains dans le fond de ses entrailles. Pourtant rien. Elles avaient tout de fade les femmes se trouvant dans cet endroit. Rien de plus que les autres. Que des corps sensuels. Que des courbes fines sans saveurs. Un soupir. Une lassitude hors du commun. Cet endroit n'avait rien de plus que les autres. Cette façon commune de cacher des vices qui ne se produisaient pas qu'ici. Il y avait une raison. Une raison bien simple.

Elle. Il la cherchait. Cette déesse envoutante. Cette femme de caractère qui avait le don de l'amuser. Elle n'avait rien à voir avec la blonde qui se perdait trop souvent derrière les barreaux et qu'il connaissait sur le bout de ses doigts, mais elles étaient toutes deux désirables. Foncièrement différentes. L'enquêteur avait un goût prononcé pour les blondes sulfureuses et de caractère. Lui qui n'avait aucun respect pour la gent féminine. La demoiselle avait su capter son attention leur de leur première rencontre. Petite proie qu'elle était entre ses doigts. Un pas. Il avance dans cette foule. Ambiance feutrée. Chaleur qui lui collait simplement à la peau. Ses doigts vinrent ouvrir quelques boutons sur son torse. Il l'aperçut. Sirène séductrice qui ne le portait surement pas dans son coeur. Lui qui venait faire bouger les choses par simples caprices. Ce ne fut pas long avant qu'il se pose près d'elle au bar, question de se commander quelque chose et de l'approcher. Hors de question qu'elle lui file entre les doigts. Une approche moins directe? Emrys n'avait pas tendance à jouer dans la dentelle. À mettre des gants et user de douceur. Pour arriver à ses fins, il fallait faire des sacrifices. Il le va la main pour faire signe à la serveuse. Face. Sans intérêt contrairement à la délicieuse plante à côté de lui. « Du rhum.» Elle s'éloigna. Il tourna le regard pour poser son regard sur elle, détaillant les traits fins de son visage. Il était trop près pour qu'elle l'ignore. Pour qu'elle joue de cette indifférence. Trop tard. Elle était dans sa ligne de mire. Elle était dans les goûts du prédateur qu'il était. « J'espère avoir un meilleur accueil que la dernière fois.» Simple provocation. Un sourire se dessinait sur ses lèvres alors qu'il recevait son verre qu'il porta à ses lèvres.

(c) Bloody Storm

[vos points]

There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Un jeu. Un jeu qui lui plaisait trop. Cette sensation de pouvoir. Faire plie les femmes à ses envies, quoiqu'elles étaient bien rare à attirer son attention. Les femmes. L'enquêteur avait tendance à généraliser, à mettre les femmes dans le même lot même si elle n'avait rien à voir. Son passé l'avait rendu fou. Cette perte qui lui faisait perdre pied. Sa petite fille morte dans ce foutu feu qu'il n'avait pu éteindre. Une culpabilité qui le rongeait. Poison dans ses veines trop nocif détruisant simplement la moindre parcelle d'un sentiment positif. Emrys avait ce besoin de détruire, de se surpasser. Une compétition malsaine dans son travail, dans ce qu'il accomplissait jour après jour. Jouer avec le feu. Passer près d'y perdre la main. Feu qu'il détestait. Cette peur ancrée en lui. Cette phobie qui le rendait fou. Ses nuits n'avaient rien de réconfortantes. Son esprit n'était hanté que par les souvenirs tortueux d'évènements trop marquants.

C'est pour cette raison qu'il refaisait surface dans cet endroit. Parce qu'il savait parfaitement ce qui pouvait s'y tramer, s'y passer. Les vices, il les connaissait sur le bout de ses doigts et cet endroit renfermait des secrets qu'il aimerait faire exploser. Il y avait surtout cette plantureuse blonde. Courbes de rêves. Corps sensuels. Femme de caractère. Le genre de femme qui avait le don de l'amuser. Lui le misogyne. Lui qui aimait les mettre plus bas que terre et leur faire comprendre qu'elle ne pouvait rien face à lui, autre que de ployer l'échine. Il n'avait rien de saint. Rien de bon. La seule chose qui le rendait humain n'était plus de ce monde. La seule personne à le rendre vivant, à faire naître un simple sentiment positif. Petite perle. Douce petite chose qui était morte dans d'affreuses souffrances. Le blond souffla. Chassant cette foutue image de son esprit. Tentant de se détacher de son passé qui lui collait à peau, le brisant de plus en plus. La musique lui vrillait les tympans alors que ses iris céruléens s'attardaient sur les corps féminins à même de faire naître des désirs malsains dans le fond de ses entrailles. Pourtant rien. Elles avaient tout de fade les femmes se trouvant dans cet endroit. Rien de plus que les autres. Que des corps sensuels. Que des courbes fines sans saveurs. Un soupir. Une lassitude hors du commun. Cet endroit n'avait rien de plus que les autres. Cette façon commune de cacher des vices qui ne se produisaient pas qu'ici. Il y avait une raison. Une raison bien simple.

Elle. Il la cherchait. Cette déesse envoutante. Cette femme de caractère qui avait le don de l'amuser. Elle n'avait rien à voir avec la blonde qui se perdait trop souvent derrière les barreaux et qu'il connaissait sur le bout de ses doigts, mais elles étaient toutes deux désirables. Foncièrement différentes. L'enquêteur avait un goût prononcé pour les blondes sulfureuses et de caractère. Lui qui n'avait aucun respect pour la gent féminine. La demoiselle avait su capter son attention leur de leur première rencontre. Petite proie qu'elle était entre ses doigts. Un pas. Il avance dans cette foule. Ambiance feutrée. Chaleur qui lui collait simplement à la peau. Ses doigts vinrent ouvrir quelques boutons sur son torse. Il l'aperçut. Sirène séductrice qui ne le portait surement pas dans son coeur. Lui qui venait faire bouger les choses par simples caprices. Ce ne fut pas long avant qu'il se pose près d'elle au bar, question de se commander quelque chose et de l'approcher. Hors de question qu'elle lui file entre les doigts. Une approche moins directe? Emrys n'avait pas tendance à jouer dans la dentelle. À mettre des gants et user de douceur. Pour arriver à ses fins, il fallait faire des sacrifices. Il le va la main pour faire signe à la serveuse. Face. Sans intérêt contrairement à la délicieuse plante à côté de lui. « Du rhum.» Elle s'éloigna. Il tourna le regard pour poser son regard sur elle, détaillant les traits fins de son visage. Il était trop près pour qu'elle l'ignore. Pour qu'elle joue de cette indifférence. Trop tard. Elle était dans sa ligne de mire. Elle était dans les goûts du prédateur qu'il était. « J'espère avoir un meilleur accueil que la dernière fois.» Simple provocation. Un sourire se dessinait sur ses lèvres alors qu'il recevait son verre qu'il porta à ses lèvres.

(c) Bloody Storm

[Messages]

There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Un jeu. Un jeu qui lui plaisait trop. Cette sensation de pouvoir. Faire plie les femmes à ses envies, quoiqu'elles étaient bien rare à attirer son attention. Les femmes. L'enquêteur avait tendance à généraliser, à mettre les femmes dans le même lot même si elle n'avait rien à voir. Son passé l'avait rendu fou. Cette perte qui lui faisait perdre pied. Sa petite fille morte dans ce foutu feu qu'il n'avait pu éteindre. Une culpabilité qui le rongeait. Poison dans ses veines trop nocif détruisant simplement la moindre parcelle d'un sentiment positif. Emrys avait ce besoin de détruire, de se surpasser. Une compétition malsaine dans son travail, dans ce qu'il accomplissait jour après jour. Jouer avec le feu. Passer près d'y perdre la main. Feu qu'il détestait. Cette peur ancrée en lui. Cette phobie qui le rendait fou. Ses nuits n'avaient rien de réconfortantes. Son esprit n'était hanté que par les souvenirs tortueux d'évènements trop marquants.

C'est pour cette raison qu'il refaisait surface dans cet endroit. Parce qu'il savait parfaitement ce qui pouvait s'y tramer, s'y passer. Les vices, il les connaissait sur le bout de ses doigts et cet endroit renfermait des secrets qu'il aimerait faire exploser. Il y avait surtout cette plantureuse blonde. Courbes de rêves. Corps sensuels. Femme de caractère. Le genre de femme qui avait le don de l'amuser. Lui le misogyne. Lui qui aimait les mettre plus bas que terre et leur faire comprendre qu'elle ne pouvait rien face à lui, autre que de ployer l'échine. Il n'avait rien de saint. Rien de bon. La seule chose qui le rendait humain n'était plus de ce monde. La seule personne à le rendre vivant, à faire naître un simple sentiment positif. Petite perle. Douce petite chose qui était morte dans d'affreuses souffrances. Le blond souffla. Chassant cette foutue image de son esprit. Tentant de se détacher de son passé qui lui collait à peau, le brisant de plus en plus. La musique lui vrillait les tympans alors que ses iris céruléens s'attardaient sur les corps féminins à même de faire naître des désirs malsains dans le fond de ses entrailles. Pourtant rien. Elles avaient tout de fade les femmes se trouvant dans cet endroit. Rien de plus que les autres. Que des corps sensuels. Que des courbes fines sans saveurs. Un soupir. Une lassitude hors du commun. Cet endroit n'avait rien de plus que les autres. Cette façon commune de cacher des vices qui ne se produisaient pas qu'ici. Il y avait une raison. Une raison bien simple.

Elle. Il la cherchait. Cette déesse envoutante. Cette femme de caractère qui avait le don de l'amuser. Elle n'avait rien à voir avec la blonde qui se perdait trop souvent derrière les barreaux et qu'il connaissait sur le bout de ses doigts, mais elles étaient toutes deux désirables. Foncièrement différentes. L'enquêteur avait un goût prononcé pour les blondes sulfureuses et de caractère. Lui qui n'avait aucun respect pour la gent féminine. La demoiselle avait su capter son attention leur de leur première rencontre. Petite proie qu'elle était entre ses doigts. Un pas. Il avance dans cette foule. Ambiance feutrée. Chaleur qui lui collait simplement à la peau. Ses doigts vinrent ouvrir quelques boutons sur son torse. Il l'aperçut. Sirène séductrice qui ne le portait surement pas dans son coeur. Lui qui venait faire bouger les choses par simples caprices. Ce ne fut pas long avant qu'il se pose près d'elle au bar, question de se commander quelque chose et de l'approcher. Hors de question qu'elle lui file entre les doigts. Une approche moins directe? Emrys n'avait pas tendance à jouer dans la dentelle. À mettre des gants et user de douceur. Pour arriver à ses fins, il fallait faire des sacrifices. Il le va la main pour faire signe à la serveuse. Face. Sans intérêt contrairement à la délicieuse plante à côté de lui. « Du rhum.» Elle s'éloigna. Il tourna le regard pour poser son regard sur elle, détaillant les traits fins de son visage. Il était trop près pour qu'elle l'ignore. Pour qu'elle joue de cette indifférence. Trop tard. Elle était dans sa ligne de mire. Elle était dans les goûts du prédateur qu'il était. « J'espère avoir un meilleur accueil que la dernière fois.» Simple provocation. Un sourire se dessinait sur ses lèvres alors qu'il recevait son verre qu'il porta à ses lèvres.

(c) Bloody Storm

[Date d'inscription]

There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Un jeu. Un jeu qui lui plaisait trop. Cette sensation de pouvoir. Faire plie les femmes à ses envies, quoiqu'elles étaient bien rare à attirer son attention. Les femmes. L'enquêteur avait tendance à généraliser, à mettre les femmes dans le même lot même si elle n'avait rien à voir. Son passé l'avait rendu fou. Cette perte qui lui faisait perdre pied. Sa petite fille morte dans ce foutu feu qu'il n'avait pu éteindre. Une culpabilité qui le rongeait. Poison dans ses veines trop nocif détruisant simplement la moindre parcelle d'un sentiment positif. Emrys avait ce besoin de détruire, de se surpasser. Une compétition malsaine dans son travail, dans ce qu'il accomplissait jour après jour. Jouer avec le feu. Passer près d'y perdre la main. Feu qu'il détestait. Cette peur ancrée en lui. Cette phobie qui le rendait fou. Ses nuits n'avaient rien de réconfortantes. Son esprit n'était hanté que par les souvenirs tortueux d'évènements trop marquants.

C'est pour cette raison qu'il refaisait surface dans cet endroit. Parce qu'il savait parfaitement ce qui pouvait s'y tramer, s'y passer. Les vices, il les connaissait sur le bout de ses doigts et cet endroit renfermait des secrets qu'il aimerait faire exploser. Il y avait surtout cette plantureuse blonde. Courbes de rêves. Corps sensuels. Femme de caractère. Le genre de femme qui avait le don de l'amuser. Lui le misogyne. Lui qui aimait les mettre plus bas que terre et leur faire comprendre qu'elle ne pouvait rien face à lui, autre que de ployer l'échine. Il n'avait rien de saint. Rien de bon. La seule chose qui le rendait humain n'était plus de ce monde. La seule personne à le rendre vivant, à faire naître un simple sentiment positif. Petite perle. Douce petite chose qui était morte dans d'affreuses souffrances. Le blond souffla. Chassant cette foutue image de son esprit. Tentant de se détacher de son passé qui lui collait à peau, le brisant de plus en plus. La musique lui vrillait les tympans alors que ses iris céruléens s'attardaient sur les corps féminins à même de faire naître des désirs malsains dans le fond de ses entrailles. Pourtant rien. Elles avaient tout de fade les femmes se trouvant dans cet endroit. Rien de plus que les autres. Que des corps sensuels. Que des courbes fines sans saveurs. Un soupir. Une lassitude hors du commun. Cet endroit n'avait rien de plus que les autres. Cette façon commune de cacher des vices qui ne se produisaient pas qu'ici. Il y avait une raison. Une raison bien simple.

Elle. Il la cherchait. Cette déesse envoutante. Cette femme de caractère qui avait le don de l'amuser. Elle n'avait rien à voir avec la blonde qui se perdait trop souvent derrière les barreaux et qu'il connaissait sur le bout de ses doigts, mais elles étaient toutes deux désirables. Foncièrement différentes. L'enquêteur avait un goût prononcé pour les blondes sulfureuses et de caractère. Lui qui n'avait aucun respect pour la gent féminine. La demoiselle avait su capter son attention leur de leur première rencontre. Petite proie qu'elle était entre ses doigts. Un pas. Il avance dans cette foule. Ambiance feutrée. Chaleur qui lui collait simplement à la peau. Ses doigts vinrent ouvrir quelques boutons sur son torse. Il l'aperçut. Sirène séductrice qui ne le portait surement pas dans son coeur. Lui qui venait faire bouger les choses par simples caprices. Ce ne fut pas long avant qu'il se pose près d'elle au bar, question de se commander quelque chose et de l'approcher. Hors de question qu'elle lui file entre les doigts. Une approche moins directe? Emrys n'avait pas tendance à jouer dans la dentelle. À mettre des gants et user de douceur. Pour arriver à ses fins, il fallait faire des sacrifices. Il le va la main pour faire signe à la serveuse. Face. Sans intérêt contrairement à la délicieuse plante à côté de lui. « Du rhum.» Elle s'éloigna. Il tourna le regard pour poser son regard sur elle, détaillant les traits fins de son visage. Il était trop près pour qu'elle l'ignore. Pour qu'elle joue de cette indifférence. Trop tard. Elle était dans sa ligne de mire. Elle était dans les goûts du prédateur qu'il était. « J'espère avoir un meilleur accueil que la dernière fois.» Simple provocation. Un sourire se dessinait sur ses lèvres alors qu'il recevait son verre qu'il porta à ses lèvres.

(c) Bloody Storm

[nouveau venu]

If you play, you play for keep.
Ft. Emrys Keynes & Trinity O'Hara

Son seul désir, que cette silhouette aperçu quelques secondes plus tôt, ne soit qu’un simple mirage. Cette jeune femme de poigne n’aimait pas qu’un contre-temps vienne à elle, que ce ciel empli d’ éclaircies se noircissent en une fraction de seconde, pourtant dès qu’elle apercevait cet homme, la prédiction était proche. Ne prêtant guère attention à sa démarche, elle préférait combler son envie actuel par ce cocktail, tout en laissant ses yeux vagabonder sur la jeune serveuse. Il semblait en avoir décidé autrement, que voulait-il au juste ? Appréciait-il qu’une femme se mette à le détester, se mette à l’éviter afin d’éviter toutes tentations, afin d’éviter tous nuages dans ce ciel ensoleillé. Elle ne put cacher sa surprise à la présence de cet homme à ses côtés, des dizaines de places étaient présentes, la soirée promettait riche en rebondissements. Tournant, doucement, les yeux ! Elle regardait cet homme du coin de l’oeil, comme si elle pouvait imaginer qu’il n’était pas juste pour profiter de la soirée. Pourquoi cet homme intriguait autant la jeune femme, elle avait tendance à le détester et le désirer en même temps, bien qu’elle ne le connaisse pas vraiment. Ses jambes restèrent croisés ! Elle ne lui prêtait aucun signe d’attention, comme si cela suffisait à pouvoir le faire fuir. Malgré cette apparence d’homme à femmes, d’homme actuel, il s’était montré un peu trop curieux lors de sa dernière visite, la curiosité est un vilain défaut donc cet homme possédait le vice. Dotée d’une assurance inébranlable, elle vint détourner le regard afin de fixer les prunelles de ses yeux dans les siennes, mais ce ton n’était pas des plus avenants, une once d’exaspération prit le dessus. « Je ne suis pas ici afin de réserver de très bon accueil. » Au fond, elle n’avait pas tord ! En temps normal, ce sont les employées de cet endroit qui s’occupèrent des clients, mais ce blond ne semblait pas comme les autres. Pourquoi semblait-il posséder ce petit côté provocateur qui donne envie de jouer à un jeu dangereux ? La jeune femme s’était renseigné sur lui, depuis sa dernière visite, son mari avait été d’une grande aide pour cela ! Mais rien n’était apparu, rien qui pourrait nuire à cet homme, elle ne connaissait que son métier, au plus grand dam de cette jeune femme.

Elle fit tournoyer ce verre, entre ses doigts, afin que le mélange soit parfait. La serveuse vint à servir cet homme, Trinity lui sourit ne voyant que l’indifférence à son égard de la part de ce blond. Le tabouret de la jeune blonde se mit à tourner afin de pouvoir faire face à cet homme ! « Surtout à un homme un peu trop curieux à mon goût. » La jeune femme n’avait pas sa langue dans sa poche et elle ne put s’empêcher de faire descendre un peu son regard sur lui, comme pour pouvoir mémoriser les traits de son visage, tenter de déceler une faille chez celui-ci. Une chose dont elle pouvait se servir comme arme, elle tentait de le percer en plein jour. Ne dit-on pas que le regard est le reflet de l’âme, le sien ! Le liquide savoureux fut enfin terminé, elle ne lui laissait le temps d’aucune réponses avant que ses talons reprennent possession du sol et qu’elle se plaçait debout, face à lui tout en arborant un sourire. Ce sourire signifiait-il quelque chose pour Trinity ? Bien sur que non ! Elle avait ce don de mélanger plusieurs sentiments dans celui-ci, de l’indifférence à la provocation, de la malice à l’envie ! Méfiez-vous de ces sourires, ils peuvent blesser comme déshabiller ! Avant de tourner les talons, elle regardait cet homme une dernière fois, croisant les bras autour de sa poitrine. « Mais je suis certaine que cet endroit regorge de jeunes femmes prêtes à vous accueillir comme il se doit, en tout cas je suis ravie de vous avoir revu M. Keynes ! » La phrase fut lancée, elle connaissait son identité, afin de pouvoir jouer un peu à part égale. Ce qui se passait dans cet endroit n’était visible que pour les propriétaires, les clients étaient choisis sur des critères et un moyen de pression était exercé sur eux, si l’un venait à avoir la langue bien trop pendue ! La jeune femme pouvait conserver cette confiance à toute épreuve ! Elle avait prononcé la fin de sa phrase en approchant doucement son visage du sien, comme pour lui susurrer ses mots, afin que celles-ci puissent se montrer audibles face à la musique perçu dans cette boîte de nuit !

Pour la jeune américano-russe, cette discussion devait s’arrêter là ! En aucun cas, elle pouvait se permettre de mettre en danger la réputation, le fonctionnement de cet endroit. Elle tournait alors les talons afin de pouvoir se mêler à la foule, bien qu’elle ne passait jamais inaperçue dans un endroit ! Elle n’avait laissé aucune autres chances à cet homme de pouvoir parler. Elle se frayait un passage afin de retourner dans ce petit couloir, utilisé quelques instants plus tôt, ce couloir qui allait la mener, par la suite, aux petites pièces où la musique était présente, mais en simple bruit de fond. Pour le moment, seuls ses talons résonnèrent de nouveau dans ce couloir de glaces !  

[vos points]

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Son seul désir, que cette silhouette aperçu quelques secondes plus tôt, ne soit qu’un simple mirage. Cette jeune femme de poigne n’aimait pas qu’un contre-temps vienne à elle, que ce ciel empli d’ éclaircies se noircissent en une fraction de seconde, pourtant dès qu’elle apercevait cet homme, la prédiction était proche. Ne prêtant guère attention à sa démarche, elle préférait combler son envie actuel par ce cocktail, tout en laissant ses yeux vagabonder sur la jeune serveuse. Il semblait en avoir décidé autrement, que voulait-il au juste ? Appréciait-il qu’une femme se mette à le détester, se mette à l’éviter afin d’éviter toutes tentations, afin d’éviter tous nuages dans ce ciel ensoleillé. Elle ne put cacher sa surprise à la présence de cet homme à ses côtés, des dizaines de places étaient présentes, la soirée promettait riche en rebondissements. Tournant, doucement, les yeux ! Elle regardait cet homme du coin de l’oeil, comme si elle pouvait imaginer qu’il n’était pas juste pour profiter de la soirée. Pourquoi cet homme intriguait autant la jeune femme, elle avait tendance à le détester et le désirer en même temps, bien qu’elle ne le connaisse pas vraiment. Ses jambes restèrent croisés ! Elle ne lui prêtait aucun signe d’attention, comme si cela suffisait à pouvoir le faire fuir. Malgré cette apparence d’homme à femmes, d’homme actuel, il s’était montré un peu trop curieux lors de sa dernière visite, la curiosité est un vilain défaut donc cet homme possédait le vice. Dotée d’une assurance inébranlable, elle vint détourner le regard afin de fixer les prunelles de ses yeux dans les siennes, mais ce ton n’était pas des plus avenants, une once d’exaspération prit le dessus. « Je ne suis pas ici afin de réserver de très bon accueil. » Au fond, elle n’avait pas tord ! En temps normal, ce sont les employées de cet endroit qui s’occupèrent des clients, mais ce blond ne semblait pas comme les autres. Pourquoi semblait-il posséder ce petit côté provocateur qui donne envie de jouer à un jeu dangereux ? La jeune femme s’était renseigné sur lui, depuis sa dernière visite, son mari avait été d’une grande aide pour cela ! Mais rien n’était apparu, rien qui pourrait nuire à cet homme, elle ne connaissait que son métier, au plus grand dam de cette jeune femme.

Elle fit tournoyer ce verre, entre ses doigts, afin que le mélange soit parfait. La serveuse vint à servir cet homme, Trinity lui sourit ne voyant que l’indifférence à son égard de la part de ce blond. Le tabouret de la jeune blonde se mit à tourner afin de pouvoir faire face à cet homme ! « Surtout à un homme un peu trop curieux à mon goût. » La jeune femme n’avait pas sa langue dans sa poche et elle ne put s’empêcher de faire descendre un peu son regard sur lui, comme pour pouvoir mémoriser les traits de son visage, tenter de déceler une faille chez celui-ci. Une chose dont elle pouvait se servir comme arme, elle tentait de le percer en plein jour. Ne dit-on pas que le regard est le reflet de l’âme, le sien ! Le liquide savoureux fut enfin terminé, elle ne lui laissait le temps d’aucune réponses avant que ses talons reprennent possession du sol et qu’elle se plaçait debout, face à lui tout en arborant un sourire. Ce sourire signifiait-il quelque chose pour Trinity ? Bien sur que non ! Elle avait ce don de mélanger plusieurs sentiments dans celui-ci, de l’indifférence à la provocation, de la malice à l’envie ! Méfiez-vous de ces sourires, ils peuvent blesser comme déshabiller ! Avant de tourner les talons, elle regardait cet homme une dernière fois, croisant les bras autour de sa poitrine. « Mais je suis certaine que cet endroit regorge de jeunes femmes prêtes à vous accueillir comme il se doit, en tout cas je suis ravie de vous avoir revu M. Keynes ! » La phrase fut lancée, elle connaissait son identité, afin de pouvoir jouer un peu à part égale. Ce qui se passait dans cet endroit n’était visible que pour les propriétaires, les clients étaient choisis sur des critères et un moyen de pression était exercé sur eux, si l’un venait à avoir la langue bien trop pendue ! La jeune femme pouvait conserver cette confiance à toute épreuve ! Elle avait prononcé la fin de sa phrase en approchant doucement son visage du sien, comme pour lui susurrer ses mots, afin que celles-ci puissent se montrer audibles face à la musique perçu dans cette boîte de nuit !

Pour la jeune américano-russe, cette discussion devait s’arrêter là ! En aucun cas, elle pouvait se permettre de mettre en danger la réputation, le fonctionnement de cet endroit. Elle tournait alors les talons afin de pouvoir se mêler à la foule, bien qu’elle ne passait jamais inaperçue dans un endroit ! Elle n’avait laissé aucune autres chances à cet homme de pouvoir parler. Elle se frayait un passage afin de retourner dans ce petit couloir, utilisé quelques instants plus tôt, ce couloir qui allait la mener, par la suite, aux petites pièces où la musique était présente, mais en simple bruit de fond. Pour le moment, seuls ses talons résonnèrent de nouveau dans ce couloir de glaces !  

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Son seul désir, que cette silhouette aperçu quelques secondes plus tôt, ne soit qu’un simple mirage. Cette jeune femme de poigne n’aimait pas qu’un contre-temps vienne à elle, que ce ciel empli d’ éclaircies se noircissent en une fraction de seconde, pourtant dès qu’elle apercevait cet homme, la prédiction était proche. Ne prêtant guère attention à sa démarche, elle préférait combler son envie actuel par ce cocktail, tout en laissant ses yeux vagabonder sur la jeune serveuse. Il semblait en avoir décidé autrement, que voulait-il au juste ? Appréciait-il qu’une femme se mette à le détester, se mette à l’éviter afin d’éviter toutes tentations, afin d’éviter tous nuages dans ce ciel ensoleillé. Elle ne put cacher sa surprise à la présence de cet homme à ses côtés, des dizaines de places étaient présentes, la soirée promettait riche en rebondissements. Tournant, doucement, les yeux ! Elle regardait cet homme du coin de l’oeil, comme si elle pouvait imaginer qu’il n’était pas juste pour profiter de la soirée. Pourquoi cet homme intriguait autant la jeune femme, elle avait tendance à le détester et le désirer en même temps, bien qu’elle ne le connaisse pas vraiment. Ses jambes restèrent croisés ! Elle ne lui prêtait aucun signe d’attention, comme si cela suffisait à pouvoir le faire fuir. Malgré cette apparence d’homme à femmes, d’homme actuel, il s’était montré un peu trop curieux lors de sa dernière visite, la curiosité est un vilain défaut donc cet homme possédait le vice. Dotée d’une assurance inébranlable, elle vint détourner le regard afin de fixer les prunelles de ses yeux dans les siennes, mais ce ton n’était pas des plus avenants, une once d’exaspération prit le dessus. « Je ne suis pas ici afin de réserver de très bon accueil. » Au fond, elle n’avait pas tord ! En temps normal, ce sont les employées de cet endroit qui s’occupèrent des clients, mais ce blond ne semblait pas comme les autres. Pourquoi semblait-il posséder ce petit côté provocateur qui donne envie de jouer à un jeu dangereux ? La jeune femme s’était renseigné sur lui, depuis sa dernière visite, son mari avait été d’une grande aide pour cela ! Mais rien n’était apparu, rien qui pourrait nuire à cet homme, elle ne connaissait que son métier, au plus grand dam de cette jeune femme.

Elle fit tournoyer ce verre, entre ses doigts, afin que le mélange soit parfait. La serveuse vint à servir cet homme, Trinity lui sourit ne voyant que l’indifférence à son égard de la part de ce blond. Le tabouret de la jeune blonde se mit à tourner afin de pouvoir faire face à cet homme ! « Surtout à un homme un peu trop curieux à mon goût. » La jeune femme n’avait pas sa langue dans sa poche et elle ne put s’empêcher de faire descendre un peu son regard sur lui, comme pour pouvoir mémoriser les traits de son visage, tenter de déceler une faille chez celui-ci. Une chose dont elle pouvait se servir comme arme, elle tentait de le percer en plein jour. Ne dit-on pas que le regard est le reflet de l’âme, le sien ! Le liquide savoureux fut enfin terminé, elle ne lui laissait le temps d’aucune réponses avant que ses talons reprennent possession du sol et qu’elle se plaçait debout, face à lui tout en arborant un sourire. Ce sourire signifiait-il quelque chose pour Trinity ? Bien sur que non ! Elle avait ce don de mélanger plusieurs sentiments dans celui-ci, de l’indifférence à la provocation, de la malice à l’envie ! Méfiez-vous de ces sourires, ils peuvent blesser comme déshabiller ! Avant de tourner les talons, elle regardait cet homme une dernière fois, croisant les bras autour de sa poitrine. « Mais je suis certaine que cet endroit regorge de jeunes femmes prêtes à vous accueillir comme il se doit, en tout cas je suis ravie de vous avoir revu M. Keynes ! » La phrase fut lancée, elle connaissait son identité, afin de pouvoir jouer un peu à part égale. Ce qui se passait dans cet endroit n’était visible que pour les propriétaires, les clients étaient choisis sur des critères et un moyen de pression était exercé sur eux, si l’un venait à avoir la langue bien trop pendue ! La jeune femme pouvait conserver cette confiance à toute épreuve ! Elle avait prononcé la fin de sa phrase en approchant doucement son visage du sien, comme pour lui susurrer ses mots, afin que celles-ci puissent se montrer audibles face à la musique perçu dans cette boîte de nuit !

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Elle fit tournoyer ce verre, entre ses doigts, afin que le mélange soit parfait. La serveuse vint à servir cet homme, Trinity lui sourit ne voyant que l’indifférence à son égard de la part de ce blond. Le tabouret de la jeune blonde se mit à tourner afin de pouvoir faire face à cet homme ! « Surtout à un homme un peu trop curieux à mon goût. » La jeune femme n’avait pas sa langue dans sa poche et elle ne put s’empêcher de faire descendre un peu son regard sur lui, comme pour pouvoir mémoriser les traits de son visage, tenter de déceler une faille chez celui-ci. Une chose dont elle pouvait se servir comme arme, elle tentait de le percer en plein jour. Ne dit-on pas que le regard est le reflet de l’âme, le sien ! Le liquide savoureux fut enfin terminé, elle ne lui laissait le temps d’aucune réponses avant que ses talons reprennent possession du sol et qu’elle se plaçait debout, face à lui tout en arborant un sourire. Ce sourire signifiait-il quelque chose pour Trinity ? Bien sur que non ! Elle avait ce don de mélanger plusieurs sentiments dans celui-ci, de l’indifférence à la provocation, de la malice à l’envie ! Méfiez-vous de ces sourires, ils peuvent blesser comme déshabiller ! Avant de tourner les talons, elle regardait cet homme une dernière fois, croisant les bras autour de sa poitrine. « Mais je suis certaine que cet endroit regorge de jeunes femmes prêtes à vous accueillir comme il se doit, en tout cas je suis ravie de vous avoir revu M. Keynes ! » La phrase fut lancée, elle connaissait son identité, afin de pouvoir jouer un peu à part égale. Ce qui se passait dans cet endroit n’était visible que pour les propriétaires, les clients étaient choisis sur des critères et un moyen de pression était exercé sur eux, si l’un venait à avoir la langue bien trop pendue ! La jeune femme pouvait conserver cette confiance à toute épreuve ! Elle avait prononcé la fin de sa phrase en approchant doucement son visage du sien, comme pour lui susurrer ses mots, afin que celles-ci puissent se montrer audibles face à la musique perçu dans cette boîte de nuit !

Pour la jeune américano-russe, cette discussion devait s’arrêter là ! En aucun cas, elle pouvait se permettre de mettre en danger la réputation, le fonctionnement de cet endroit. Elle tournait alors les talons afin de pouvoir se mêler à la foule, bien qu’elle ne passait jamais inaperçue dans un endroit ! Elle n’avait laissé aucune autres chances à cet homme de pouvoir parler. Elle se frayait un passage afin de retourner dans ce petit couloir, utilisé quelques instants plus tôt, ce couloir qui allait la mener, par la suite, aux petites pièces où la musique était présente, mais en simple bruit de fond. Pour le moment, seuls ses talons résonnèrent de nouveau dans ce couloir de glaces !  

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There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Cette femme l'amuse. Sa façon d'être. Cette attitude qu'elle aborde. Son caractère qui ne manque pas de piment. Depuis la mort de sa fille, Emrys était devenu fou. Il n'était plus un homme. Il n'était qu'un simple corps sans était d'âme, sans sentiments. C'est pour cette raison qu'elle avait du mal à le cerner, qu'elle ne pouvait pas comprendre ce qui passait sur son visage. Il n'y avait rien. Un simple vide sans fond. Un simple trou béant à la place du coeur. L'enquêteur se foutait complètement de ce qui pouvait se passer dans les murs de cet endroit. Il n'avait pas l'intention d'arrêter qui que ce soit ou de mettre fin aux activités qui pouvait se dérouler dans cet établissement. Ça ne l'intéressait pas réellement. Une simple partie de cartes. Une simple paire de plus. Elle était incapable de le savoir. Incapable de comprendre l'homme qu'il pouvait être. La police n'était qu'un simple jeu malsain pour lui. Il s'amusait à jouer avec ce qu'il savait, à briser les règles. Il prenait des risques. Il en prenait de très gros, mais c'est ce qui le laissait en vie. La seule chose apte à le faire respirer. Jouer avec les lois. Aider ceux qui ne devaient pas être aidés. Changer des dossiers, des preuves. La blonde en face de lui n'aurait pas peur si elle savait ce qu'il était, ce qu'il faisait. Ce n'est pas Emrys qui allait parler de lui, de sa vie. Il savait se faire silencieux. Il se taisait, n'évoquant rien sur son passé et ayant pris le soin de ne laisser aucune preuve sur lui, sur sa vie. Il n'avait pas de casier. Il n'avait rien à cacher au grand jour. Une fois le verre devant lui, il se contenta de sortir quelques billets qu'il laissa traîner sur le comptoir. La serveuse ne l'intéressait pas, comme aucune autre femme de l'endroit. Il voulait s'amuser un peu avec elle. La femme inaccessible qu'elle était. « C'est dommage.» Un sourire amusé se posa contre les lèvres d'Emrys alors qu'il détaillait le visage de la jeune femme. « Vous êtes bien plus attirante que les autres serveuses que vous avez engagées.» Il ne la draguait pas. Son ton était toujours aussi distant. Son visage ne se modifiait pas réellement sous les propos qu'il lui lançait. C'était un fait qu'il faisait remarquer et qu'il pensait. Sinon il ne serait pas là en train de lui adresser la parole. Emrys n'était pas un coureur de jupon. Il aimait les belles choses. Il aimait les femmes. Rarement. Parce qu'il trouvait qu'elles se ressemblaient toutes et qu'elles étaient bien fades. Elle ne faisait pas vraiment partie de cette généralité.

CElle jouait quelque peu, le narguant de cette attitude qui lui allait bien. Il ne bronchait pas, se contentant d'écouter, de boire son verre, laisser le liquide chaud réchauffer sa gorge. « Je ne suis pas curieux. C'est simplement aisé de voir ce qui se passe réellement ici.» Il le savait. Il n'avait que posé des questions pour se divertir un peu. Sa vie se résumait à un jeu. Cet endroit faisait partie de ce jeu. Elle faisait partie de ce jeu. Sa vie entière ne se résumait qu'à un jeu afin de pouvoir vivre encore, vivre de cette satisfaction et de cette adrénaline. Elle se leva. Elle se leva pour lui tourner le dos, pour se fondre dans la foule. Il détailla la trajectoire de la belle aisément, restant assis à sa place pour terminer son verre. Emrys n'était pas le genre d'homme à courir après les femmes sans arrêt. Il n'allait pas la suivre comme un vulgaire chien de poche. Le blond avait autre chose à faire que de se montrer désespéré, parce qu'il ne l'était pas. Une autre chance. Il allait donner une autre chance à la demoiselle. Parce qu'elle l'amusait. Parce qu'elle se pensait réellement imposante. Lui qui n'avait pas de respect pour les femmes. Son côté misogyne ressortait fortement quand elle le narguait de la sorte. Il laissa son verre vide en plan pour se mettre en marche, calquant le chemin qu'elle avait emprunté pour se faufiler dans le couloir. Il retrouva sa trace. Une fois près d'elle, il attrapa le poignet de la jeune femme pour qu'elle se retourne pour lui faire face. Son regard se planta dans celui de la blonde. Certes, elle avait un caractère assez fort, mais elle restait une simple femme. Une femme qu'il pourrait facilement oppresser. Cette idée le tentait fortement. « Je ne viens pas pour jouer avec les petites filles qui vous servent de serveuse. Elle ne m'intéresse guère.» Il fit un pas pour le faire reculer afin qu'elle percute doucement son dos contre le mur. « Je préfère les femmes de caractère, mademoiselle O'Hara.» La demoiselle se retrouvait contre le mur. Il était devant elle, sans se coller à son corps. Il n'était pas un violeur. Il n'allait pas la forcer à quoi que ce soit. Si elle avait envie de s'enfuir encore, il allait la retenir. C'était simplement pour la faire comprendre.

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If you play, you play for keep

Cette femme l'amuse. Sa façon d'être. Cette attitude qu'elle aborde. Son caractère qui ne manque pas de piment. Depuis la mort de sa fille, Emrys était devenu fou. Il n'était plus un homme. Il n'était qu'un simple corps sans était d'âme, sans sentiments. C'est pour cette raison qu'elle avait du mal à le cerner, qu'elle ne pouvait pas comprendre ce qui passait sur son visage. Il n'y avait rien. Un simple vide sans fond. Un simple trou béant à la place du coeur. L'enquêteur se foutait complètement de ce qui pouvait se passer dans les murs de cet endroit. Il n'avait pas l'intention d'arrêter qui que ce soit ou de mettre fin aux activités qui pouvait se dérouler dans cet établissement. Ça ne l'intéressait pas réellement. Une simple partie de cartes. Une simple paire de plus. Elle était incapable de le savoir. Incapable de comprendre l'homme qu'il pouvait être. La police n'était qu'un simple jeu malsain pour lui. Il s'amusait à jouer avec ce qu'il savait, à briser les règles. Il prenait des risques. Il en prenait de très gros, mais c'est ce qui le laissait en vie. La seule chose apte à le faire respirer. Jouer avec les lois. Aider ceux qui ne devaient pas être aidés. Changer des dossiers, des preuves. La blonde en face de lui n'aurait pas peur si elle savait ce qu'il était, ce qu'il faisait. Ce n'est pas Emrys qui allait parler de lui, de sa vie. Il savait se faire silencieux. Il se taisait, n'évoquant rien sur son passé et ayant pris le soin de ne laisser aucune preuve sur lui, sur sa vie. Il n'avait pas de casier. Il n'avait rien à cacher au grand jour. Une fois le verre devant lui, il se contenta de sortir quelques billets qu'il laissa traîner sur le comptoir. La serveuse ne l'intéressait pas, comme aucune autre femme de l'endroit. Il voulait s'amuser un peu avec elle. La femme inaccessible qu'elle était. « C'est dommage.» Un sourire amusé se posa contre les lèvres d'Emrys alors qu'il détaillait le visage de la jeune femme. « Vous êtes bien plus attirante que les autres serveuses que vous avez engagées.» Il ne la draguait pas. Son ton était toujours aussi distant. Son visage ne se modifiait pas réellement sous les propos qu'il lui lançait. C'était un fait qu'il faisait remarquer et qu'il pensait. Sinon il ne serait pas là en train de lui adresser la parole. Emrys n'était pas un coureur de jupon. Il aimait les belles choses. Il aimait les femmes. Rarement. Parce qu'il trouvait qu'elles se ressemblaient toutes et qu'elles étaient bien fades. Elle ne faisait pas vraiment partie de cette généralité.

CElle jouait quelque peu, le narguant de cette attitude qui lui allait bien. Il ne bronchait pas, se contentant d'écouter, de boire son verre, laisser le liquide chaud réchauffer sa gorge. « Je ne suis pas curieux. C'est simplement aisé de voir ce qui se passe réellement ici.» Il le savait. Il n'avait que posé des questions pour se divertir un peu. Sa vie se résumait à un jeu. Cet endroit faisait partie de ce jeu. Elle faisait partie de ce jeu. Sa vie entière ne se résumait qu'à un jeu afin de pouvoir vivre encore, vivre de cette satisfaction et de cette adrénaline. Elle se leva. Elle se leva pour lui tourner le dos, pour se fondre dans la foule. Il détailla la trajectoire de la belle aisément, restant assis à sa place pour terminer son verre. Emrys n'était pas le genre d'homme à courir après les femmes sans arrêt. Il n'allait pas la suivre comme un vulgaire chien de poche. Le blond avait autre chose à faire que de se montrer désespéré, parce qu'il ne l'était pas. Une autre chance. Il allait donner une autre chance à la demoiselle. Parce qu'elle l'amusait. Parce qu'elle se pensait réellement imposante. Lui qui n'avait pas de respect pour les femmes. Son côté misogyne ressortait fortement quand elle le narguait de la sorte. Il laissa son verre vide en plan pour se mettre en marche, calquant le chemin qu'elle avait emprunté pour se faufiler dans le couloir. Il retrouva sa trace. Une fois près d'elle, il attrapa le poignet de la jeune femme pour qu'elle se retourne pour lui faire face. Son regard se planta dans celui de la blonde. Certes, elle avait un caractère assez fort, mais elle restait une simple femme. Une femme qu'il pourrait facilement oppresser. Cette idée le tentait fortement. « Je ne viens pas pour jouer avec les petites filles qui vous servent de serveuse. Elle ne m'intéresse guère.» Il fit un pas pour le faire reculer afin qu'elle percute doucement son dos contre le mur. « Je préfère les femmes de caractère, mademoiselle O'Hara.» La demoiselle se retrouvait contre le mur. Il était devant elle, sans se coller à son corps. Il n'était pas un violeur. Il n'allait pas la forcer à quoi que ce soit. Si elle avait envie de s'enfuir encore, il allait la retenir. C'était simplement pour la faire comprendre.

(c) Bloody Storm

[Messages]

There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Cette femme l'amuse. Sa façon d'être. Cette attitude qu'elle aborde. Son caractère qui ne manque pas de piment. Depuis la mort de sa fille, Emrys était devenu fou. Il n'était plus un homme. Il n'était qu'un simple corps sans était d'âme, sans sentiments. C'est pour cette raison qu'elle avait du mal à le cerner, qu'elle ne pouvait pas comprendre ce qui passait sur son visage. Il n'y avait rien. Un simple vide sans fond. Un simple trou béant à la place du coeur. L'enquêteur se foutait complètement de ce qui pouvait se passer dans les murs de cet endroit. Il n'avait pas l'intention d'arrêter qui que ce soit ou de mettre fin aux activités qui pouvait se dérouler dans cet établissement. Ça ne l'intéressait pas réellement. Une simple partie de cartes. Une simple paire de plus. Elle était incapable de le savoir. Incapable de comprendre l'homme qu'il pouvait être. La police n'était qu'un simple jeu malsain pour lui. Il s'amusait à jouer avec ce qu'il savait, à briser les règles. Il prenait des risques. Il en prenait de très gros, mais c'est ce qui le laissait en vie. La seule chose apte à le faire respirer. Jouer avec les lois. Aider ceux qui ne devaient pas être aidés. Changer des dossiers, des preuves. La blonde en face de lui n'aurait pas peur si elle savait ce qu'il était, ce qu'il faisait. Ce n'est pas Emrys qui allait parler de lui, de sa vie. Il savait se faire silencieux. Il se taisait, n'évoquant rien sur son passé et ayant pris le soin de ne laisser aucune preuve sur lui, sur sa vie. Il n'avait pas de casier. Il n'avait rien à cacher au grand jour. Une fois le verre devant lui, il se contenta de sortir quelques billets qu'il laissa traîner sur le comptoir. La serveuse ne l'intéressait pas, comme aucune autre femme de l'endroit. Il voulait s'amuser un peu avec elle. La femme inaccessible qu'elle était. « C'est dommage.» Un sourire amusé se posa contre les lèvres d'Emrys alors qu'il détaillait le visage de la jeune femme. « Vous êtes bien plus attirante que les autres serveuses que vous avez engagées.» Il ne la draguait pas. Son ton était toujours aussi distant. Son visage ne se modifiait pas réellement sous les propos qu'il lui lançait. C'était un fait qu'il faisait remarquer et qu'il pensait. Sinon il ne serait pas là en train de lui adresser la parole. Emrys n'était pas un coureur de jupon. Il aimait les belles choses. Il aimait les femmes. Rarement. Parce qu'il trouvait qu'elles se ressemblaient toutes et qu'elles étaient bien fades. Elle ne faisait pas vraiment partie de cette généralité.

CElle jouait quelque peu, le narguant de cette attitude qui lui allait bien. Il ne bronchait pas, se contentant d'écouter, de boire son verre, laisser le liquide chaud réchauffer sa gorge. « Je ne suis pas curieux. C'est simplement aisé de voir ce qui se passe réellement ici.» Il le savait. Il n'avait que posé des questions pour se divertir un peu. Sa vie se résumait à un jeu. Cet endroit faisait partie de ce jeu. Elle faisait partie de ce jeu. Sa vie entière ne se résumait qu'à un jeu afin de pouvoir vivre encore, vivre de cette satisfaction et de cette adrénaline. Elle se leva. Elle se leva pour lui tourner le dos, pour se fondre dans la foule. Il détailla la trajectoire de la belle aisément, restant assis à sa place pour terminer son verre. Emrys n'était pas le genre d'homme à courir après les femmes sans arrêt. Il n'allait pas la suivre comme un vulgaire chien de poche. Le blond avait autre chose à faire que de se montrer désespéré, parce qu'il ne l'était pas. Une autre chance. Il allait donner une autre chance à la demoiselle. Parce qu'elle l'amusait. Parce qu'elle se pensait réellement imposante. Lui qui n'avait pas de respect pour les femmes. Son côté misogyne ressortait fortement quand elle le narguait de la sorte. Il laissa son verre vide en plan pour se mettre en marche, calquant le chemin qu'elle avait emprunté pour se faufiler dans le couloir. Il retrouva sa trace. Une fois près d'elle, il attrapa le poignet de la jeune femme pour qu'elle se retourne pour lui faire face. Son regard se planta dans celui de la blonde. Certes, elle avait un caractère assez fort, mais elle restait une simple femme. Une femme qu'il pourrait facilement oppresser. Cette idée le tentait fortement. « Je ne viens pas pour jouer avec les petites filles qui vous servent de serveuse. Elle ne m'intéresse guère.» Il fit un pas pour le faire reculer afin qu'elle percute doucement son dos contre le mur. « Je préfère les femmes de caractère, mademoiselle O'Hara.» La demoiselle se retrouvait contre le mur. Il était devant elle, sans se coller à son corps. Il n'était pas un violeur. Il n'allait pas la forcer à quoi que ce soit. Si elle avait envie de s'enfuir encore, il allait la retenir. C'était simplement pour la faire comprendre.

(c) Bloody Storm

[Date d'inscription]

There's a movie playing in my head. Bombs falling and children crying. The sun rise and the sky turns red. Load your guns tonight. There's a song playing down the hall. All alone there's an old man dying. I can't feel anything at all. Something isn't right. Emrys & Trinity

If you play, you play for keep

Cette femme l'amuse. Sa façon d'être. Cette attitude qu'elle aborde. Son caractère qui ne manque pas de piment. Depuis la mort de sa fille, Emrys était devenu fou. Il n'était plus un homme. Il n'était qu'un simple corps sans était d'âme, sans sentiments. C'est pour cette raison qu'elle avait du mal à le cerner, qu'elle ne pouvait pas comprendre ce qui passait sur son visage. Il n'y avait rien. Un simple vide sans fond. Un simple trou béant à la place du coeur. L'enquêteur se foutait complètement de ce qui pouvait se passer dans les murs de cet endroit. Il n'avait pas l'intention d'arrêter qui que ce soit ou de mettre fin aux activités qui pouvait se dérouler dans cet établissement. Ça ne l'intéressait pas réellement. Une simple partie de cartes. Une simple paire de plus. Elle était incapable de le savoir. Incapable de comprendre l'homme qu'il pouvait être. La police n'était qu'un simple jeu malsain pour lui. Il s'amusait à jouer avec ce qu'il savait, à briser les règles. Il prenait des risques. Il en prenait de très gros, mais c'est ce qui le laissait en vie. La seule chose apte à le faire respirer. Jouer avec les lois. Aider ceux qui ne devaient pas être aidés. Changer des dossiers, des preuves. La blonde en face de lui n'aurait pas peur si elle savait ce qu'il était, ce qu'il faisait. Ce n'est pas Emrys qui allait parler de lui, de sa vie. Il savait se faire silencieux. Il se taisait, n'évoquant rien sur son passé et ayant pris le soin de ne laisser aucune preuve sur lui, sur sa vie. Il n'avait pas de casier. Il n'avait rien à cacher au grand jour. Une fois le verre devant lui, il se contenta de sortir quelques billets qu'il laissa traîner sur le comptoir. La serveuse ne l'intéressait pas, comme aucune autre femme de l'endroit. Il voulait s'amuser un peu avec elle. La femme inaccessible qu'elle était. « C'est dommage.» Un sourire amusé se posa contre les lèvres d'Emrys alors qu'il détaillait le visage de la jeune femme. « Vous êtes bien plus attirante que les autres serveuses que vous avez engagées.» Il ne la draguait pas. Son ton était toujours aussi distant. Son visage ne se modifiait pas réellement sous les propos qu'il lui lançait. C'était un fait qu'il faisait remarquer et qu'il pensait. Sinon il ne serait pas là en train de lui adresser la parole. Emrys n'était pas un coureur de jupon. Il aimait les belles choses. Il aimait les femmes. Rarement. Parce qu'il trouvait qu'elles se ressemblaient toutes et qu'elles étaient bien fades. Elle ne faisait pas vraiment partie de cette généralité.

CElle jouait quelque peu, le narguant de cette attitude qui lui allait bien. Il ne bronchait pas, se contentant d'écouter, de boire son verre, laisser le liquide chaud réchauffer sa gorge. « Je ne suis pas curieux. C'est simplement aisé de voir ce qui se passe réellement ici.» Il le savait. Il n'avait que posé des questions pour se divertir un peu. Sa vie se résumait à un jeu. Cet endroit faisait partie de ce jeu. Elle faisait partie de ce jeu. Sa vie entière ne se résumait qu'à un jeu afin de pouvoir vivre encore, vivre de cette satisfaction et de cette adrénaline. Elle se leva. Elle se leva pour lui tourner le dos, pour se fondre dans la foule. Il détailla la trajectoire de la belle aisément, restant assis à sa place pour terminer son verre. Emrys n'était pas le genre d'homme à courir après les femmes sans arrêt. Il n'allait pas la suivre comme un vulgaire chien de poche. Le blond avait autre chose à faire que de se montrer désespéré, parce qu'il ne l'était pas. Une autre chance. Il allait donner une autre chance à la demoiselle. Parce qu'elle l'amusait. Parce qu'elle se pensait réellement imposante. Lui qui n'avait pas de respect pour les femmes. Son côté misogyne ressortait fortement quand elle le narguait de la sorte. Il laissa son verre vide en plan pour se mettre en marche, calquant le chemin qu'elle avait emprunté pour se faufiler dans le couloir. Il retrouva sa trace. Une fois près d'elle, il attrapa le poignet de la jeune femme pour qu'elle se retourne pour lui faire face. Son regard se planta dans celui de la blonde. Certes, elle avait un caractère assez fort, mais elle restait une simple femme. Une femme qu'il pourrait facilement oppresser. Cette idée le tentait fortement. « Je ne viens pas pour jouer avec les petites filles qui vous servent de serveuse. Elle ne m'intéresse guère.» Il fit un pas pour le faire reculer afin qu'elle percute doucement son dos contre le mur. « Je préfère les femmes de caractère, mademoiselle O'Hara.» La demoiselle se retrouvait contre le mur. Il était devant elle, sans se coller à son corps. Il n'était pas un violeur. Il n'allait pas la forcer à quoi que ce soit. Si elle avait envie de s'enfuir encore, il allait la retenir. C'était simplement pour la faire comprendre.

(c) Bloody Storm